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Un patient aveugle retrouve partiellement la vision grâce à de la thérapie génique
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Un patient aveugle retrouve partiellement la vision grâce à de la thérapie génique

Parviendra-t-on un jour à rendre la vue à des patients l’ayant perdue ? Si cela ressemble encore à de la science-fiction, de récentes avancées thérapeutiques dans le domaine de l’optogénétique sont porteuses d’espoir. Le 24 mai dernier, une étude publiée dans la revue Nature Medicine faisait état d’un homme aveugle ayant recouvré une vision partielle de l’un des yeux grâce à de la thérapie génique. Couplée à des lunettes retransmettant la lumière à l’œil, cette technique a permis au patient de 58 ans de détecter la présence d’objets, leur nombre, et de s’en saisir. C’est la première fois qu’un malade atteint d’une pathologie neurodégénérative récupère en partie l’usage de la vue.

Recréer des cellules sensibles à la lumière

À l’âge de 18 ans, le sujet de l’étude s’est vu diagnostiquer une rétinite pigmentaire. Peu à peu, cette maladie génétique détruit les photorécepteurs, les neurones de la rétine sensibles à la lumière, dégradant sa vision. Quarante ans plus tard, le patient est désormais aveugle. Des tests probants ayant étés effectués chez des rongeurs et des primates, il s’agissait désormais de mener le premier essai clinique chez l’être humain. Mais comment rendre la vue à un œil qui n’a plus de capteurs ? Le but de la thérapie génique est de convertir d’autres cellules en photorécepteurs, en l’occurrence les cellules ganglionnaires. Ces neurones forment la couche la plus superficielle de la rétine, et sont normalement chargés de recueillir l’information visuelle issue des photorécepteurs pour la transmettre au cerveau. « On cherche à faire exprimer dans des neurones qui ne sont pas les neurones visuels une protéine qui soit sensible à la lumière, et qui déclenche un courant électrique », explique José-Alain Sahel, chercheur à l’Institut de la vision (Inserm/CNRS/Sorbonne Université) et premier auteur de l’étude. Les médecins ont utilisé un vecteur viral, injecté directement dans l’œil du patient, afin de porter vers ces cellules un gène codant une protéine photosensible du nom de ChrimsonR. Cette molécule est une canal-rhodopsine, proche des pigments présents dans les cellules visuelles.

Six mois plus tard, les cellules ganglionnaires avaient intégré le gène et exprimaient la canal-rhodopsine. Cependant, la molécule n’absorbe pas toute la lumière visible, mais principalement celle dont la longueur d’onde se situe autour de 590 nanomètres, dans les couleurs jaune-orangé. La thérapie est donc associée à un dispositif médical, des lunettes captant les variations d’intensité lumineuse et les projettant vers l’œil à la bonne longueur d’onde. Ce n’est donc pas une vision colorée qui est reconstruite, mais uniquement une perception des contrastes. Cela a malgré tout grandement profité au patient qui déclare constater une nette amélioration dans l’exécution de ses tâches quotidiennes. Il témoigne même avoir été capable de reconnaître un passage piéton à l’alternance de zones claires et sombres. De plus, un enregistrement par électroencéphalogramme a montré une activité cérébrale cohérente avec la perception visuelle d’un objet.

Une technique applicable à d’autres maladies

« Ces premiers résultats sont enthousiasmants », confie le professeur Sahel. L’étude parvient en effet à faire la preuve à la fois de l’efficacité mais aussi de l’innocuité du protocole. Désormais, le chercheur et ses collègues vont tenter de répliquer le traitement et de l’étendre à d’autres patients. La technique est notamment mutation-indépendante, c’est-à-dire qu’elle pourrait potentiellement s’appliquer chez tous les patients atteints de rétinite pigmentaire, peu importe le gène à l’origine de la maladie. « On ne cherche pas à corriger la mutation qui provoque la maladie, mais à rendre la vision après les effets de la mutation. » Une aubaine alors que cette pathologie touche deux millions de personnes dans le monde et ne connaît pas encore de traitement. Par ailleurs, cette thérapie optogénétique présente un intérêt pour d’autres maladies que la rétinite pigmentaire. José-Alain Sahel développe : « A priori, cela concernerait aussi d’autres pathologies de la rétine, à condition que le nerf optique soit encore fonctionnel, puisqu’il faut qu’il y ait encore une connexion entre la rétine et le cerveau. »

Mais avant d’imaginer étendre cette nouvelle thérapie, des travaux doivent encore être menés pour améliorer la technologie. Les lunettes peuvent encore gagner en résolution, qui atteint pour l’instant les 33 000 pixels (180 pixels de côté), ainsi qu’en confort. Le champ visuel est encore très réduit, puisque la thérapie ne touche que le centre de la rétine. L’angle couvert par cette vision recouvrée par le patient couvre environ 8°, et pourrait monter jusqu’à 20°, contre 60 à 80° en règle générale dans la vision centrale. Enfin, la phase de rééducation doit aussi être approfondie. Dans ce premier essai, plusieurs mois ont été nécessaires au sujet pour se réapproprier le sens de la vue et être capables de le mobiliser. « On va pouvoir être plus systématique sur la rééducation, que ce soit avec ce patient mais aussi avec les six autres qui ont été traités dans cet essai clinique. Il faut y passer plus de temps et bénéficier des informations que le patient va nous fournir. » conclut le chercheur. Si cette thérapie génique se démocratise un jour pour soigner la cécité, nous sommes encore dans la phase de développement.


Source : Edwyn Guérineau / La Recherche
Crédit : APA / Science Photo Library via AFP

les cellues photoreceptrices de la rétine, le cônes et les bâtonnets, vues au microscope et colorisées.

Un patient aveugle retrouve partiellement la vision grâce à de la thérapie génique Actualités

Un patient aveugle retrouve partiellement la vision grâce à de la thérapie génique

Parviendra-t-on un jour à rendre la vue à des patients l’ayant perdue ? Si cela ressemble encore à de la science-fiction, de récentes avancées thérapeutiques dans le domaine de l’optogénétique sont porteuses d’espoir. Le 24 mai dernier, une étude publiée dans la revue Nature Medicine faisait état d’un homme aveugle ayant recouvré une vision partielle de l’un des yeux grâce à de la thérapie génique. Couplée à des lunettes retransmettant la lumière à l’œil, cette technique a permis au patient de 58 ans de détecter la présence d’objets, leur nombre, et de s’en saisir. C’est la première fois qu’un malade atteint d’une pathologie neurodégénérative récupère en partie l’usage de la vue.

Recréer des cellules sensibles à la lumière

À l’âge de 18 ans, le sujet de l’étude s’est vu diagnostiquer une rétinite pigmentaire. Peu à peu, cette maladie génétique détruit les photorécepteurs, les neurones de la rétine sensibles à la lumière, dégradant sa vision. Quarante ans plus tard, le patient est désormais aveugle. Des tests probants ayant étés effectués chez des rongeurs et des primates, il s’agissait désormais de mener le premier essai clinique chez l’être humain. Mais comment rendre la vue à un œil qui n’a plus de capteurs ? Le but de la thérapie génique est de convertir d’autres cellules en photorécepteurs, en l’occurrence les cellules ganglionnaires. Ces neurones forment la couche la plus superficielle de la rétine, et sont normalement chargés de recueillir l’information visuelle issue des photorécepteurs pour la transmettre au cerveau. « On cherche à faire exprimer dans des neurones qui ne sont pas les neurones visuels une protéine qui soit sensible à la lumière, et qui déclenche un courant électrique », explique José-Alain Sahel, chercheur à l’Institut de la vision (Inserm/CNRS/Sorbonne Université) et premier auteur de l’étude. Les médecins ont utilisé un vecteur viral, injecté directement dans l’œil du patient, afin de porter vers ces cellules un gène codant une protéine photosensible du nom de ChrimsonR. Cette molécule est une canal-rhodopsine, proche des pigments présents dans les cellules visuelles.

Six mois plus tard, les cellules ganglionnaires avaient intégré le gène et exprimaient la canal-rhodopsine. Cependant, la molécule n’absorbe pas toute la lumière visible, mais principalement celle dont la longueur d’onde se situe autour de 590 nanomètres, dans les couleurs jaune-orangé. La thérapie est donc associée à un dispositif médical, des lunettes captant les variations d’intensité lumineuse et les projettant vers l’œil à la bonne longueur d’onde. Ce n’est donc pas une vision colorée qui est reconstruite, mais uniquement une perception des contrastes. Cela a malgré tout grandement profité au patient qui déclare constater une nette amélioration dans l’exécution de ses tâches quotidiennes. Il témoigne même avoir été capable de reconnaître un passage piéton à l’alternance de zones claires et sombres. De plus, un enregistrement par électroencéphalogramme a montré une activité cérébrale cohérente avec la perception visuelle d’un objet.

Une technique applicable à d’autres maladies

« Ces premiers résultats sont enthousiasmants », confie le professeur Sahel. L’étude parvient en effet à faire la preuve à la fois de l’efficacité mais aussi de l’innocuité du protocole. Désormais, le chercheur et ses collègues vont tenter de répliquer le traitement et de l’étendre à d’autres patients. La technique est notamment mutation-indépendante, c’est-à-dire qu’elle pourrait potentiellement s’appliquer chez tous les patients atteints de rétinite pigmentaire, peu importe le gène à l’origine de la maladie. « On ne cherche pas à corriger la mutation qui provoque la maladie, mais à rendre la vision après les effets de la mutation. » Une aubaine alors que cette pathologie touche deux millions de personnes dans le monde et ne connaît pas encore de traitement. Par ailleurs, cette thérapie optogénétique présente un intérêt pour d’autres maladies que la rétinite pigmentaire. José-Alain Sahel développe : « A priori, cela concernerait aussi d’autres pathologies de la rétine, à condition que le nerf optique soit encore fonctionnel, puisqu’il faut qu’il y ait encore une connexion entre la rétine et le cerveau. »

Mais avant d’imaginer étendre cette nouvelle thérapie, des travaux doivent encore être menés pour améliorer la technologie. Les lunettes peuvent encore gagner en résolution, qui atteint pour l’instant les 33 000 pixels (180 pixels de côté), ainsi qu’en confort. Le champ visuel est encore très réduit, puisque la thérapie ne touche que le centre de la rétine. L’angle couvert par cette vision recouvrée par le patient couvre environ 8°, et pourrait monter jusqu’à 20°, contre 60 à 80° en règle générale dans la vision centrale. Enfin, la phase de rééducation doit aussi être approfondie. Dans ce premier essai, plusieurs mois ont été nécessaires au sujet pour se réapproprier le sens de la vue et être capables de le mobiliser. « On va pouvoir être plus systématique sur la rééducation, que ce soit avec ce patient mais aussi avec les six autres qui ont été traités dans cet essai clinique. Il faut y passer plus de temps et bénéficier des informations que le patient va nous fournir. » conclut le chercheur. Si cette thérapie génique se démocratise un jour pour soigner la cécité, nous sommes encore dans la phase de développement.


Source : Edwyn Guérineau / La Recherche
Crédit : APA / Science Photo Library via AFP

les cellues photoreceptrices de la rétine, le cônes et les bâtonnets, vues au microscope et colorisées.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

17 - Charente Maritime

A partir du 19 septembre

EXPOSITION
"PARURES ET MOTIFS DE LA PRÉHISTOIRE"

Fruit d’un projet mené avec deux classes de seconde en arts plastiques, l’exposition Archéofictions propose une relecture créative et sensible de la Préhistoire. Entre art et archéologie, Archéofictions invite à redécouvrir les parures et motifs de nos ancêtres, mêlant fiction, création contemporaine et savoir scientifique. 

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2B - Haute-Corse

Jusqu'au 20 décembre

EXPOSITION
"FEMIN’ISULA"

L’exposition retrace, de la préhistoire à nos jours, le rôle des femmes dans la société insulaire et leur marche vers l’émancipation voire les combats féministes. Le parcours riche de près de 300 oeuvres est argumenté et illustré par des portraits de femmes méconnues ou célèbres qui ont participé à l’évolution de la place des femmes dans la société insulaire.

Musée de Bastia
Place du donjon
La Citadelle
20200 Bastia
https://musee.bastia.corsica


21 - Côte d'Or

►Jusqu'au 29 novembre

EXPOSITION "RAPATRIEMENT"
MUSÉE DE SEMUR-EN-AUXOIS

Exposition de Laure Molina présente 28 dessins inspirés des collections des ammonites du musée de Semur-en-Auxois.
C'est un projet art/science de plusieurs années de dessins, d'observation et d'explorations des ammonites autour de la question : pourquoi l'artiste a senti autant de vie dans la salle des ammonites, si celles-ci sont une trace d'animaux n'existants plus ? 

Musée de Semur-en-Auxois
3 rue Jean-Jacques Collenot
21140 Semur-en-Auxois 
03 80 97 01 11
https://museesemuraccueil.wixsite.com/
auxois


25 - Doubs

Jusqu'au 9 novembre 

EXPOSITION 
"CORTO MALTESE - UN MONDE EN AVENTURES"

Entre mers interdites et rivages barbares, Hugo Pratt nous dessine les lignes d’horizons du plus célèbre des marins, Corto Maltese. Voyagez dans l’univers de cet aventurier, prenez le large et parcourez le monde, à travers des planches, des aquarelles et des dessins originaux.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


33 - Gironde

Jusqu'au 31 décembre

EXPOSITION GUSTAVE EIFFEL

Gustave Eiffel dont sa fameuse Tour et toutes ses réalisations de chantiers en France et dans le Monde, appuyé sur l’Exposiiton universelle  de 1889. A l’occasion de notre concours, nous avons reçu 107 œuvres de Tour Eiffel réalisées par les Amis du Musée qui sont exposées dans nos vitrines. Venez-vous plonger dans l’univers de Gustave Eiffel et sa vie trépidante.

Musée des Techniques
5 rue de Balambits
33640 Beautiran
05 57 97 75 11 / 06 07 74 03 76
http://villamaglya.fr


34 - Hérault

Jusqu'au 1er mars

EXPOSITION
"IMMERSION URBAINE"

Exposition collective et évolutive réunissant plus de 18 artistes. Autour du thème de la récupération, du recyclage et de l’upcycling, chaque artiste construit à partir de cloisons de récupération et d’éléments de cinéma, pour créer un univers singulier. Présente à l’intérieur et aux extérieurs du musée, l'exposition offre aux visiteurs une expérience artistique renouvelée à chaque visite.

Musée Parcelle473
425 avenue frères Buhler
34080 Montpellier
06 66 02 69 29
www.parcelle473.com


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 2026 

EXPOSITION
"PEINDRE LA LUMIÈRE, DE LA MAQUETTE AU VITRAIL"

Arcabas (1926-2018) s’est intéressé toute sa vie au vitrail qu’il abordait en tant que peintre avant tout. De l'expérience fondatrice de l'église Saint-Hugues aux dernières réalisations du Sacré-Cœur de Grenoble et de Saint-Christophe-sur-Guiers, l’exposition met l’accent sur les maquettes créées par Arcabas et la façon dont elles ont été traduites par les maitres verriers.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 19 avril 2026

EXPOSITION 
"175 ANS DE CRÉATION BRASSICOLEÀ SAINT-DIZIER"

La brasserie du fort carré a été un des fleurons économiques de Saint-Dizier. En activité de 1796 à 1955, elle marqué le paysage urbain de la ville, et est à l’origine de la construction de la Tour Miko. Des techniques de productions de la bière, au nombreux objets publicitaires, l’exposition retracera l’histoire d’une brasserie restée dans les mémoires.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 8 au 29 novembre

EXPOSITION 
MONIQUE RENAULT 

Professeur de technologie à la retraite, Monique Renault a enseigné le dessin d’art et le dessin technique. Depuis 2004, elle utilise la peinture à l’huile dans un style figuratif avec une prédilection pour les paysages urbains et les marines. Les mercredis, samedis et dimanches de 14h30 à 17h30. Entrée gratuite. Visites de groupes sur rdv les lundis, mardis et jeudis.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Découvrez l’importante rétrospective consacrée à cet artiste unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental. De nombreuses animations pour les enfants en lien avec l'univers du designer Guillaume Piéchaud sont disponibles durant les vacances d'automne !

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Du 28 novembre au 4 janvier 2026

EXPOSITION "HAPPY CRISTAL – DUEL DE NOËL !"
MUSÉE LALIQUE

Chaque année, Happy Cristal est un rendez-vous pour découvrir des mises en scène originales où les objets prennent vie. En 2025, les visiteurs pourront choisir entre deux propositions esthétiques très différentes. D’un côté, un Noël scandinave, blanc, lumineux et très lié à la nature. De l’autre côté, un Noël très coloré, inspiré des traditions nord-américaines. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


68 - Haut-Rhin

Du 15 novembre au 1er mars 2026

EXPOSITION
"STRUCTURES EN DÉRIVE"

La Fondation Fernet-Branca présente Structures en dérive, une exposition réunissant neuf artistes aux pratiques photographiques et transdisciplinaires.
L’exposition explore la photographie comme terrain d’expérimentation, entre approche documentaire et poétique.

Fondation Fernet-Branca
2 rue du Ballon
68300 Saint-Louis 
03 89 69 10 77
www.fondationfernet-branca.org


Jusqu'au 31 décembre

EXPOSITION
"JOUSTRA"

Après les jouets Playmobil®, c'est une marque plus locale qui vient investir La Nef des Jouets : Joustra. Contraction de "JOUets de STRAsbourg", connaissant son pic de popularité dans les années 1950 et 1960 (jouets mécaniques, jouets téléguidés puis radiocommandés, voitures, grues, engins de chantier, bateaux, jeux scientifiques puis plus tard le célèbre télécran…).

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


75 - Paris

Jusqu'au 14 décembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 4 janvier 2026

EXPOSITION 
"ÇA CHAUFFE CHEZ LES SCIENTIFIQUES" 

Les scientifiques sont les premiers, depuis des années, à nous alerter sur l’urgence climatique. Pourtant, la recherche est loin d’être écologique ou durable ! Comment concilier production de connaissances et responsabilité environnementale ? Et quel sens donner à cette mission dans un monde en pleine crise ? Pour y répondre, Julien Bobroff et l’équipe de "La Physique Autrement" vous présentent l'exposition "Ça chauffe les scientifiques".  

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 28 février 2026

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET LA GRÈCE"

Cette exposition met en lumière la relation profonde et inspirante que Georges Clemenceau a entretenue avec l’Hellade tout au long de sa vie. Cette passion, née de son éducation, a marqué sa carrière politique et sa vision du monde ainsi que son engagement pour la démocratie et la culture.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 8 mars 2026

EXPOSITION
"DENISE BELLON. UN REGARD VAGABOND"

Le mahJ présente la première rétrospective à Paris, rassemblant près de 300 photographies, objets, lettres et publications, consacrée à Denise Bellon (1902-1999). Photographe humaniste, pionnière du photojournalisme et compagne de route des surréalistes, son œuvre singulière et méconnue court des années 1930 aux années 1970.

 Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 17 mai 2026

EXPOSITION "FLOPS" 

Échec, bide, raté, fiasco… on estime que neuf innovations sur dix échouent et les raisons de la galère ne sont pas toujours évidentes ! En explorant les "bides" comme les trajectoires de réussites inattendues, l’exposition Flops-?! propose une lecture bienveillante de l’échec et ouvre la voie à une découverte singulière des collections du MuAM – Musée des Arts et Métiers.  

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 31 juillet 2026

EXPOSITION
"L’ÉTOFFE DES RÊVES"

Le vent de l’Art Brut et du surréalisme soufflera sur les 300 œuvres des 36 artistes réunis dans tout l’espace de la Halle Saint Pierre. "L’Étoffe des rêves" est le fruit d’une collaboration entre la Halle Saint Pierre et le Centre international du surréalisme et de la Citoyenneté mondiale à Saint-Cirq-Lapopie.

Halle Saint Pierre
2 rue Ronsard
72018 Paris
01 42 58 72 89
www.hallesaintpierre.org


84 - Vaucluse

Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


87 - Haute-Vienne

Jusqu'au 20 décembre

EXPOSITION
"OCEAN, LE PAPIER FAIT DES VAGUES"

Prenez une grande inspiration et plongez dans l'univers mystérieux des océans, à la découverte des œuvres incroyables d'une dizaine d'artistes papier. Une occasion idéale de s'émerveiller tout en se sensibilisant à la richesse et la fragilité de ces écosystèmes.

Le Moulin du Got
Le Pénitent
87400 St Léonard-de-Noblat
05 55 57 18 74
www.moulindugot.com


88 - Vosges

Le 30 novembre 

"MARCHÉ DE NOËL" 
PLANÉTARIUM D’ÉPINAL 

Près d’une quarantaine d’exposants investiront les lieux pour vous proposer leurs créations uniques et artisanales à offrir ou à s’offrir, faits main et porteurs d’histoires locales.
Entre deux emplettes, laissez-vous tenter par les saveurs de saison : vin chaud, crêpes maisons et autres douceurs raviront petits et grands. De 10h00 à 18h00. Entrée libre et gratuite.

Planétarium Epinal
Rue Dom Pothier
88000 Epinal
03 29 35 08 02
www.planetarium-epinal.com


Les 6 & 7 décembre

"PÉTANQUE DES PLANÈTES"
MAISON DU BAILLI

Venez pointer, tirer… et (re)découvrir les planètes de notre Système solaire à travers ce concept insolite pour petits grands ! Accessible à tous les âges, cette activité permet d’explorer notre Système solaire de manière concrète et joyeuse. Entre adresse, stratégie et découvertes scientifiques, chacun pourra s’y retrouver ! De 14h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

Maison du Bailli
Place des Vosges
88000 Épinal

Lieux:

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