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Artefacts indéchiffrables : ces objets qui résistent à l'analyse des archéologues
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Artefacts indéchiffrables : ces objets qui résistent à l'analyse des archéologues

Le monde qui nous entoure est si vaste et si complexe qu’il semble déraisonnable de penser que l’on sera, un jour, en capacité de percer chacun des secrets qu’il cache. Malgré des prouesses scientifiques occasionnelles, les spécialistes de divers domaines demeurent perplexes face à de nombreux sujets. Début juin, le site The Conversation s'est attaché à lister cinq anciens objets dont la création et l'usage continuent d'intriguer les experts.

Focus sur le dodécaèdre romain

Parmi les artefacts cités par le média indépendant en ligne, figure le dodécaèdre romain. Ces mystérieux éléments pentagonaux, percés de trous, intriguent les spécialistes en raison de leur fonction qui demeure inconnue. Au cœur de l’été 2022, l’un de ces objets a été découvert à Norton Disney dans le Lincolnshire (Angleterre), nourrissant de nouvelles discussions. Ces objets datent de la période romaine et une centaine d’entre eux ont été exhumés dans les provinces du nord-ouest de l’ancien empire romain.

Chacun de ces dodécaèdres, constitué d’un alliage de cuivre, a été finement travaillé. Il est d’autant plus difficile d’en connaître la fonction parce qu’aucune représentation de ces objets n’est connue, à ce jour, dans la littérature ancienne ou dans l’art. Aussi, ils ne se conforment pas à une taille standard, et ne présentent que rarement des stigmates liés à un quelconque usage, qui pourraient informer les experts au sujet de leur fonction.

Les boules de pierre néolithiques

Un autre mystère auquel fait référence le site qui propose des articles de vulgarisation concerne des boules de pierre finement sculptées, datant de la période néolithique (vers 3200-2500 avant J.-C.) et principalement mises au jour en Écosse. Plus de quatre-cents de ces artefacts, qui ont généralement la taille d’une balle de cricket (et ont été fabriqués à partir d’une très grande variété de pierres) ont été découverts, notamment dans des sépultures.

Étaient-ce des armes de guerre, des jouets, des dispositifs mnémoniques ou encore des missiles destinés à dissuader les prédateurs ? Le fait qu’aucune de ces pierres ne soit identique et qu'elles soient souvent découvertes à l’unité (comme si elles n’avaient jamais fait partie d’un tout), empêche les archéologues de comprendre leur utilité. Un constat a néanmoins été fait : plusieurs de ces objets semblent, de par leurs stigmates, avoir été souvent manipulés.

Les "anneaux de verrouillage"

Les "anneaux de verrouillage", des artefacts conçus au cours de l’âge de Bronze, rendent eux aussi perplexes les scientifiques, observe The Conversation. C’est dans certaines parties de la France, en Grande-Bretagne et en Irlande que ces objets penannulaires – c’est-à-dire ouverts – ont été exhumés jusqu’à présent. Qu’ils présentent de délicates gravures géométriques ou soient exempts de motifs, ils sont, la plupart du temps, retrouvés par paires.

Les archéologues peinent à les associer à un contexte en particulier, ce qui leur permettrait d’en comprendre la fonction. De récentes interprétations suggèrent qu’il pourrait s’agir d’ornements pour cheveux, de bijoux pour le nez ou même de boucles d’oreilles. Cependant, aucune de ces hypothèses ne convainc pleinement les spécialistes, qui jugent que certains éléments présents sur ces pièces les auraient rendues trop inconfortables pour être portées.

Tambours de craie néolithiques

Cette liste se poursuit avec une allusion aux tambours de craie néolithiques. En dépit de leur appellation, ces objets n’auraient pas de vocation musicale. En 2022, le British Museum ouvrait les portes d’une nouvelle exposition qui présentait l’un d’eux, découvert en Angleterre. Les responsables du musée londonien estimaient qu’il s’agissait de la découverte préhistorique la plus importante, dans le pays, depuis un siècle. Dès 1889, trois de ces cylindres de craie sculptés étaient retrouvés dans la tombe d’un enfant. Dans un article consacré au sujet, il y a deux ans, The Guardian estimait qu’il pourrait s’agir d’une sorte de talisman, une sculpture artistique visant à protéger les jeunes humains décédés.

Des broyeurs ornés de gravures

Les derniers artefacts cités par le site d’informations sont les mystérieux broyeurs cosmétiques romano-britanniques, qui datent de la fin de l’âge du fer jusqu’au début de la période romaine (environ 100 à 200 av. J.-C.). Ces petits kits en alliage de cuivre se composent d’un mortier et d’un pilon. Parmi les ornements courants, figurent les bovidés, les oiseaux aquatiques ou même une symbolique phallique, qui peut laisser penser à une association avec la fertilité.

ypiquement britanniques, ils n’ont que très rarement été exhumés en Europe continentale. L’étude de ces objets a suggéré qu’ils avaient été frottés les uns contre les autres par une action de meulage latéral. Le mystère qui les entoure ne concerne pas leur fonction, mais plutôt la substance qu’ils servaient à broyer. Il pourrait s’agir de cosmétiques, d’aphrodisiaques, de stupéfiants ou encore de médicaments. Il ne s’agit que de suppositions, faites par des experts, car le contenu d’un mortier n’a jamais été analysé avec succès.

Cette liste n’est pas exhaustive. Nombreux sont les objets qui, à travers le monde, attisent la curiosité des scientifiques. En janvier dernier, nous nous étions fait l’écho de l’un d’eux : un étrange artefact en argent doré, daté de la fin du VIIIe ou du début du IXe siècle, avait été découvert dans le comté anglais de Norfolk. Les archéologues n’avaient pas caché leur étonnement. Ils avaient expliqué que cet élément, bien qu’il présente un design sophistiqué qui pourrait l’apparenter à de célèbres œuvres médiévales, sa fonction demeurait inconnue.


Source : Charline Vergne / GEO
Crédit : Ader

Dodécaèdre romain formé de douze faces pentagonales en alliage de cuivre.

Artefacts indéchiffrables : ces objets qui résistent à l'analyse des archéologues Actualités

Artefacts indéchiffrables : ces objets qui résistent à l'analyse des archéologues

Le monde qui nous entoure est si vaste et si complexe qu’il semble déraisonnable de penser que l’on sera, un jour, en capacité de percer chacun des secrets qu’il cache. Malgré des prouesses scientifiques occasionnelles, les spécialistes de divers domaines demeurent perplexes face à de nombreux sujets. Début juin, le site The Conversation s'est attaché à lister cinq anciens objets dont la création et l'usage continuent d'intriguer les experts.

Focus sur le dodécaèdre romain

Parmi les artefacts cités par le média indépendant en ligne, figure le dodécaèdre romain. Ces mystérieux éléments pentagonaux, percés de trous, intriguent les spécialistes en raison de leur fonction qui demeure inconnue. Au cœur de l’été 2022, l’un de ces objets a été découvert à Norton Disney dans le Lincolnshire (Angleterre), nourrissant de nouvelles discussions. Ces objets datent de la période romaine et une centaine d’entre eux ont été exhumés dans les provinces du nord-ouest de l’ancien empire romain.

Chacun de ces dodécaèdres, constitué d’un alliage de cuivre, a été finement travaillé. Il est d’autant plus difficile d’en connaître la fonction parce qu’aucune représentation de ces objets n’est connue, à ce jour, dans la littérature ancienne ou dans l’art. Aussi, ils ne se conforment pas à une taille standard, et ne présentent que rarement des stigmates liés à un quelconque usage, qui pourraient informer les experts au sujet de leur fonction.

Les boules de pierre néolithiques

Un autre mystère auquel fait référence le site qui propose des articles de vulgarisation concerne des boules de pierre finement sculptées, datant de la période néolithique (vers 3200-2500 avant J.-C.) et principalement mises au jour en Écosse. Plus de quatre-cents de ces artefacts, qui ont généralement la taille d’une balle de cricket (et ont été fabriqués à partir d’une très grande variété de pierres) ont été découverts, notamment dans des sépultures.

Étaient-ce des armes de guerre, des jouets, des dispositifs mnémoniques ou encore des missiles destinés à dissuader les prédateurs ? Le fait qu’aucune de ces pierres ne soit identique et qu'elles soient souvent découvertes à l’unité (comme si elles n’avaient jamais fait partie d’un tout), empêche les archéologues de comprendre leur utilité. Un constat a néanmoins été fait : plusieurs de ces objets semblent, de par leurs stigmates, avoir été souvent manipulés.

Les "anneaux de verrouillage"

Les "anneaux de verrouillage", des artefacts conçus au cours de l’âge de Bronze, rendent eux aussi perplexes les scientifiques, observe The Conversation. C’est dans certaines parties de la France, en Grande-Bretagne et en Irlande que ces objets penannulaires – c’est-à-dire ouverts – ont été exhumés jusqu’à présent. Qu’ils présentent de délicates gravures géométriques ou soient exempts de motifs, ils sont, la plupart du temps, retrouvés par paires.

Les archéologues peinent à les associer à un contexte en particulier, ce qui leur permettrait d’en comprendre la fonction. De récentes interprétations suggèrent qu’il pourrait s’agir d’ornements pour cheveux, de bijoux pour le nez ou même de boucles d’oreilles. Cependant, aucune de ces hypothèses ne convainc pleinement les spécialistes, qui jugent que certains éléments présents sur ces pièces les auraient rendues trop inconfortables pour être portées.

Tambours de craie néolithiques

Cette liste se poursuit avec une allusion aux tambours de craie néolithiques. En dépit de leur appellation, ces objets n’auraient pas de vocation musicale. En 2022, le British Museum ouvrait les portes d’une nouvelle exposition qui présentait l’un d’eux, découvert en Angleterre. Les responsables du musée londonien estimaient qu’il s’agissait de la découverte préhistorique la plus importante, dans le pays, depuis un siècle. Dès 1889, trois de ces cylindres de craie sculptés étaient retrouvés dans la tombe d’un enfant. Dans un article consacré au sujet, il y a deux ans, The Guardian estimait qu’il pourrait s’agir d’une sorte de talisman, une sculpture artistique visant à protéger les jeunes humains décédés.

Des broyeurs ornés de gravures

Les derniers artefacts cités par le site d’informations sont les mystérieux broyeurs cosmétiques romano-britanniques, qui datent de la fin de l’âge du fer jusqu’au début de la période romaine (environ 100 à 200 av. J.-C.). Ces petits kits en alliage de cuivre se composent d’un mortier et d’un pilon. Parmi les ornements courants, figurent les bovidés, les oiseaux aquatiques ou même une symbolique phallique, qui peut laisser penser à une association avec la fertilité.

ypiquement britanniques, ils n’ont que très rarement été exhumés en Europe continentale. L’étude de ces objets a suggéré qu’ils avaient été frottés les uns contre les autres par une action de meulage latéral. Le mystère qui les entoure ne concerne pas leur fonction, mais plutôt la substance qu’ils servaient à broyer. Il pourrait s’agir de cosmétiques, d’aphrodisiaques, de stupéfiants ou encore de médicaments. Il ne s’agit que de suppositions, faites par des experts, car le contenu d’un mortier n’a jamais été analysé avec succès.

Cette liste n’est pas exhaustive. Nombreux sont les objets qui, à travers le monde, attisent la curiosité des scientifiques. En janvier dernier, nous nous étions fait l’écho de l’un d’eux : un étrange artefact en argent doré, daté de la fin du VIIIe ou du début du IXe siècle, avait été découvert dans le comté anglais de Norfolk. Les archéologues n’avaient pas caché leur étonnement. Ils avaient expliqué que cet élément, bien qu’il présente un design sophistiqué qui pourrait l’apparenter à de célèbres œuvres médiévales, sa fonction demeurait inconnue.


Source : Charline Vergne / GEO
Crédit : Ader

Dodécaèdre romain formé de douze faces pentagonales en alliage de cuivre.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Les 28 février & 6 mars

SPÉCIAL CARNAVAL
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES"

Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème du Carnaval ! Tu pourras le rapporter chez toi et l’utiliser pour éloigner les mauvais rêves !
Vendredi 28 février et jeudi 6 mars à 14h30. Dès 3 ans. Tarif : 5 €. Réservation obligatoire.

Musée du tissage et de la soierie
125 place Vaucansonp
42510 Bussières
04 77 27 33 95 
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 8 mars

EXPOSITION
"PEINTURES DE JEAN-PAUL ROUX "

Le musée reçoit Jean-Paul Roux. L’artiste peint depuis une trentaine d’années à l’huile et au couteau associant grattages, aplats et couleurs avec la volonté d’épurer le sujet pour ne garder que l’essentiel.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Le 28 février

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"LA VIE AUTOUR DES ARBRES"

Venez découvrir les arbres et leurs habitants. Lors de cette animation vous aurez l’occasion de (re)connaître les indices de présence laissés par les animaux qui vivent dans les arbres, la notion d’écosystème et l’importance d’une forêt diversifiée. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


Le 6 mars

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"BALADE NATURALISTE À LA FORÊT DE LA GENÊTE"

C’est l’hiver, les branches des arbres sont nues. Mais les animaux de la forêt n’ont pas déserté. Arpentons la forêt de la Genête à la recherche de terriers de blaireaux. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


75 - Paris

Le 15 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"APPRENTIS STRATÈGES"
Pour revivre le siège de Toulon en 1793, aux côtés de Napoléon, grâce au plan-relief de la ville et à un jeu de stratégie grâce à une grande carte tirée des archives du musée. De 8 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Le 19 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"CONSTRUIS TA CITADELLE EN KAPLA"
Pour découvrir les fortifications et construire en famille une citadelle ou un fort en planchettes de bois Kapla. De 6 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com

Lieux:

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