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Un fossile trouvé en Israël remet en question l'histoire de l'homme moderne
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Un fossile trouvé en Israël remet en question l'histoire de l'homme moderne

Depuis des années, certains paléoanthropologues y songeaient. La partie supérieure du carré 9 de l’unité stratigraphique 6 de la grotte de Misliya sur le Mont Carmel en Israël vient de leur en apporter la preuve. Désormais, on ne peut plus en douter: Homo sapiens a quitté l’Afrique plus tôt que ce que l’on croyait. Il y a bien plus de 200 000 ans sans doute ! Cette nouvelle, que de petits indices annonçaient depuis longtemps, change radicalement le consensus entre préhistoriens : encore récemment, Homo sapiens était censé avoir quitté l'Afrique pour le Levant une première fois il y a quelque 100 000 ans, y être retourné sous la pression des Néandertaliens (alors présents au Proche-Orient), puis être revenu en Eurasie il y a de 80 000 à 60 000 ans pour bousculer son cousin néandertalien et conquérir la Terre de façon explosive.

La preuve de la présence d'H. sapiens au Levant il y a bien plus de 100 000 ans est Misliya-1, un très ancien demi maxillaire sapiens mis au jour et étudié par une équipe internationale dirigée par Mima Weinstein-Evron, de l’université d’Haïfa, et Israel Hershkovitz, de l’université de Tel Aviv (image ci-dessus). Pour le dater, trois laboratoires ont appliqué différentes techniques : la datation par résonance de spin électronique fossile (une méthode qui révèle le temps qu’un élément minéral a passé enfoui), la datation par thermoluminescence et la radiochronologie (datation par l’uranium-thorium). Les chercheurs ont utilisé ces techniques sur une série de neuf silex trouvés en proche association avec le fossile, à la croûte le recouvrant, à l’émail dentaire et, finalement, pour exclure l’influence d’une intrusion de sédiments récents, à la dentine (la partie interne de la dent). À l’exception inexpliquée d’une date sur la dizaine obtenue, les estimations amènent à placer l’âge de Misliya-1 entre il y a 177 000 et 194 000 ans, avec une probabilité de 97,9%.

Pour prouver qu‘il s’agit bien d’un maxillaire sapiens, les chercheurs se sont livrés à une étude morphométrique, c’est-à-dire qu’ils ont soigneusement mesuré tous les détails visibles de la forme du maxillaire et des dents afin de les comparer à ceux des formes archaïques d'H. sapiens et d'autres espèces. Il en ressort qu’il s’agit d’un maxillaire sapiens «sans aucun trait squelettique ou dentaire néandertalien».

Un point essentiel est le fait que toutes les unités stratigraphiques de la grotte de Misliya, y compris l’unité 6, sont mêlés d’artefacts relevant de ce que les chercheurs nomment le Moustérien levantin précoce, une industrie lithique caractérisée par un débitage d’éclats dit Levallois (notamment des éclats triangulaires pouvant servir de pointe). Or ce type de moustérien est traditionnellement associé en Eurasie aux Néandertaliens, dont il constitue un marqueur. Pour autant, on sait depuis longtemps, qu'au Proche-Orient, il est associé sur certains sites à des fossiles néandertaliens et sur d'autres – les sites de Qafzeh et de Shkul – à des fossiles sapiens. En outre, il se rencontre aussi dans toute l’Afrique du Nord, notamment à Jebel Ihroud au Maroc, où a été récemment identifié le plus ancien H. sapiens archaïque connu (300 000 ans), mais aussi en Afrique de l’est à Kulkuletti en Éthiopie (279 000 ans) à Kapthurin au Kenya (285 000 ans) et même plus anciennement encore – il y a quelque 500 000 ans avant l’apparition d’H. sapiens –  à Kathu Pan en Afrique du Sud. Jusqu'à présent on continuait à lier le moustérien avant tout à H. neanderthalensis, mais la date fournie par Misliya 1 suggère que l’apparition du débitage Levallois en Eurasie pourrait  être, comme l’écrivent les chercheurs, «associée avec l’apparition des H. sapiens» au Levant. Cette évolution de notre point de vue sur le Moustérien est une nouvelle de grande importance en paléoanthropologie.

L’hypothèse d’une sortie d’Afrique des H. sapiens il y a plus de 200 000 ans, ou plus, apparaît dès lors d’autant plus probable qu’elle rejoint les conclusions d'une autre étude. Une équipe constituée autour de Cosimo Posth, à l’Institut Max-Planck pour l’histoire humaine de Tübingen, en Allemagne, a analysé des gènes mitochondriaux contenus dans le tibia néandertalien HST trouvé dans la grotte de Hohenstein-Stadel, dans le Jura souabe. Comme tous ceux des Néandertaliens, ces gènes sont plus proches de ceux de son cousin sapiens que de ceux de leur ancêtre commun (Homo heidelbergensis). Dès lors, des calculs d’horloge génétique suggèrent que la diversité des gènes mitochondriaux néandertaliens constatée grâce à HST ne peut s’expliquer que si une migration d’H. sapiens archaïques est venu d’Afrique apporter au Néandertaliens leurs gènes mitochondriaux il y a entre 470 000 et 220 000 ans.

La sortie d’Afrique précoce des H. sapiens archaïques suggéré par Misliya 1 et HST a aussi l’avantage de régler nombre de problèmes qu'il était difficile de traiter si H. sapiens n'avait commencé son expansion en Eurasie qu'il y a 80 000 ans au plus tôt : la découverte en 2010 dans une grotte du sud de la Chine d’un bout de mandibule de plus de 100 000 ans et d’autre indices suggèrent une arrivée d’H. sapiens en Chine bien plus tôt que ce que l’on pensait ; la réalisation récente que l’irruption d’H. sapiens en Australie il y a quelque 65 000 ans et donc bien avant en Asie du Sud-Est ; la constatation du fait que les néandertaliens de l'Altaï sibérien étaient déjà métissés avec des H. sapiens il y a plus de 100 000 ans…

Et puis, il y a l’existence au Levant d’une culture matérielle (silex taillés, artefacts divers, etc.) qui semble intermédiaire entre l’Acheuléen (l’industrie lithique caractéristique du Paléolithique inférieur d’Afrique ou d’ailleurs) et l’industrie moustérienne : la culture acheuléo-yabroudienne, qui prospéra il y a entre entre 350 000 et 200 000 ans. Or un crâne partiel fossile, celui de l’«Homme de Galilée» trouvé sur le site de Mugharet el-Zuttiyeh est associé à cette culture. Découvert dans les années 1920, le crâne de l’Homme de Galilée est d’abord passé pour celui d’un Néandertalien. Toutefois, dans les années 1980, après avoir réétudié tous les fossiles du Levant, le paléoanthropologue français Bernard Vandermeersch avait attiré l’attention sur l'impression qu’il partageait avec nombre de collègues : «le crâne de Zuttiyeh se rapproche, en fait, de la morphologie sapiens, mais avec la persistance de traits primitifs – l’importance du relief sus-orbitaire par exemple – qui permet de le placer parmi les Homo sapiens archaïques.» À partir de cela et d’autres observations, notamment le fait qu’aucun fossile néandertalien d’âge comparable à celui de l’homme de Galilée n’est connu au Levant, il proposait qu’une très ancienne population d’H. sapiens archaïque était déjà établie au Proche-Orient, bien avant que le fort réchauffement climatique du Stade isotopique marin 5 (130 000 à 71 000 ans avant le présent) n’ait amené au Proche-Orient une population néandertalienne allochtone, qui s’est ensuite mélangée  avec les habitants sapiens du Proche-Orient, initiant le métissage de H. sapiens et de H. neanderthalensis. Parce que d’origine francophone, cette théorie avait été peu considérée par les confrères anglophones de Bernard Vandermeersch. Misliya 1 la confirme.


Source : Pour la Science
Crédit : Israel Hershkovitz, université de Tel Aviv.

Misliya 1 est un demi maxillaire gauche. Toutes les dents sont présentes à l'exception d'une incisive.

Un fossile trouvé en Israël remet en question l'histoire de l'homme moderne Actualités

Un fossile trouvé en Israël remet en question l'histoire de l'homme moderne

Depuis des années, certains paléoanthropologues y songeaient. La partie supérieure du carré 9 de l’unité stratigraphique 6 de la grotte de Misliya sur le Mont Carmel en Israël vient de leur en apporter la preuve. Désormais, on ne peut plus en douter: Homo sapiens a quitté l’Afrique plus tôt que ce que l’on croyait. Il y a bien plus de 200 000 ans sans doute ! Cette nouvelle, que de petits indices annonçaient depuis longtemps, change radicalement le consensus entre préhistoriens : encore récemment, Homo sapiens était censé avoir quitté l'Afrique pour le Levant une première fois il y a quelque 100 000 ans, y être retourné sous la pression des Néandertaliens (alors présents au Proche-Orient), puis être revenu en Eurasie il y a de 80 000 à 60 000 ans pour bousculer son cousin néandertalien et conquérir la Terre de façon explosive.

La preuve de la présence d'H. sapiens au Levant il y a bien plus de 100 000 ans est Misliya-1, un très ancien demi maxillaire sapiens mis au jour et étudié par une équipe internationale dirigée par Mima Weinstein-Evron, de l’université d’Haïfa, et Israel Hershkovitz, de l’université de Tel Aviv (image ci-dessus). Pour le dater, trois laboratoires ont appliqué différentes techniques : la datation par résonance de spin électronique fossile (une méthode qui révèle le temps qu’un élément minéral a passé enfoui), la datation par thermoluminescence et la radiochronologie (datation par l’uranium-thorium). Les chercheurs ont utilisé ces techniques sur une série de neuf silex trouvés en proche association avec le fossile, à la croûte le recouvrant, à l’émail dentaire et, finalement, pour exclure l’influence d’une intrusion de sédiments récents, à la dentine (la partie interne de la dent). À l’exception inexpliquée d’une date sur la dizaine obtenue, les estimations amènent à placer l’âge de Misliya-1 entre il y a 177 000 et 194 000 ans, avec une probabilité de 97,9%.

Pour prouver qu‘il s’agit bien d’un maxillaire sapiens, les chercheurs se sont livrés à une étude morphométrique, c’est-à-dire qu’ils ont soigneusement mesuré tous les détails visibles de la forme du maxillaire et des dents afin de les comparer à ceux des formes archaïques d'H. sapiens et d'autres espèces. Il en ressort qu’il s’agit d’un maxillaire sapiens «sans aucun trait squelettique ou dentaire néandertalien».

Un point essentiel est le fait que toutes les unités stratigraphiques de la grotte de Misliya, y compris l’unité 6, sont mêlés d’artefacts relevant de ce que les chercheurs nomment le Moustérien levantin précoce, une industrie lithique caractérisée par un débitage d’éclats dit Levallois (notamment des éclats triangulaires pouvant servir de pointe). Or ce type de moustérien est traditionnellement associé en Eurasie aux Néandertaliens, dont il constitue un marqueur. Pour autant, on sait depuis longtemps, qu'au Proche-Orient, il est associé sur certains sites à des fossiles néandertaliens et sur d'autres – les sites de Qafzeh et de Shkul – à des fossiles sapiens. En outre, il se rencontre aussi dans toute l’Afrique du Nord, notamment à Jebel Ihroud au Maroc, où a été récemment identifié le plus ancien H. sapiens archaïque connu (300 000 ans), mais aussi en Afrique de l’est à Kulkuletti en Éthiopie (279 000 ans) à Kapthurin au Kenya (285 000 ans) et même plus anciennement encore – il y a quelque 500 000 ans avant l’apparition d’H. sapiens –  à Kathu Pan en Afrique du Sud. Jusqu'à présent on continuait à lier le moustérien avant tout à H. neanderthalensis, mais la date fournie par Misliya 1 suggère que l’apparition du débitage Levallois en Eurasie pourrait  être, comme l’écrivent les chercheurs, «associée avec l’apparition des H. sapiens» au Levant. Cette évolution de notre point de vue sur le Moustérien est une nouvelle de grande importance en paléoanthropologie.

L’hypothèse d’une sortie d’Afrique des H. sapiens il y a plus de 200 000 ans, ou plus, apparaît dès lors d’autant plus probable qu’elle rejoint les conclusions d'une autre étude. Une équipe constituée autour de Cosimo Posth, à l’Institut Max-Planck pour l’histoire humaine de Tübingen, en Allemagne, a analysé des gènes mitochondriaux contenus dans le tibia néandertalien HST trouvé dans la grotte de Hohenstein-Stadel, dans le Jura souabe. Comme tous ceux des Néandertaliens, ces gènes sont plus proches de ceux de son cousin sapiens que de ceux de leur ancêtre commun (Homo heidelbergensis). Dès lors, des calculs d’horloge génétique suggèrent que la diversité des gènes mitochondriaux néandertaliens constatée grâce à HST ne peut s’expliquer que si une migration d’H. sapiens archaïques est venu d’Afrique apporter au Néandertaliens leurs gènes mitochondriaux il y a entre 470 000 et 220 000 ans.

La sortie d’Afrique précoce des H. sapiens archaïques suggéré par Misliya 1 et HST a aussi l’avantage de régler nombre de problèmes qu'il était difficile de traiter si H. sapiens n'avait commencé son expansion en Eurasie qu'il y a 80 000 ans au plus tôt : la découverte en 2010 dans une grotte du sud de la Chine d’un bout de mandibule de plus de 100 000 ans et d’autre indices suggèrent une arrivée d’H. sapiens en Chine bien plus tôt que ce que l’on pensait ; la réalisation récente que l’irruption d’H. sapiens en Australie il y a quelque 65 000 ans et donc bien avant en Asie du Sud-Est ; la constatation du fait que les néandertaliens de l'Altaï sibérien étaient déjà métissés avec des H. sapiens il y a plus de 100 000 ans…

Et puis, il y a l’existence au Levant d’une culture matérielle (silex taillés, artefacts divers, etc.) qui semble intermédiaire entre l’Acheuléen (l’industrie lithique caractéristique du Paléolithique inférieur d’Afrique ou d’ailleurs) et l’industrie moustérienne : la culture acheuléo-yabroudienne, qui prospéra il y a entre entre 350 000 et 200 000 ans. Or un crâne partiel fossile, celui de l’«Homme de Galilée» trouvé sur le site de Mugharet el-Zuttiyeh est associé à cette culture. Découvert dans les années 1920, le crâne de l’Homme de Galilée est d’abord passé pour celui d’un Néandertalien. Toutefois, dans les années 1980, après avoir réétudié tous les fossiles du Levant, le paléoanthropologue français Bernard Vandermeersch avait attiré l’attention sur l'impression qu’il partageait avec nombre de collègues : «le crâne de Zuttiyeh se rapproche, en fait, de la morphologie sapiens, mais avec la persistance de traits primitifs – l’importance du relief sus-orbitaire par exemple – qui permet de le placer parmi les Homo sapiens archaïques.» À partir de cela et d’autres observations, notamment le fait qu’aucun fossile néandertalien d’âge comparable à celui de l’homme de Galilée n’est connu au Levant, il proposait qu’une très ancienne population d’H. sapiens archaïque était déjà établie au Proche-Orient, bien avant que le fort réchauffement climatique du Stade isotopique marin 5 (130 000 à 71 000 ans avant le présent) n’ait amené au Proche-Orient une population néandertalienne allochtone, qui s’est ensuite mélangée  avec les habitants sapiens du Proche-Orient, initiant le métissage de H. sapiens et de H. neanderthalensis. Parce que d’origine francophone, cette théorie avait été peu considérée par les confrères anglophones de Bernard Vandermeersch. Misliya 1 la confirme.


Source : Pour la Science
Crédit : Israel Hershkovitz, université de Tel Aviv.

Misliya 1 est un demi maxillaire gauche. Toutes les dents sont présentes à l'exception d'une incisive.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


131 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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