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En Antarctique, un immense lac a disparu en l'espace de trois jours
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En Antarctique, un immense lac a disparu en l'espace de trois jours

Un immense lac recouvert de glace a soudainement disparu en Antarctique. C'est ce que des scientifiques révèlent dans une étude parue le mois dernier dans la revue Geophysical Research Letters. Selon leur rapport, le phénomène s'est produit à l'hiver 2019 dans la barrière d'Amery situé à l'Est de la péninsule. Et ses conséquences demeurent incertaines.

C'est Roland Warner, glaciologue de l'Australian Antarctic Program Partnership de l'université de Tasmanie qui a constaté en premier la disparition du lac sur des images satellite capturées en janvier 2020. A l'époque, l'Australie était en proie à une intense saison d'incendies et le chercheur surveillait régulièrement les observations satellite pour constater les dégâts.

"En me tournant vers l'Antarctique, pour faire une pause, j'ai noté qu'il y avait une série de journées dégagées sur la barrière d'Amery et j'ai décidé de voir comment la saison de fonte de surface de l'été se déroulait", a raconté Roland Warner à Vice. "Les signes d'effondrement à la surface ont attiré mon regard".

Un lac disparu en trois jours

Grâce à d'autres images capturées par différents satellites, le scientifique a pu remonter le temps et constater que cette structure n'avait pas toujours été là. Six mois plus tôt, c'est un immense lac recouvert de glace qui se trouvait à cet endroit. Des données capturées par le ICESat-2 de la NASA ont finalement permis d'éclairer le mystère.

Elles ont révélé que le lac a disparu en l'espace de trois jours en juin 2019, formant une dépression - une doline de glace - recouvrant onze kilomètres carrés. A partir des observations, Roland Warner et ses collègues ont déterminé que l'étendue devait contenir, avant sa disparition, entre 600 et 750 millions de mètres cubes d'eau. Une quantité d'eau colossale.

A titre de comparaison, elle dépasse celle contenue dans le port de Sydney et équivaut à deux fois celle de la baie de San Diego. Les images satellite passées ont montré que la présence de ce bassin dans la barrière d'Amery remonte à loin - il était déjà présent dans les années 1970 - et que c'est la première fois qu'il connait un tel phénomène.

"Nous pensons que le poids de l'eau accumulée dans ce lac profond a ouvert une fissure dans la couche de glace située en dessous, un processus connu sous le nom d'hydrofracture qui provoque une évacuation de l'eau vers l'océan en dessous", a expliqué le glaciologue dans un communiqué.

Au vu de la quantité d'eau, "le flux dans l'océan pourrait avoir été similaire à celui des chutes du Niagara", a-t-il poursuivi, évoquant un "spectacle impressionnant". Et le phénomène a engendré de nets changements aux alentours comme en ont témoigné les données : autour du lac, la couche de glace s'est élevée de 36 mètres.

Une cavité à l'avenir incertain

"La perte de l'eau du lac a réduit le poids de la plateforme de glace flottante et la pression exercée par l'océan l'a fait remonter au niveau de la doline", a décrypté le Dr. Warner. Le processus ne s'est pas arrêté là. A l'été 2020, l'eau de fonte est venue remplir la cavité et former un nouveau lac à un rythme de plus d'un million de mètres d'eau par jour.

Les observations satellite ont indiqué que quelques jours après, cette eau avait creusé un nouveau canal de vingt mètres de large. Pour l'heure, l'évolution de cette étendue demeure incertaine. "Il est possible que l'eau de fonte s'accumule à nouveau ou soit évacuée vers l'océan plus fréquemment", a avancé le glaciologue dans le communiqué.

"Il semble que la fracture se soit rouverte brièvement durant la saison de fonte de l'été 2020, donc c'est assurément un système à surveiller", a-t-il continué. "Cet événement soulève de nouvelles questions sur la fréquence de ces lacs profonds recouverts de glace au niveau des plateformes glaciaires et la façon dont ils évoluent".

Des exemples d'hydrofracture ont déjà été recensés par le passé sur d'autres plateformes en Antarctique. Mais c'est la première fois qu'un phénomène d'une telle ampleur et une telle rapidité est étudié en détails. En particulier au niveau d'une barrière telle que celle d'Amery où la couche de glace est épaisse, dépassant les 1.400 mètres.

Le changement climatique en cause ?

L'Antarctique fait partie des régions qui se réchauffent le plus vite de la planète. Au cours des dernières décennies, les barrières de glace ont connu une hausse de la fonte et des températures. Une tendance qui va se poursuivre, selon les récentes projections, et accroitre le nombre de lacs de fonte.

Or, la présence de ces étendues pourrait augmenter le risque d'hydrofracture qui pourrait à son tour conduire à une fragilisation voire un effondrement des plateformes, contribuant à la montée des eaux. Dans le cas présent, toutefois, difficile d'attribuer avec certitude la disparition de ce lac à ces conditions climatiques changeantes.

"Ce brusque événement a apparemment été l'aboutissement de décennies d'accumulation et de stockage d'eau de fonte sous cette couche de glace", a appuyé dans le communiqué le professeur Jonathan Kingslake, chercheur au Lamont Doherty Earth Observatory de l'université de Columbia et co-auteur de l'étude.

"Cependant, les quantités accrues d'eau de fonte s'évacuant dans les lacs profonds et causant une hydrofracture au niveau des barrières glaciaires épaisses doivent aussi être considérées dans les études sur le futur de l'Antarctique", a-t-il ajouté. Des projections avancent que la fonte de surface pourrait doubler en Antarctique d'ici à 2050.


Source : Emeline Férard / Geo
Crédit : C.F.Carter

En Antarctique, un immense lac a disparu en l'espace de trois jours Actualités

En Antarctique, un immense lac a disparu en l'espace de trois jours

Un immense lac recouvert de glace a soudainement disparu en Antarctique. C'est ce que des scientifiques révèlent dans une étude parue le mois dernier dans la revue Geophysical Research Letters. Selon leur rapport, le phénomène s'est produit à l'hiver 2019 dans la barrière d'Amery situé à l'Est de la péninsule. Et ses conséquences demeurent incertaines.

C'est Roland Warner, glaciologue de l'Australian Antarctic Program Partnership de l'université de Tasmanie qui a constaté en premier la disparition du lac sur des images satellite capturées en janvier 2020. A l'époque, l'Australie était en proie à une intense saison d'incendies et le chercheur surveillait régulièrement les observations satellite pour constater les dégâts.

"En me tournant vers l'Antarctique, pour faire une pause, j'ai noté qu'il y avait une série de journées dégagées sur la barrière d'Amery et j'ai décidé de voir comment la saison de fonte de surface de l'été se déroulait", a raconté Roland Warner à Vice. "Les signes d'effondrement à la surface ont attiré mon regard".

Un lac disparu en trois jours

Grâce à d'autres images capturées par différents satellites, le scientifique a pu remonter le temps et constater que cette structure n'avait pas toujours été là. Six mois plus tôt, c'est un immense lac recouvert de glace qui se trouvait à cet endroit. Des données capturées par le ICESat-2 de la NASA ont finalement permis d'éclairer le mystère.

Elles ont révélé que le lac a disparu en l'espace de trois jours en juin 2019, formant une dépression - une doline de glace - recouvrant onze kilomètres carrés. A partir des observations, Roland Warner et ses collègues ont déterminé que l'étendue devait contenir, avant sa disparition, entre 600 et 750 millions de mètres cubes d'eau. Une quantité d'eau colossale.

A titre de comparaison, elle dépasse celle contenue dans le port de Sydney et équivaut à deux fois celle de la baie de San Diego. Les images satellite passées ont montré que la présence de ce bassin dans la barrière d'Amery remonte à loin - il était déjà présent dans les années 1970 - et que c'est la première fois qu'il connait un tel phénomène.

"Nous pensons que le poids de l'eau accumulée dans ce lac profond a ouvert une fissure dans la couche de glace située en dessous, un processus connu sous le nom d'hydrofracture qui provoque une évacuation de l'eau vers l'océan en dessous", a expliqué le glaciologue dans un communiqué.

Au vu de la quantité d'eau, "le flux dans l'océan pourrait avoir été similaire à celui des chutes du Niagara", a-t-il poursuivi, évoquant un "spectacle impressionnant". Et le phénomène a engendré de nets changements aux alentours comme en ont témoigné les données : autour du lac, la couche de glace s'est élevée de 36 mètres.

Une cavité à l'avenir incertain

"La perte de l'eau du lac a réduit le poids de la plateforme de glace flottante et la pression exercée par l'océan l'a fait remonter au niveau de la doline", a décrypté le Dr. Warner. Le processus ne s'est pas arrêté là. A l'été 2020, l'eau de fonte est venue remplir la cavité et former un nouveau lac à un rythme de plus d'un million de mètres d'eau par jour.

Les observations satellite ont indiqué que quelques jours après, cette eau avait creusé un nouveau canal de vingt mètres de large. Pour l'heure, l'évolution de cette étendue demeure incertaine. "Il est possible que l'eau de fonte s'accumule à nouveau ou soit évacuée vers l'océan plus fréquemment", a avancé le glaciologue dans le communiqué.

"Il semble que la fracture se soit rouverte brièvement durant la saison de fonte de l'été 2020, donc c'est assurément un système à surveiller", a-t-il continué. "Cet événement soulève de nouvelles questions sur la fréquence de ces lacs profonds recouverts de glace au niveau des plateformes glaciaires et la façon dont ils évoluent".

Des exemples d'hydrofracture ont déjà été recensés par le passé sur d'autres plateformes en Antarctique. Mais c'est la première fois qu'un phénomène d'une telle ampleur et une telle rapidité est étudié en détails. En particulier au niveau d'une barrière telle que celle d'Amery où la couche de glace est épaisse, dépassant les 1.400 mètres.

Le changement climatique en cause ?

L'Antarctique fait partie des régions qui se réchauffent le plus vite de la planète. Au cours des dernières décennies, les barrières de glace ont connu une hausse de la fonte et des températures. Une tendance qui va se poursuivre, selon les récentes projections, et accroitre le nombre de lacs de fonte.

Or, la présence de ces étendues pourrait augmenter le risque d'hydrofracture qui pourrait à son tour conduire à une fragilisation voire un effondrement des plateformes, contribuant à la montée des eaux. Dans le cas présent, toutefois, difficile d'attribuer avec certitude la disparition de ce lac à ces conditions climatiques changeantes.

"Ce brusque événement a apparemment été l'aboutissement de décennies d'accumulation et de stockage d'eau de fonte sous cette couche de glace", a appuyé dans le communiqué le professeur Jonathan Kingslake, chercheur au Lamont Doherty Earth Observatory de l'université de Columbia et co-auteur de l'étude.

"Cependant, les quantités accrues d'eau de fonte s'évacuant dans les lacs profonds et causant une hydrofracture au niveau des barrières glaciaires épaisses doivent aussi être considérées dans les études sur le futur de l'Antarctique", a-t-il ajouté. Des projections avancent que la fonte de surface pourrait doubler en Antarctique d'ici à 2050.


Source : Emeline Férard / Geo
Crédit : C.F.Carter

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


131 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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