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Néandertal aurait conquis l'Amérique 130 000 ans avant Christophe Colomb
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Néandertal aurait conquis l'Amérique 130 000 ans avant Christophe Colomb

L'information a fait se retourner Christophe Colomb dans sa tombe. Finalement, ce n'est pas lui qui a découvert l'Amérique, ni même les Vikings, mais une bande d'hommes primitifs, il y a 130 000 ans. L'article scientifique qui déclenche ce tsunami paléontologique est paru mercredi 26 avril dans la revue britannique Nature . Certains archéologues se montrent convaincus, d'autres pas du tout.

C'est que 130 000 ans, c'est un sacré bond dans le passé. Jusqu'ici, on datait l'arrivée de l'Homo sapiens en Amérique il y a 15 000 à 25 000 ans, selon les méthodes utilisées. Celui-ci aurait profité d'une baisse du niveau de l'océan pour emprunter le détroit de Behring.

L'homme à l'origine de cette révolution s'appelle Steven Bolen et est paléontologue au Centre américain de recherche paléolithique, dans le Dakota du Sud. Au cours de l'hiver 1992-1993, il est appelé sur un chantier d'autoroute en Californie. En creusant, les ouvriers sont tombés sur de gros ossements non identifiables. Bolen, lui, n'hésite pas, il s'agit d'os de mastodonte, un cousin de l'éléphant disparu d'Amérique voilà 9 000 ans.
L'attention du paléontologue se porte aussitôt sur la forme bizarre des fragments d'os et de leurs entailles. Il y découvre notamment des plans de cassures en spirale indiquant que ces os ont été brisés par un outil de pierre alors qu'ils étaient encore frais. Donc sur un animal venant de mourir. Son équipe trouve même les pierres ayant pu servir de marteau et d'enclume.
Bref les paléontologues sont quasi formels, l'état des ossements ne peut pas être dû à un phénomène géologique ou naturel. Du reste, Holen a organisé une reconstitution avec des os d'un éléphant fraîchement abattu et il a obtenu exactement le même type de fractures. Par ailleurs, une défense trouvée plantée verticalement dans le sol fait irrémédiablement penser à une action humaine.

Plusieurs théories

Jusque-là, rien d'étonnant. Après tout, les mastodontes ont disparu longtemps après l'arrivée de sapiens en Amérique. Et donc ceux-ci ont pu être les chasseurs. Ce fut l'hypothèse émise à l'époque de la découverte, faute d'avoir retrouvé du collagène dans les os pour effectuer une datation au carbone 14.
Or, voilà qu'en 2014, Holen confie des fragments d'os à un géologue sachant utiliser une nouvelle datation utilisant l'uranium-thorium. La bombe est lâchée : les ossements auraient 130 000 ans, plus ou moins 10 000 ans. Stupéfaction, car à cette l'époque, l'Amérique est supposée encore vierge de tout homme. Alors qui pourraient être ces mangeurs de mastodontes ?

Aussitôt Holen et son équipe bâtissent des théories. La première idée, c'est qu'avant sapiens, l'homme de Néandertal aurait déjà profité d'un affaissement du niveau des océans pour traverser le détroit de Behring. C'est envisageable. Du reste, ils auraient même pu le traverser par la mer. Une navigation de 80 kilomètres à bord d'embarcations est possible dans la mesure où on a retrouvé en Méditerranée des vestiges de bateaux de plus de 100 000 ans. Par ailleurs, Néandertal possédait toute l'intelligence et l'outillage voulus pour tuer et dépecer un mastodonte.
Deuxième hypothèse : ce premier explorateur de l'Amérique pourrait tout aussi bien être un Denisovien, ce cousin de Néandertal dont on connaît l'existence grâce à un fossile de petit doigt retrouvé dans l'Altaï. Troisième hypothèse, enfin : un Homo sapiens ! En effet, celui-ci est apparu voilà 200 000 ans en Afrique et aurait également pu effectuer la traversée à cette époque. Une hypothèse cependant tirée par les cheveux car on n'a retrouvé aucun fossile de sapiens en Sibérie datant d'avant 130 000 ans.

Il existe également un autre fait contrariant : on ne retrouve nulle trace de ces premiers Américains dans l'ADN des populations indigènes actuelles. Holen explique cela par le fait que ceux-ci peuvent avoir disparu avant l'arrivée des sapiens. En tout cas, le paléontologue sait bien qu'il ne fera taire toutes les critiques que le jour où d'autres vestiges incontestables seront mis au jour. Aussi s'apprête-t-il à prendre la route pour fouiller tous les sites américains susceptibles d'avoir conservé les traces d'une activité humaine voilà plus de 100 000 ans.


Source : Le Point

Néandertal aurait conquis l'Amérique 130 000 ans avant Christophe Colomb Actualités

Néandertal aurait conquis l'Amérique 130 000 ans avant Christophe Colomb

L'information a fait se retourner Christophe Colomb dans sa tombe. Finalement, ce n'est pas lui qui a découvert l'Amérique, ni même les Vikings, mais une bande d'hommes primitifs, il y a 130 000 ans. L'article scientifique qui déclenche ce tsunami paléontologique est paru mercredi 26 avril dans la revue britannique Nature . Certains archéologues se montrent convaincus, d'autres pas du tout.

C'est que 130 000 ans, c'est un sacré bond dans le passé. Jusqu'ici, on datait l'arrivée de l'Homo sapiens en Amérique il y a 15 000 à 25 000 ans, selon les méthodes utilisées. Celui-ci aurait profité d'une baisse du niveau de l'océan pour emprunter le détroit de Behring.

L'homme à l'origine de cette révolution s'appelle Steven Bolen et est paléontologue au Centre américain de recherche paléolithique, dans le Dakota du Sud. Au cours de l'hiver 1992-1993, il est appelé sur un chantier d'autoroute en Californie. En creusant, les ouvriers sont tombés sur de gros ossements non identifiables. Bolen, lui, n'hésite pas, il s'agit d'os de mastodonte, un cousin de l'éléphant disparu d'Amérique voilà 9 000 ans.
L'attention du paléontologue se porte aussitôt sur la forme bizarre des fragments d'os et de leurs entailles. Il y découvre notamment des plans de cassures en spirale indiquant que ces os ont été brisés par un outil de pierre alors qu'ils étaient encore frais. Donc sur un animal venant de mourir. Son équipe trouve même les pierres ayant pu servir de marteau et d'enclume.
Bref les paléontologues sont quasi formels, l'état des ossements ne peut pas être dû à un phénomène géologique ou naturel. Du reste, Holen a organisé une reconstitution avec des os d'un éléphant fraîchement abattu et il a obtenu exactement le même type de fractures. Par ailleurs, une défense trouvée plantée verticalement dans le sol fait irrémédiablement penser à une action humaine.

Plusieurs théories

Jusque-là, rien d'étonnant. Après tout, les mastodontes ont disparu longtemps après l'arrivée de sapiens en Amérique. Et donc ceux-ci ont pu être les chasseurs. Ce fut l'hypothèse émise à l'époque de la découverte, faute d'avoir retrouvé du collagène dans les os pour effectuer une datation au carbone 14.
Or, voilà qu'en 2014, Holen confie des fragments d'os à un géologue sachant utiliser une nouvelle datation utilisant l'uranium-thorium. La bombe est lâchée : les ossements auraient 130 000 ans, plus ou moins 10 000 ans. Stupéfaction, car à cette l'époque, l'Amérique est supposée encore vierge de tout homme. Alors qui pourraient être ces mangeurs de mastodontes ?

Aussitôt Holen et son équipe bâtissent des théories. La première idée, c'est qu'avant sapiens, l'homme de Néandertal aurait déjà profité d'un affaissement du niveau des océans pour traverser le détroit de Behring. C'est envisageable. Du reste, ils auraient même pu le traverser par la mer. Une navigation de 80 kilomètres à bord d'embarcations est possible dans la mesure où on a retrouvé en Méditerranée des vestiges de bateaux de plus de 100 000 ans. Par ailleurs, Néandertal possédait toute l'intelligence et l'outillage voulus pour tuer et dépecer un mastodonte.
Deuxième hypothèse : ce premier explorateur de l'Amérique pourrait tout aussi bien être un Denisovien, ce cousin de Néandertal dont on connaît l'existence grâce à un fossile de petit doigt retrouvé dans l'Altaï. Troisième hypothèse, enfin : un Homo sapiens ! En effet, celui-ci est apparu voilà 200 000 ans en Afrique et aurait également pu effectuer la traversée à cette époque. Une hypothèse cependant tirée par les cheveux car on n'a retrouvé aucun fossile de sapiens en Sibérie datant d'avant 130 000 ans.

Il existe également un autre fait contrariant : on ne retrouve nulle trace de ces premiers Américains dans l'ADN des populations indigènes actuelles. Holen explique cela par le fait que ceux-ci peuvent avoir disparu avant l'arrivée des sapiens. En tout cas, le paléontologue sait bien qu'il ne fera taire toutes les critiques que le jour où d'autres vestiges incontestables seront mis au jour. Aussi s'apprête-t-il à prendre la route pour fouiller tous les sites américains susceptibles d'avoir conservé les traces d'une activité humaine voilà plus de 100 000 ans.


Source : Le Point

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


131 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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