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Deux girafes "naines" observées pour la première fois en Ouganda et en Namibie
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Deux girafes "naines" observées pour la première fois en Ouganda et en Namibie

Les girafes sont reconnaissables à leur corps majestueux dressé sur de longues pattes élancées et prolongé par un cou élancé. En Ouganda, c'est toutefois un spécimen plus inhabituel que des scientifiques ont rencontré. Une jeune girafe dont les pattes étaient beaucoup plus courtes et plus robustes.

Quelques années après dans une ferme privée du centre de la Namibie, c'est un autre spécimen à l'apparence similaire qui a été aperçu. Si les deux individus affichaient des mensurations différentes, ils se distinguaient nettement de leurs congénères. Une particularité qui a poussé les chercheurs à vouloir en savoir plus.

A travers une série d'analyses, ils ont comparé l'anatomie des deux mâles avec celles de leurs congénères des sous-espèces correspondantes, Giraffa camelopardalis camelopardalis pour l'Ougandaise et Giraffa camelopardalis angolensis pour la Namibienne. Conclusion : ils seraient bien atteints d'une anomalie de développement.

Une anomalie rare documentée pour la première fois

Selon l'étude publiée dans la revue BMC Research Notes, ces girafes souffrent plus précisément de ce que les spécialistes appellent une dysplasie squelettique. Ce syndrome est caractérisé par une anomalie du développement osseux qui peut conduire à l'apparition de membres plus courts, provoquant un "nanisme disproportionné".

De tels cas ont déjà été observés chez des animaux sauvages et domestiques. En 2013, un éléphant nain a notamment été repéré et suivi dans le parc national d'Uda Walawe au Sri Lanka. Ce type d'anomalie demeure toutefois rare dans la nature et c'est la première fois, selon les auteurs de l'étude, que des exemples sont documentés chez la girafe.

Le premier spécimen a été découvert dans le parc national de Murchison Falls en Ouganda en 2015 tandis que le second a été repéré en 2018. Les scientifiques ont déterminé qu'il s'agissait dans les deux cas de sub-adultes : l'âge du premier était estimé à au moins 15 mois en 2017 et le propriétaire du terrain namibien a affirmé que le second était né en 2014.

Pour mieux appréhender leur taille, Michael B. Brown et Emma Wells, tous deux biologistes de la Giraffe Conservation Foundation, ont conduit une vaste étude photographique. Dans la population ougandaise comme namibienne, ils ont photographié toutes les girafes rencontrées, en notant leur âge, leur sexe et leur localisation.

Ils ont ensuite comparé les observations morphologiques en prenant en compte les différents critères. Résultats : les deux spécimens repérés ont montré des dimensions nettement inférieures au niveau des os des pattes avec un métacarpe de 37,6 et 50,5 centimètres contre 65,1 cm en moyenne chez les sub-adultes.

Un autre os des pattes, le radius, est également apparu nettement plus court avec des dimensions de 52,35 et 50,89 cm contre une moyenne de 72,17 cm. En revanche, le cou est apparu plus long chez la girafe ougandaise (146,13 cm) et plus court chez la Namibienne (101,15 cm), la moyenne de la population étant de 135,21 cm.

"Les comparaisons morphométriques [...] ont indiqué que les deux girafes avec des anomalies présentent des proportions squelettiques qui diffèrent significativement des mesures observées au niveau de la population chez les sub-adultes", écrivent les auteurs dans leur rapport.

Une origine qui demeure floue

L'échantillon de sujet étant limité et aucune étude génétique n'ayant été menée, difficile de déterminer l'origine de l'anomalie. Certains cas similaires observés chez des animaux captifs ont été associés à la consanguinité et à une faible diversité génétique. Dans le cas présent, il est cependant difficile de confirmer cette théorie.

Comme l'expliquent les auteurs, la population de girafes du parc national de Murchison Falls en Ouganda est aujourd'hui estimée à plus de 1.350 individus adultes. Mais ça n'a pas toujours été le cas. A la fin des années 1980, elle avait même décliné jusqu'à atteindre moins de 80 individus.

Malgré tout, des études génétiques ont suggéré que le taux de consanguinité y était relativement faible. Il est donc tout à fait possible qu'elle ne soit pas responsable de la particularité des girafes naines. D'autant plus que ces dernières étaient les seules de leur population respective à présenter une telle anomalie.

Des girafes qui ont réussi à survivre

Comme d'autres anomalies telles que le leucisme qui affecte la pigmentation, cette particularité n'est pas sans conséquences sur la survie des individus qui en sont atteints. Elle peut notamment provoquer des difficultés à se déplacer, comme cela a été observé chez la girafe namibienne, et donc à échapper aux éventuels prédateurs.

Le taux de mortalité des bébés girafes est généralement élevé, atteignant jusqu'à 66% avant l'âge d'un an dans certaines populations. Ces deux spécimens semblent toutefois avoir réussi à survivre. Probablement en raison de la prédation faible dans le parc ougandais et inexistante dans la ferme privée namibienne, avancent les chercheurs.

"Les deux girafes ont survécu au moins jusqu'au stade de sub-adulte (entre un et six ans)", soulignent Michael B. Brown et sa collègue. Pour l'heure, on ignore en revanche la suite de leur histoire. La girafe ougandaise a été observée pour la dernière fois en mai 2017 et la girafe namibienne en juillet 2020.


Source : Geo
Crédit : Emma Wells/M. B. Brown et al

Deux girafes "naines" observées pour la première fois en Ouganda et en Namibie Actualités

Deux girafes "naines" observées pour la première fois en Ouganda et en Namibie

Les girafes sont reconnaissables à leur corps majestueux dressé sur de longues pattes élancées et prolongé par un cou élancé. En Ouganda, c'est toutefois un spécimen plus inhabituel que des scientifiques ont rencontré. Une jeune girafe dont les pattes étaient beaucoup plus courtes et plus robustes.

Quelques années après dans une ferme privée du centre de la Namibie, c'est un autre spécimen à l'apparence similaire qui a été aperçu. Si les deux individus affichaient des mensurations différentes, ils se distinguaient nettement de leurs congénères. Une particularité qui a poussé les chercheurs à vouloir en savoir plus.

A travers une série d'analyses, ils ont comparé l'anatomie des deux mâles avec celles de leurs congénères des sous-espèces correspondantes, Giraffa camelopardalis camelopardalis pour l'Ougandaise et Giraffa camelopardalis angolensis pour la Namibienne. Conclusion : ils seraient bien atteints d'une anomalie de développement.

Une anomalie rare documentée pour la première fois

Selon l'étude publiée dans la revue BMC Research Notes, ces girafes souffrent plus précisément de ce que les spécialistes appellent une dysplasie squelettique. Ce syndrome est caractérisé par une anomalie du développement osseux qui peut conduire à l'apparition de membres plus courts, provoquant un "nanisme disproportionné".

De tels cas ont déjà été observés chez des animaux sauvages et domestiques. En 2013, un éléphant nain a notamment été repéré et suivi dans le parc national d'Uda Walawe au Sri Lanka. Ce type d'anomalie demeure toutefois rare dans la nature et c'est la première fois, selon les auteurs de l'étude, que des exemples sont documentés chez la girafe.

Le premier spécimen a été découvert dans le parc national de Murchison Falls en Ouganda en 2015 tandis que le second a été repéré en 2018. Les scientifiques ont déterminé qu'il s'agissait dans les deux cas de sub-adultes : l'âge du premier était estimé à au moins 15 mois en 2017 et le propriétaire du terrain namibien a affirmé que le second était né en 2014.

Pour mieux appréhender leur taille, Michael B. Brown et Emma Wells, tous deux biologistes de la Giraffe Conservation Foundation, ont conduit une vaste étude photographique. Dans la population ougandaise comme namibienne, ils ont photographié toutes les girafes rencontrées, en notant leur âge, leur sexe et leur localisation.

Ils ont ensuite comparé les observations morphologiques en prenant en compte les différents critères. Résultats : les deux spécimens repérés ont montré des dimensions nettement inférieures au niveau des os des pattes avec un métacarpe de 37,6 et 50,5 centimètres contre 65,1 cm en moyenne chez les sub-adultes.

Un autre os des pattes, le radius, est également apparu nettement plus court avec des dimensions de 52,35 et 50,89 cm contre une moyenne de 72,17 cm. En revanche, le cou est apparu plus long chez la girafe ougandaise (146,13 cm) et plus court chez la Namibienne (101,15 cm), la moyenne de la population étant de 135,21 cm.

"Les comparaisons morphométriques [...] ont indiqué que les deux girafes avec des anomalies présentent des proportions squelettiques qui diffèrent significativement des mesures observées au niveau de la population chez les sub-adultes", écrivent les auteurs dans leur rapport.

Une origine qui demeure floue

L'échantillon de sujet étant limité et aucune étude génétique n'ayant été menée, difficile de déterminer l'origine de l'anomalie. Certains cas similaires observés chez des animaux captifs ont été associés à la consanguinité et à une faible diversité génétique. Dans le cas présent, il est cependant difficile de confirmer cette théorie.

Comme l'expliquent les auteurs, la population de girafes du parc national de Murchison Falls en Ouganda est aujourd'hui estimée à plus de 1.350 individus adultes. Mais ça n'a pas toujours été le cas. A la fin des années 1980, elle avait même décliné jusqu'à atteindre moins de 80 individus.

Malgré tout, des études génétiques ont suggéré que le taux de consanguinité y était relativement faible. Il est donc tout à fait possible qu'elle ne soit pas responsable de la particularité des girafes naines. D'autant plus que ces dernières étaient les seules de leur population respective à présenter une telle anomalie.

Des girafes qui ont réussi à survivre

Comme d'autres anomalies telles que le leucisme qui affecte la pigmentation, cette particularité n'est pas sans conséquences sur la survie des individus qui en sont atteints. Elle peut notamment provoquer des difficultés à se déplacer, comme cela a été observé chez la girafe namibienne, et donc à échapper aux éventuels prédateurs.

Le taux de mortalité des bébés girafes est généralement élevé, atteignant jusqu'à 66% avant l'âge d'un an dans certaines populations. Ces deux spécimens semblent toutefois avoir réussi à survivre. Probablement en raison de la prédation faible dans le parc ougandais et inexistante dans la ferme privée namibienne, avancent les chercheurs.

"Les deux girafes ont survécu au moins jusqu'au stade de sub-adulte (entre un et six ans)", soulignent Michael B. Brown et sa collègue. Pour l'heure, on ignore en revanche la suite de leur histoire. La girafe ougandaise a été observée pour la dernière fois en mai 2017 et la girafe namibienne en juillet 2020.


Source : Geo
Crédit : Emma Wells/M. B. Brown et al

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 5 janvier 

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE – LES PORTS ANTIQUES DE NARBONNE"

À travers plus de 150 objets, cette exposition met en valeur les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale, et détaille ses activités et métiers. Cette exposition place le public dans un rôle d'archéologue et lui fait vivre une expérience sensorielle unique.

EPCC Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


21 - Côte d'Or

Jusqu'au 5 janvier 

EXPOSITION 
"OCÉAN, ICI COMMENCE LA VIE"

Une exposition fascinante, captivante pour explorer, observer, découvrir, admirer, comprendre, agir… et prendre conscience de l'importance cruciale de l'océan dans l'équilibre de notre planète.

Le Jardin de l'Arquebuse
1 avenue Albert 1er & 14 rue Jehan de Marville 
21000 Dijon
03 80 48 82 00
www.ma-nature.dijon.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Jusqu'au 31 janvier 

ACTIVITE 3-11 ANS
LA FERME AUX CROCODILES

Le Père Noël est passé chez les crocos… et il est joueur ! Le Père Noël a caché 6 paquets cadeaux dans notre Réserve Tropicale. Les enfants doivent les retrouver et deviner à quel animal appartient chaque cadeau. Des indices et un plan les aideront à mener à bien cette mission !

La Ferme aux Crocodiles
395 allée de Beauplan
26700 Pierrelatte
04 75 04 47 42
www.lafermeauxcrocodiles.com


Jusqu'au 5 janvier

ANIMATIONS GRATUITES
LA FERME AUX CROCODILES

10h30 : RDV animalier avec les oiseaux - 11h30 : RDV animalier avec les tortues géantes - 12h00 : Documentaires à l'amphithéatre - 14h00 : RDV animalier avec les iguanes - 15h00 : tout sur le crocodile - 16h00 RDV animalier avec les oiseaux. Contes du Baobab du 21 au 23 décembre. Rencontre avec la mascotte le 24 décembre.

La Ferme aux Crocodiles
395 allée de Beauplan
26700 Pierrelatte
04 75 04 47 42
www.lafermeauxcrocodiles.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


37 - Indre et Loire

Jusqu'au 5 janvier

"NOEL AU PAYS DES CHÂTEAUX, CHENONCEAU, UN NOËL DE PORCELAINE"

En partenariat avec la maison Bernadaud, le Château de Chenonceau propose une visite autour de la spécialité de cette famille depuis 5 générations : la porcelaine de Limoges. Découvrez l'association de deux savoirs-faire : la porcelaine et l’art de la table d’un côté et les compositions florales de l’Atelier floral du Château de Chenonceau de l’autre.

Château de Chenonceau
37150 Chenonceaux
02 47 23 44 06
www.chenonceau.com


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Jusqu'au 5 janvier 

EXPOSITION 
"POUPÉE N’EST PAS JOUER" 

L’exposition est consacrée aux différentes fonctions que peut prendre la poupée dans notre société quand elle n’est plus un simple jouet destiné aux enfants. Elle devient alors support de réflexion et d’analyse sur des phénomènes d’ordre historique, anthropologique, médical, social ou artistique...

Musée d’Allard
13 boulevard de la Préfecture
42600 Montbrison
04 77 96 39 15
www.facebook.com/museeallard


63 - Puy de Dôme

Jusqu'au 23 février 

EXPOSITIONS
"DOUBLE PARADISO"

L'exposition Double Paradiso a ouvert ses portes. Du jardin des délices à la forêt du Petit chaperon rouge, embarquez pour un voyage imaginaire qui vous mènera dans l'univers captivant de Matteo CIbic, talentueux designer italien. Ses créations hybrides et humoristiques viendront ponctuer votre découverte de l'exposition présentée simultanément au musée Mandet et au Musée régional d'Auvergne.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville - 63200 Riom
Musée régional d’Auvergne
10 bis rue Delille - 63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/musees


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 5 janvier 

EXPOSITION MUSÉE LALIQUE
"HAPPY CRISTAL"

Happy Cristal revient chaque mois de décembre pour célébrer les fêtes de fin d’année au musée Lalique. C’est l’occasion, au travers de cette exposition-évènement, de mettre en avant les créations récentes de la cristallerie et de les faire vivre dans des mises en scène qui invitent au rêve, à l’évasion.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Jusqu'au 22 février 

EXPOSITION
"CLEMENCEAU CROQUÉ PAR SEM"

Le parcours de l’exposition-focus présente les débuts artistiques de Sem, le chroniqueur de la Belle Époque. Le parcours aborde sa carrière dans la presse et sa brève collaboration avec Clemenceau en 1913. Au moment où la guerre éclate, Sem devient correspondant de guerre pour plusieurs journaux et profite de cette période pour peaufiner l’imagerie clemenciste.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


77 - Seine et Marne

Jusqu'au 5 janvier

"LE GRAND NOEL"
VAUX-LE-VICOMTE

Vaux-le-Vicomte vous invite à plonger dans l’univers des contes pour sa nouvelle édition du Grand Noël. Entre décors somptueux, feux de cheminée et projections monumentales, laissez-vous émerveiller. 
Une expérience magique pour toute la famille en compagnie de Casse-Noisette, Blanche Neige ou encore Alice au Pays des Merveilles. 

Château de Vaux-le-Vicomte
77950 Maincy
https://vaux-le-vicomte.com


84 - Vaucluse

Les 23 é 24 janvier

CONTES AUTOUR DU MONDE
"À VOL D'OISEAU"

Cette lecture ornithologique nous entraîne entre orient et occident, imaginaire et réel, air et terre, au gré de contes et de chants d’oiseaux. Elle mêle les patrimoines de tradition orale et de la nature à celui du musée d’arts décoratifs et refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux.

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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