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Un monte-charge hydraulique pour construire les pyramides ?
Actualités

Un monte-charge hydraulique pour construire les pyramides ?

La plus ancienne pyramide d’Égypte, le complexe de Djoser, aurait pu être érigée à l'aide d'un instrument de monte-charge hydraulique compris dans un système d’acheminement et de traitement de l’eau extrêmement astucieux. De quoi ajouter une nouvelle hypothèse sur les techniques de construction des pyramides égyptiennes et même remettre en perspective le lieu de repos présumé du pharaon Djoser.

Comment les Égyptiens ont-ils bâtit les pyramides ? La pyramide de Djoser, conçue il y a environ 4700 ans en l’honneur du pharaon Djoser, premier roi de la IIIe Dynastie égyptienne, a révélé de nouvelles perspectives sur son mode de construction. Située au cœur du plateau de Saqqarah (au sud du delta du Nil), elle est la plus ancienne des sept grandes pyramides d’Égypte. Surnommée également pyramide à degrés ou encore «complexe funéraire de Djoser», elle abriterait le sarcophage du pharaon. Une équipe d’archéologues, hydrologues, géologues, paléoclimatologues et mathématiciens, menée par l’Institut de recherches Paleotechnic à Paris, avec la participation de l’Institut national de la recherche agronomique (INRAE) et de l’université d’Orléans, a pu faire l'hypothèse, après quatre ans de recherches, de l'existence d'un système de construction utilisant l’énergie hydraulique. D’après leurs résultats, les Égyptiens auraient utilisé un système comprenant un barrage, une installation de traitement de l’eau et un monte-charge hydraulique afin de faire monter les pierres de construction. Ces trois découvertes soulèvent d’autres questions relatives à la chronologie de toute la structure, ou encore sur l’endroit où se trouverait le sarcophage de Djoser en réalité… L'étude complète est publiée sur le site de la revue PLOS One.
 

Un barrage pour limiter les inondations pendant l’Ancien Empire

La première étape de cette vaste étude hydraulique a été de cartographier les bassins versants du plateau de Saqqarah. À quelques centaines de mètres de la pyramide de Djoser, une structure dont le périmètre approche les deux kilomètres, sépare deux flancs de vallée: le barrage du Gisr el-Mudir. Ce barrage de 15 mètres d’épaisseur a pu être visualisé grâce aux reconstitutions tridimensionnelles du plateau de Saqqarah établies à l’aide d’anciens plans de fouilles et d’images satellitaires. Plusieurs hypothèses avaient été formulées sur le rôle de cette structure: enclos à bétail, forteresse, ou encore arène de célébration. Mais selon cette nouvelle étude, elle présente toutes les caractéristiques techniques – des filtres notamment – d’un barrage de retenue d’eau et d’un piège pour les sédiments contenus dans l’eau de la vallée en amont. Par ailleurs, des données paléoclimatiques couplées à un modèle hydrologique montrent que la ressource en eau disponible durant cette période coïncide avec l’hypothèse du barrage. «La pluviométrie de l’Ancien Empire est peu connue. Nous savons qu’elle était importante car il y a des preuves de forts écoulements sur le plateau de Saqqarah, expose Xavier Landreau, président de Paleotechnic, chercheur au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et auteur principal de l’étude. Au vu des dimensions du barrage, il y avait certainement un besoin d’absorption de crue en relation avec les conditions hydrologiques de l’époque», postule le chercheur. Une étude topographique a également décelé qu’un lac intermittent aurait existé un peu plus bas, en aval de ce barrage. Ce lac serait aussi connecté à l’immense douve qui entoure le complexe de Djoser.

Les Égyptiens semblaient purifier l’eau avec des techniques encore utilisées aujourd’hui

Associé à ce barrage, les scientifiques ont attribué une fonction à une autre structure étudiée depuis 1937: une installation de traitement de l’eau. Au sud de la douve entourant la pyramide à degrés, une fosse de 400 mètres de long et de 27 mètres de profondeur est taillée dans la roche. Dénommée «Deep Trench», cette tranchée contient trois types de compartiments successifs qui semblent présenter les particularités d’un bassin de sédimentation, un bassin de rétention, et enfin un système de purification de l’eau. « Ce système est bluffant car il est extrêmement moderne. On y observe une tranchée principale, des chemins de fuites et des puits pour l’eau à vocation alimentaire. De plus, une sorte de circuit de sécurité assure l’acheminement de l’eau en cas de crue », schématise Xavier Landreau.

De l’eau pour monter les pierres au sommet de la construction

C’est là la découverte principale de cette équipe française: pour fabriquer la pyramide de Djoser, les Égyptiens auraient utilisé l’eau purifiée issue de la Deep Trench, en provenance des sept kilomètres de conduits souterrains situés sous la pyramide et reliés à l’installation de traitement de l’eau. À 28 mètres de profondeur, l’eau est guidée vers un puits central et une boîte en granite faisant office de vanne, qui à l’image d’un robinet, produirait des cycles de remplissage et de vidange de l’eau, permettant ainsi à un flotteur (probablement en bois) de monter verticalement le long de la pyramide en construction. Comme un bateau, ce flotteur accueille des matériaux telles que des pierres taillées. Le système est d’autant plus innovant qu’il permet aussi, par contrepoids, d’élever des charges durant la phase de descente et ainsi d’optimiser le fonctionnement de l’instrument. En partant des profondeurs de l’axe central de la pyramide vers son sommet, les matériaux s’empileraient ainsi du bas vers le haut. Mais d’autres questions émergent de cette technique de construction hydraulique, liées au pharaon lui-même.

Où repose le sarcophage de Djoser ?

D’après les différentes spéculations, le pharaon Djoser reposerait au cœur de l’un des deux puits situés sous la pyramide. Cependant, plusieurs éléments de l'étude contredisent cette idée. Premièrement, le système de vanne décrit dans ce travail contredit la présence d’un éventuel sarcophage. «Nous pensons que le sarcophage du pharaon a été confondu avec la vanne», évoque Xavier Landreau. De surcroit, la vanne – une boîte en granite – et le trou dans lequel elle est placée, ne correspondent pas aux conditions idéales de conservation d’un sarcophage. «Des restes humains avaient déjà été retrouvés à proximité du puits central, mais de précédentes études avaient démontré qu’ils n’appartenaient pas à Djoser et qu’ils étaient possiblement postérieurs à la construction de la pyramide», explique le scientifique. En visitant la pyramide, il est aujourd’hui possible de voir le fond du puits central de la pyramide. «Lorsque l’on regarde en haut, on voit que le puits est scellé mais qu’il se prolonge très probablement vers le centre de la pyramide», évoque Xavier Landreau. Une hypothèse que l’éminent égyptologue Jean-Philippe Lauer (1902-2001), considéré comme le plus grand spécialiste du complexe de Djoser, avait déjà énoncée il y a plusieurs décennies.

La dépouille de Djoser n’étant à ce jour toujours pas exhumée, toutes les hypothèses sont possibles. «Ce système, qui a vraisemblablement servi à ériger la pyramide, aurait peut-être également permis de placer le roi dans sa dernière demeure au cœur de la pyramide elle-même», avance Xavier Landreau. Une conjecture cohérente avec les problèmes d’inondations de l’époque, face auxquels des Égyptiens innovants avaient d’ores et déjà eu l’idée de placer les sarcophages en hauteur plutôt qu’en profondeur. Le cœur de la pyramide de Djoser n’a pas encore été sondé, contrairement à la pyramide de Khéops ou à la pyramide rhomboïdale, qui ont fait l’objet de tomographies par muons – des sortes de radiographies de l’architecture interne. «Il serait intéressant de le faire pour le complexe de Djoser, en se plaçant au niveau du puits», espère Xavier Landreau, qui attache également une importance à mieux connaitre la datation et la chronologie des constructions du plateau de Saqqarah. Ce plateau est un ensemble de structures funéraires, dont le complexe funéraire de Djoser, où le pharaon manque toujours à l’appel. Alors que les égyptologues considèrent le plus souvent que les blocs de pierre étaient montés à l'aide de rampes inclinées, ce nouveau travail relance le débat.


Source : La Recherche / Marine Laplace
Crédit : Paleotechnic - 3D Quantum Innovation

Reconstitution par CAO du système de vanne situé à la base du puits central sous la pyramide à degrés de Djoser.

Un monte-charge hydraulique pour construire les pyramides ? Actualités

Un monte-charge hydraulique pour construire les pyramides ?

La plus ancienne pyramide d’Égypte, le complexe de Djoser, aurait pu être érigée à l'aide d'un instrument de monte-charge hydraulique compris dans un système d’acheminement et de traitement de l’eau extrêmement astucieux. De quoi ajouter une nouvelle hypothèse sur les techniques de construction des pyramides égyptiennes et même remettre en perspective le lieu de repos présumé du pharaon Djoser.

Comment les Égyptiens ont-ils bâtit les pyramides ? La pyramide de Djoser, conçue il y a environ 4700 ans en l’honneur du pharaon Djoser, premier roi de la IIIe Dynastie égyptienne, a révélé de nouvelles perspectives sur son mode de construction. Située au cœur du plateau de Saqqarah (au sud du delta du Nil), elle est la plus ancienne des sept grandes pyramides d’Égypte. Surnommée également pyramide à degrés ou encore «complexe funéraire de Djoser», elle abriterait le sarcophage du pharaon. Une équipe d’archéologues, hydrologues, géologues, paléoclimatologues et mathématiciens, menée par l’Institut de recherches Paleotechnic à Paris, avec la participation de l’Institut national de la recherche agronomique (INRAE) et de l’université d’Orléans, a pu faire l'hypothèse, après quatre ans de recherches, de l'existence d'un système de construction utilisant l’énergie hydraulique. D’après leurs résultats, les Égyptiens auraient utilisé un système comprenant un barrage, une installation de traitement de l’eau et un monte-charge hydraulique afin de faire monter les pierres de construction. Ces trois découvertes soulèvent d’autres questions relatives à la chronologie de toute la structure, ou encore sur l’endroit où se trouverait le sarcophage de Djoser en réalité… L'étude complète est publiée sur le site de la revue PLOS One.
 

Un barrage pour limiter les inondations pendant l’Ancien Empire

La première étape de cette vaste étude hydraulique a été de cartographier les bassins versants du plateau de Saqqarah. À quelques centaines de mètres de la pyramide de Djoser, une structure dont le périmètre approche les deux kilomètres, sépare deux flancs de vallée: le barrage du Gisr el-Mudir. Ce barrage de 15 mètres d’épaisseur a pu être visualisé grâce aux reconstitutions tridimensionnelles du plateau de Saqqarah établies à l’aide d’anciens plans de fouilles et d’images satellitaires. Plusieurs hypothèses avaient été formulées sur le rôle de cette structure: enclos à bétail, forteresse, ou encore arène de célébration. Mais selon cette nouvelle étude, elle présente toutes les caractéristiques techniques – des filtres notamment – d’un barrage de retenue d’eau et d’un piège pour les sédiments contenus dans l’eau de la vallée en amont. Par ailleurs, des données paléoclimatiques couplées à un modèle hydrologique montrent que la ressource en eau disponible durant cette période coïncide avec l’hypothèse du barrage. «La pluviométrie de l’Ancien Empire est peu connue. Nous savons qu’elle était importante car il y a des preuves de forts écoulements sur le plateau de Saqqarah, expose Xavier Landreau, président de Paleotechnic, chercheur au Commissariat à l’énergie atomique (CEA) et auteur principal de l’étude. Au vu des dimensions du barrage, il y avait certainement un besoin d’absorption de crue en relation avec les conditions hydrologiques de l’époque», postule le chercheur. Une étude topographique a également décelé qu’un lac intermittent aurait existé un peu plus bas, en aval de ce barrage. Ce lac serait aussi connecté à l’immense douve qui entoure le complexe de Djoser.

Les Égyptiens semblaient purifier l’eau avec des techniques encore utilisées aujourd’hui

Associé à ce barrage, les scientifiques ont attribué une fonction à une autre structure étudiée depuis 1937: une installation de traitement de l’eau. Au sud de la douve entourant la pyramide à degrés, une fosse de 400 mètres de long et de 27 mètres de profondeur est taillée dans la roche. Dénommée «Deep Trench», cette tranchée contient trois types de compartiments successifs qui semblent présenter les particularités d’un bassin de sédimentation, un bassin de rétention, et enfin un système de purification de l’eau. « Ce système est bluffant car il est extrêmement moderne. On y observe une tranchée principale, des chemins de fuites et des puits pour l’eau à vocation alimentaire. De plus, une sorte de circuit de sécurité assure l’acheminement de l’eau en cas de crue », schématise Xavier Landreau.

De l’eau pour monter les pierres au sommet de la construction

C’est là la découverte principale de cette équipe française: pour fabriquer la pyramide de Djoser, les Égyptiens auraient utilisé l’eau purifiée issue de la Deep Trench, en provenance des sept kilomètres de conduits souterrains situés sous la pyramide et reliés à l’installation de traitement de l’eau. À 28 mètres de profondeur, l’eau est guidée vers un puits central et une boîte en granite faisant office de vanne, qui à l’image d’un robinet, produirait des cycles de remplissage et de vidange de l’eau, permettant ainsi à un flotteur (probablement en bois) de monter verticalement le long de la pyramide en construction. Comme un bateau, ce flotteur accueille des matériaux telles que des pierres taillées. Le système est d’autant plus innovant qu’il permet aussi, par contrepoids, d’élever des charges durant la phase de descente et ainsi d’optimiser le fonctionnement de l’instrument. En partant des profondeurs de l’axe central de la pyramide vers son sommet, les matériaux s’empileraient ainsi du bas vers le haut. Mais d’autres questions émergent de cette technique de construction hydraulique, liées au pharaon lui-même.

Où repose le sarcophage de Djoser ?

D’après les différentes spéculations, le pharaon Djoser reposerait au cœur de l’un des deux puits situés sous la pyramide. Cependant, plusieurs éléments de l'étude contredisent cette idée. Premièrement, le système de vanne décrit dans ce travail contredit la présence d’un éventuel sarcophage. «Nous pensons que le sarcophage du pharaon a été confondu avec la vanne», évoque Xavier Landreau. De surcroit, la vanne – une boîte en granite – et le trou dans lequel elle est placée, ne correspondent pas aux conditions idéales de conservation d’un sarcophage. «Des restes humains avaient déjà été retrouvés à proximité du puits central, mais de précédentes études avaient démontré qu’ils n’appartenaient pas à Djoser et qu’ils étaient possiblement postérieurs à la construction de la pyramide», explique le scientifique. En visitant la pyramide, il est aujourd’hui possible de voir le fond du puits central de la pyramide. «Lorsque l’on regarde en haut, on voit que le puits est scellé mais qu’il se prolonge très probablement vers le centre de la pyramide», évoque Xavier Landreau. Une hypothèse que l’éminent égyptologue Jean-Philippe Lauer (1902-2001), considéré comme le plus grand spécialiste du complexe de Djoser, avait déjà énoncée il y a plusieurs décennies.

La dépouille de Djoser n’étant à ce jour toujours pas exhumée, toutes les hypothèses sont possibles. «Ce système, qui a vraisemblablement servi à ériger la pyramide, aurait peut-être également permis de placer le roi dans sa dernière demeure au cœur de la pyramide elle-même», avance Xavier Landreau. Une conjecture cohérente avec les problèmes d’inondations de l’époque, face auxquels des Égyptiens innovants avaient d’ores et déjà eu l’idée de placer les sarcophages en hauteur plutôt qu’en profondeur. Le cœur de la pyramide de Djoser n’a pas encore été sondé, contrairement à la pyramide de Khéops ou à la pyramide rhomboïdale, qui ont fait l’objet de tomographies par muons – des sortes de radiographies de l’architecture interne. «Il serait intéressant de le faire pour le complexe de Djoser, en se plaçant au niveau du puits», espère Xavier Landreau, qui attache également une importance à mieux connaitre la datation et la chronologie des constructions du plateau de Saqqarah. Ce plateau est un ensemble de structures funéraires, dont le complexe funéraire de Djoser, où le pharaon manque toujours à l’appel. Alors que les égyptologues considèrent le plus souvent que les blocs de pierre étaient montés à l'aide de rampes inclinées, ce nouveau travail relance le débat.


Source : La Recherche / Marine Laplace
Crédit : Paleotechnic - 3D Quantum Innovation

Reconstitution par CAO du système de vanne situé à la base du puits central sous la pyramide à degrés de Djoser.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


15 - Cantal

Juillet & août

ANIMATIONS
MAISON DE LA SALERS

Des animations sont proposées les mardis après-midi en juillet et août, sans oublier l'incontournable Festi'Vache, le mercredi 13 août ! 

Maison de la Salers
Domaine du Fau 
15140 Saint-Bonnet-de-Salers
04 71 40 54 00
www.maisondelasalers.fr


17 - Charente Maritime

En juin

RENDEZ-VOUS EN TERRES PRÉHISTORIQUES
"LES ATELIERS DU MOIS"

Participez à nos ateliers participatifs et plongez-vous dans l’univers fascinant des archéologues et de nos ancêtres. Dimanche 8 : allumer le feu / Lundi 9 : à la mode préhistorique / Samedi 14 : fouilles archéologiques / Dimanche 15 : atelier post-fouilles / Dimanche 22 : art préhistorique / Dimanche 29 : chasse préhistorique.

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2B - Haute-Corse

Le 21 juin

"ATELIER DE PEINTURE VÉGÉTALE"
PARC DE SALECCIA

Découvrez quelques plantes du parc et plantes sauvages, fabriquez vos aquarelles végétales avec une large gamme de couleurs et profitez d’un temps pour peindre avec les couleurs naturelles que vous aurez créées.
Informations et inscriptions au 07 68 83 07 79 ou kurcubitace@gmail.com. Tarif : 30 €/adulte, 20 € par enfant (accompagné d’un adulte). Sur réservation.

Parc de Saleccia
Lieu dit Saleccia
Route de Bastia 
20220 Ile-Rousse
04 95 36 88 83
www.parc-saleccia.fr


25 - Doubs

Du 10 juillet au 23 août

LES NUITS DE LA SALINE"

Cet été, la Saline royale vous propose des soirées uniques incluant une visite de l'exposition Corto Maltese, un dîner (ou pique-nique libre dans le parc) et un spectacle avec des projections monumentales dans le Centre de Lumières pour s'immerger dans l'univers de Hugo Pratt.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Petits et grands, découvrez un havre de liberté verdoyant et vivez une belle aventure ! En explorateurs, traversez des ponts, des tunnels, croisez la libellule géante, cachez vous dans les cabanes et grimpez en haut du belvédère pour une vue imprenable sur les jardins.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 21 juin

"FÊTE DE LA MUSIQUE À LA GROTTE"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

À 15h, retrouvez Thoma’s Project pour un moment Jazz Electro sur la terrasse, en plein air. Puis à 16h30, la Chorale Mélodie Cèze prendra le relais dans la Grotte, avant de continuer en extérieur pour prolonger le plaisir en terrasse.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


131 - Haute-Garonne

Du 11 juillet au 22 août

"CINÉMA EN PLEIN AIR AU MILIEU DES AVIONS"

Le musée Aeroscopia, en partenariat avec le CGR de Blagnac, lance la première édition du ciné’scopia. Un événement estival inédit mêlant projections de films, patrimoine aéronautique et ambiance festive. Quatre soirées de projection sont programmées sur un des tarmacs du musée, en plein cœur d’un décor exceptionnel formé par le Concorde, la Caravelle, le Transall et le Falcon.

Musée Aeroscopia
1 allée André Turcat
31700 Blagnac
https://www.aeroscopia.fr


38 - Isère

►Le 22 juin 

ENSEMBLE VOCAL LES CONTEMPOR'ELLES
"DE SOUFFLE ET DE VENT..."
 
L’ensemble vocal Les Contempor'Elles est composé de huit chanteuses qui aiment explorer et partager un répertoire contemporain audacieux, de plus en plus souvent écrit pour elles, qui, poétique, traverse les frontières et les spiritualités diverses. Dimanche 22 à 16h.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Le 13 juin

FILM DES 48H DE LA CRÉATION TEXTILE

Le musée du tissage et de la soierie vous propose de (re) découvrir le film réalisé par le Caméra Photo-Club de Feurs pendant la 5ème édition des "48h de la création textile". Emotions garanties !

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 25 juin au 27 juillet

EXPOSITION
"BOULAZ "ENTRE POP ART ET STREET ART"

Une nouvelle exposition dédiée à la Pop Culture et au Street Art débarque au musée Danvin. Du 25 juin au 27 juillet, l’artiste Boulaz vous propose de vous plonger dans son univers coloré et vibrant.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Le musée Mandet a le plaisir de vous inviter à découvrir l’importante rétrospective de ce sculpteur-designer unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Les 5 et 6 juillet & 2 et 3 août

ANIMATIONS
"SUR LES TRACES DU PASSÉ"

Le Vaisseau vous donne rendez-vous pour deux week-ends exceptionnels placés sous le signe de la découverte ! Petit déjeuner préhistorique et musical, spectacle, film ou rencontre… 
Venez explorer le passé grâce à des animations inédites tout au long de l'été.

Le Vaisseau
1 bis rue Philippe Dollinger 
67100 Strasbourg
03 69 33 26 69
www.levaisseau.com


71 - Saône et Loire

Du 9 juillet au 27 août

ANIMATIONS VACANCES
LA MAISON DU CHAROLAIS

Parcours aventure ou visite audioguidée du musée, dégustation de viande charolaise, atelier cuisine, artistique, balade dans le bocage... Il y a tant à faire pour passer du bon temps en famille. Vous pouvez dès maintenant retenir vos places pour les ateliers !

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Le 21 juin 

UN MUSÉE, UN JARDIN
MUSÉE VOULAND

Une invitation à découvrir le lieu et son histoire, le musée et ses collections d’arts décoratifs (avec quelques focus). Nous nous attarderons dans le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Pensez à réserver ! 04 90 86 03 79 ou musee@vouland.com

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel

Lieux:

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