Bienvenue dans un nouveau monde... le notre

Les traces du plus grand Australopithèque connu
Actualités

Les traces du plus grand Australopithèque connu

Le son ressemblait plus à un « sploutch » qu'à un bruit sourd, alors que le grand Australopithèque mâle traversait la savane d'Afrique de l'Est. Une éruption volcanique avait laissé une patine de cendre grise sur le sol, et les orages qui avaient suivi avaient transformé la terre en ciment humide. Sploutch, sploutch. Quatre individus plus petits marchaient non loin derrière. Sploutch, sploutch, sploutch. Un peu plus tard, la cendre tomberait encore du ciel, couvrant leurs traces durant les 3,66 millions d'années suivantes.

Les premières traces de ce voyage - les empreintes de pas de trois individus, qui sont les plus anciennes connues parmi tous les parents de la famille humaine - ont été découvertes dans les années 1970 au nord de la Tanzanie par l'anthropologue Mary Leakey et son équipe. Quelque 40 ans plus tard, les chercheurs ont mis au jour d’autres d'empreintes d'homininés sur le même site, désormais célèbre, de Laetoli. Elles rassemblent les traces de deux autres individus, dont celles d'un mâle qui aurait pesé environ 48 kilogrammes pour 1,65 mètre de haut, ce qui en fait de loin le plus grand Australopithèque connu dans le registre fossile. Les chercheurs l'ont nommé Chewie, en référence à Chewbacca, le personnage poilu de 2 mètres de haut de la saga Star Wars (le mot swahili signifiant léopard, chui, se prononce de façon similaire).

Les nouvelles empreintes de Laetoli, décrites dans un article publié le 14 décembre dans la revue eLife, suggèrent que les premiers homininés avaient peut-être une structure sociale semblable à celle des gorilles, où un grand mâle domine un groupe de petites femelles. Ces empreintes posent également la question épineuse de leur préservation.

Des empreintes fragiles

Les nouvelles empreintes ont en effet été découvertes lors des travaux entrepris pour préserver la piste d’empreintes originales, de 23 mètres de long. Menacées par l’érosion, l’eau et la végétation, les empreintes ont été recouvertes de terre l’essentiel du temps depuis les années 1990 pour être protégées. Le gouvernement tanzanien a approuvé un projet visant à construire un musée sur le site, comportant notamment un revêtement protecteur pour la première piste d’empreintes. Lors des travaux préparatoires, l'archéologue Fidelis Masao, de l'université de Dar es-Salaam en Tanzanie, a creusé des tranchées pour explorer le site et a découvert à cette occasion, en octobre 2014, une grande empreinte d'homininé. D'autres fouilles dans une zone située à 150 mètres des empreintes originales ont mis au jour 12 traces de pas plus grandes appartenant au même individu, formant une piste de 32 mètres de long, et une empreinte supplémentaire d'un autre individu plus petit.

Les premières empreintes découvertes sur le site de Laetoli ont été attribuées à Australopithecus afarensis – la même espèce que Lucy, qui a vécu il y a 3,2 millions d'années en Éthiopie. L'équipe de Fidelis Masao pense que les nouvelles traces ont probablement été laissées par des individus du même groupe. Les deux séries d'empreintes appartiennent en effet à des individus marchant dans la même direction nord-ouest. Elles ont été trouvées dans la même couche de cendres volcaniques et, par conséquent, ont probablement été créées dans des conditions identiques, durant un seul et même voyage, suggèrent Masao et ses collègues.

« C'est vraiment fascinant d’imaginer ce groupe marchant dans la même direction à la même vitesse », dit Marco Cherin, paléontologue à l'université de Pérouse, en Italie, qui a co-dirigé l'étude. « Vers où ? Nous ne le savons pas. Ils marchaient sans doute simplement comme tous les autres animaux qui ont laissé leurs empreintes à Laetoli. »

Les empreintes de Chewie sont plus grandes que les autres : elles mesurent 27 centimètres de long, l’équivalent d’une pointure 42. Selon Marco Cherin, ces empreintes imposantes signifient qu’il existait chez les premiers homininés des variations de taille beaucoup plus importantes que ce que l'on pensait jusqu'ici. Cela remet aussi en cause l’idée que la corpulence des homininés s’est développée seulement à mesure que leur cerveau devenait plus grand durant les 2,5 derniers millions d'années. L’équipe de paléontologues estime que les autres individus de Laetoli mesuraient entre 1,11 et 1,49 mètre de haut.

Des petits et des grands

La gamme de taille des individus de Laetoli pourrait aussi se rapporter à la structure sociale de ces homininés. Les chercheurs suggèrent que les plus grandes empreintes ont été laissées par un mâle adulte, tandis que les autres appartiennent à deux femelles adultes et deux jeunes ou femelles plus petites. Les groupes de gorilles, dans lesquels un mâle à dos argenté chapeaute un harem de femelles beaucoup plus petites et leur progéniture, montrent un éventail de tailles aussi large, note Marco Cherin, qui pense que les australopithèques ont pu adopter une organisation similaire.

Cependant, pour Neil Roach, paléoanthropologue à l’université Harvard, cette relation entre la structure sociale et les différences de taille entre les sexes n'est pas si claire. Il est néanmoins d'accord pour dire que ces nouvelles empreintes appuient l’idée que Australopithecus afarensis vivait en groupes composés de multiples mâles et femelles, et qu'il y avait des différences de corpulence importantes entre les sexes.

Bruce Latimer, paléoanthropologue à l'Université Case Western Reserve à Cleveland (Ohio), convient que les conclusions sur les groupes sociaux des australopithèques devraient être prises avec prudence. Mais Latimer, qui a travaillé sur les traces de pas originales, juge néanmoins extraordinaire la découverte de cette nouvelle piste d’empreintes, qui apporte en outre des preuves supplémentaires que les individus de Laetoli avaient des pieds qui n'étaient pas si différents de ceux des humains actuels. « Les empreintes de Laetoli ne dépareraient pas sur une plage aujourd'hui », résume-t-il.

Le projet de musée est momentanément suspendu tandis que les chercheurs cherchent d’autres empreintes et examinent l'état des pistes d'origine, explique Charles Musiba, anthropologue à l'université du Colorado à Denver, qui participe aux travaux de conservation. Le projet actuel est de construire des installations de recherche et d'éducation à l'extérieur d'un périmètre de 1,5 kilomètre autour du site, tout en étudiant le meilleur endroit pour bâtir un musée pour protéger et montrer les empreintes, qui ont toutes été ré-enterrées. « Nous allons les laisser en l’état pour l'instant », précise Charles Musiba.

Après avoir découvert les nouvelles empreintes, la première personne à qui Fidelis Masao a téléphoné est Richard Leakey, l'un des fils de Mary Leakey (décédée en 1996). Celui-ci lui aurait dit : « Je vous félicite et je vous plains en même temps. La nature a conservé ces empreintes pendant 4 millions d'années. Comment allez-vous faire en sorte qu'elles restent intactes pendant les millions d'années à venir ? » Fidelis Masao est resté sans réponse…


Source : Article traduit à partir de Scientific American / Nature
Crédit : Masao et al. eLife 2016;5:e19568. DOI: 10.7554/eLife.19568

Ces empreintes vieilles de 3,66 millions d'années ont été laissées par un Australopithèque qui « chaussait » du 42 et devait peser 48 kilogrammes pour 1,65 mètre. Un géant pour son espèce !

Les traces du plus grand Australopithèque connu Actualités

Les traces du plus grand Australopithèque connu

Le son ressemblait plus à un « sploutch » qu'à un bruit sourd, alors que le grand Australopithèque mâle traversait la savane d'Afrique de l'Est. Une éruption volcanique avait laissé une patine de cendre grise sur le sol, et les orages qui avaient suivi avaient transformé la terre en ciment humide. Sploutch, sploutch. Quatre individus plus petits marchaient non loin derrière. Sploutch, sploutch, sploutch. Un peu plus tard, la cendre tomberait encore du ciel, couvrant leurs traces durant les 3,66 millions d'années suivantes.

Les premières traces de ce voyage - les empreintes de pas de trois individus, qui sont les plus anciennes connues parmi tous les parents de la famille humaine - ont été découvertes dans les années 1970 au nord de la Tanzanie par l'anthropologue Mary Leakey et son équipe. Quelque 40 ans plus tard, les chercheurs ont mis au jour d’autres d'empreintes d'homininés sur le même site, désormais célèbre, de Laetoli. Elles rassemblent les traces de deux autres individus, dont celles d'un mâle qui aurait pesé environ 48 kilogrammes pour 1,65 mètre de haut, ce qui en fait de loin le plus grand Australopithèque connu dans le registre fossile. Les chercheurs l'ont nommé Chewie, en référence à Chewbacca, le personnage poilu de 2 mètres de haut de la saga Star Wars (le mot swahili signifiant léopard, chui, se prononce de façon similaire).

Les nouvelles empreintes de Laetoli, décrites dans un article publié le 14 décembre dans la revue eLife, suggèrent que les premiers homininés avaient peut-être une structure sociale semblable à celle des gorilles, où un grand mâle domine un groupe de petites femelles. Ces empreintes posent également la question épineuse de leur préservation.

Des empreintes fragiles

Les nouvelles empreintes ont en effet été découvertes lors des travaux entrepris pour préserver la piste d’empreintes originales, de 23 mètres de long. Menacées par l’érosion, l’eau et la végétation, les empreintes ont été recouvertes de terre l’essentiel du temps depuis les années 1990 pour être protégées. Le gouvernement tanzanien a approuvé un projet visant à construire un musée sur le site, comportant notamment un revêtement protecteur pour la première piste d’empreintes. Lors des travaux préparatoires, l'archéologue Fidelis Masao, de l'université de Dar es-Salaam en Tanzanie, a creusé des tranchées pour explorer le site et a découvert à cette occasion, en octobre 2014, une grande empreinte d'homininé. D'autres fouilles dans une zone située à 150 mètres des empreintes originales ont mis au jour 12 traces de pas plus grandes appartenant au même individu, formant une piste de 32 mètres de long, et une empreinte supplémentaire d'un autre individu plus petit.

Les premières empreintes découvertes sur le site de Laetoli ont été attribuées à Australopithecus afarensis – la même espèce que Lucy, qui a vécu il y a 3,2 millions d'années en Éthiopie. L'équipe de Fidelis Masao pense que les nouvelles traces ont probablement été laissées par des individus du même groupe. Les deux séries d'empreintes appartiennent en effet à des individus marchant dans la même direction nord-ouest. Elles ont été trouvées dans la même couche de cendres volcaniques et, par conséquent, ont probablement été créées dans des conditions identiques, durant un seul et même voyage, suggèrent Masao et ses collègues.

« C'est vraiment fascinant d’imaginer ce groupe marchant dans la même direction à la même vitesse », dit Marco Cherin, paléontologue à l'université de Pérouse, en Italie, qui a co-dirigé l'étude. « Vers où ? Nous ne le savons pas. Ils marchaient sans doute simplement comme tous les autres animaux qui ont laissé leurs empreintes à Laetoli. »

Les empreintes de Chewie sont plus grandes que les autres : elles mesurent 27 centimètres de long, l’équivalent d’une pointure 42. Selon Marco Cherin, ces empreintes imposantes signifient qu’il existait chez les premiers homininés des variations de taille beaucoup plus importantes que ce que l'on pensait jusqu'ici. Cela remet aussi en cause l’idée que la corpulence des homininés s’est développée seulement à mesure que leur cerveau devenait plus grand durant les 2,5 derniers millions d'années. L’équipe de paléontologues estime que les autres individus de Laetoli mesuraient entre 1,11 et 1,49 mètre de haut.

Des petits et des grands

La gamme de taille des individus de Laetoli pourrait aussi se rapporter à la structure sociale de ces homininés. Les chercheurs suggèrent que les plus grandes empreintes ont été laissées par un mâle adulte, tandis que les autres appartiennent à deux femelles adultes et deux jeunes ou femelles plus petites. Les groupes de gorilles, dans lesquels un mâle à dos argenté chapeaute un harem de femelles beaucoup plus petites et leur progéniture, montrent un éventail de tailles aussi large, note Marco Cherin, qui pense que les australopithèques ont pu adopter une organisation similaire.

Cependant, pour Neil Roach, paléoanthropologue à l’université Harvard, cette relation entre la structure sociale et les différences de taille entre les sexes n'est pas si claire. Il est néanmoins d'accord pour dire que ces nouvelles empreintes appuient l’idée que Australopithecus afarensis vivait en groupes composés de multiples mâles et femelles, et qu'il y avait des différences de corpulence importantes entre les sexes.

Bruce Latimer, paléoanthropologue à l'Université Case Western Reserve à Cleveland (Ohio), convient que les conclusions sur les groupes sociaux des australopithèques devraient être prises avec prudence. Mais Latimer, qui a travaillé sur les traces de pas originales, juge néanmoins extraordinaire la découverte de cette nouvelle piste d’empreintes, qui apporte en outre des preuves supplémentaires que les individus de Laetoli avaient des pieds qui n'étaient pas si différents de ceux des humains actuels. « Les empreintes de Laetoli ne dépareraient pas sur une plage aujourd'hui », résume-t-il.

Le projet de musée est momentanément suspendu tandis que les chercheurs cherchent d’autres empreintes et examinent l'état des pistes d'origine, explique Charles Musiba, anthropologue à l'université du Colorado à Denver, qui participe aux travaux de conservation. Le projet actuel est de construire des installations de recherche et d'éducation à l'extérieur d'un périmètre de 1,5 kilomètre autour du site, tout en étudiant le meilleur endroit pour bâtir un musée pour protéger et montrer les empreintes, qui ont toutes été ré-enterrées. « Nous allons les laisser en l’état pour l'instant », précise Charles Musiba.

Après avoir découvert les nouvelles empreintes, la première personne à qui Fidelis Masao a téléphoné est Richard Leakey, l'un des fils de Mary Leakey (décédée en 1996). Celui-ci lui aurait dit : « Je vous félicite et je vous plains en même temps. La nature a conservé ces empreintes pendant 4 millions d'années. Comment allez-vous faire en sorte qu'elles restent intactes pendant les millions d'années à venir ? » Fidelis Masao est resté sans réponse…


Source : Article traduit à partir de Scientific American / Nature
Crédit : Masao et al. eLife 2016;5:e19568. DOI: 10.7554/eLife.19568

Ces empreintes vieilles de 3,66 millions d'années ont été laissées par un Australopithèque qui « chaussait » du 42 et devait peser 48 kilogrammes pour 1,65 mètre. Un géant pour son espèce !

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


131 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

Découvrir toutes les activités