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La satisfaction du gras
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La satisfaction du gras

Nous mangeons pour nous nourrir. C’est un besoin physiologique absolument nécessaire. Mais nous mangeons aussi pour nous faire plaisir. « Besoin et plaisir dans la prise alimentaire sont le jeu de mécanismes fins et complexes, très sophistiqués » explique Serge Luquet, directeur de recherche CNRS au sein de l’unité de biologie fonctionnelle et adaptative de l’université de Paris. Son équipe et lui viennent de publier un article étudiant l’influence des lipides alimentaires sur le cerveau et sur les comportements alimentaires. Cette publication est le fruit du travail de thèse d’une jeune chercheuse en neurobiologie de l’équipe, Chloé Berland.

Au cœur du mécanisme qui associe plaisir et nourriture se trouve un circuit neuronal particulier, connu sous le nom de « circuit de la récompense », et un neurotransmetteur : la dopamine. Cette petite molécule agit comme un signal. Un neurone émetteur libère de la dopamine et l’envoie à un neurone récepteur. En fonction de la quantité du neurotransmetteur et de la durée pendant laquelle il est libéré, le neurone récepteur verra son activité électrique modifiée, ce qui se traduira par la mise en place d’un comportement complexe dans la « vraie vie ». La libération de dopamine, et son action sur les neurones « récepteurs de la dopamine », est cruciale pour associer une expérience (de la nourriture par exemple) avec le désir et le plaisir que nous mobiliserons plus tard pour ce même aliment. Ainsi, ils forment une signature dans le cerveau – qui fait et fera que l’on aime ou non une expérience –, et conditionne nos comportements de rapprochement ou d’évitement face à tel ou tel aliment dans le futur.

Signal aux neurones

Et les lipides dans tout cela ? Serge Luquet et son équipe ne les étudient pas au hasard : depuis quelques années déjà, ils observent la présence de tout un arsenal réservé au transport et à l’utilisation des lipides à l’intérieur même du cerveau et, en particulier, sur les neurones du circuit de la récompense. Cependant, le cerveau est connu pour n’utiliser que le sucre pour se nourrir. Ainsi, les lipides ne sont pas pour le cerveau une source d’énergie directe. Mais peut-être envoient-ils un signal capable d’informer les neurones de ce qui se passe dans notre assiette ?

C’est cette hypothèse que l’équipe a exploré, montrant finalement que, après un repas, le gras est digéré par l’intestin et se retrouve dans la circulation sous forme de triglycérides. Les triglycérides sont de grosses molécules – trois acides gras branchés sur du glycérol – que l’organisme fabrique pour stocker la graisse. Cette forme de lipide que sont les triglycérides va pouvoir rentrer dans le cerveau et directement venir « discuter » avec les neurones qui libèrent ou répondent à la dopamine. Cette explication ne vient pas sans preuve : l’équipe a réalisé des expériences chez la souris, bon modèle pour étudier certains comportements alimentaires : comme nous, ce rongeur a une appétence pour les nourritures grasses et sucrées.

Première expérience, donc, pour chercher à comprendre ce que font les lipides aux neurones qui réceptionnent la dopamine dans le circuit de la récompense. « On a provoqué une petite élévation des lipides dans le cerveau de souris », décrit Serge Luquet. Via un cathéter posé sur la carotide, artère qui monte directement au cerveau, les chercheurs ont infusé une petite quantité de lipides vers le cerveau pour mimer ce que verrait ce dernier après un repas, lorsque les lipides ont été digérés et se retrouvent dans la circulation.

Ils ont ensuite analysé les effets de cette « perfusion de gras » sur les neurones du système de récompense d’une part, et sur le comportement de recherche de nourriture chez la souris d’autre part. L’étude a eu lieu in vitro, sur des tranches de cerveau où l’activité électrique des neurones peut être mesurée directement. Elle a aussi été menée in vivo, en utilisant une technologie d’imagerie sophistiquée (la photométrie fibrée) ; cette méthode permet de visualiser l’activité des neurones du système de récompense directement chez la souris. Dans les deux cas, les neurobiologistes ont mis en évidence que la perfusion de lipides vers le cerveau avait « endormi » les neurones du système de la récompense. Les neurones se comportent-t-ils différemment lorsqu’ils ont le cerveau infusé de gras ? Oui. « Les neurones sont moins activables, moins électriquement actifs, commente Serge Luquet. Comme les neurones portant les récepteurs à la dopamine sont moins actifs, l’ensemble du signal porté par la dopamine est diminué. » Traduction : un neurone dans un bain de gras répond beaucoup plus mollement à la dopamine.

Le modèle rongeur permet de rentrer dans la mécanique des choses, mais peut-on vraiment extrapoler ces résultats chez l’humain ? L’imagerie par résonance magnétique nucléaire offre de belles observations. Grâce à cette technique, on visualise l’activité des zones du cerveau. Les chercheurs ont ainsi regardé quelles régions s’activaient dans la tête de personnes lorsqu’on les soumet à des odeurs alléchantes de fraise et de chocolat. Cette expérience a été faite chez les même personnes mais, une fois à jeun, lorsque les triglycérides circulants sont très bas (puisqu’elles n’ont pas mangé), et après un repas (lorsque les triglycérides sont hauts).

Cortex pré-fontal activé

Résultat : le cortex pré-frontal, une des structures du système de récompense qui contrôle les décisions et qui permet d’associer nourriture et odeur, s’active particulièrement en réponse à l’odeur alimentaire lorsqu’on a faim. Quand on observe le cerveau des mêmes personnes rassasiées de nourriture grasse, la réponse du cortex préfrontal est beaucoup plus faible. « Le repas a atténué la réponse du cerveau au stimulus (l’odeur fraise et chocolat, ndlr). Mais qu’est-ce qui a causé cela ? », s’interroge Serge Luquet.

« Il y a une corrélation entre l’augmentation de triglycérides dans le sang et la réponse du cerveau à l’odeur alimentaire », relève-t-il. En d’autres termes, cette expérience suggère fortement que chez l’homme, comme chez le rongeur, les triglycérides alimentaires influenceraient directement le système de la récompense. Ainsi, ce mode d’action des lipides sur les neurones à la dopamine nous permet de penser qu’un excès de gras pourrait perturber la bonne réponse de ces neurones et, par là, les comportements associés au plaisir de la nourriture. Cependant, selon Serge Luquet, il serait faux de considérer que l’excès de gras rend addict, mangeur compulsif, et finalement obèse. Il estime malgré tout que l’hypothèse d’un effet récompensant des triglycérides après un repas riche est une piste intéressante.

« La notion même d'addiction alimentaire est controversée », confie de son côté Paul Brunault, psychiatre addictologue au CHRU de Tours. L'obésité et les troubles du comportement alimentaire sont à la fois biologiques, psychologiques et socio-culturels. Le passage direct d'un mécanisme cellulaire à un comportement alimentaire serait un raccourci dangereux. Il reste aux neurophysiologistes à mener des expériences avec des sujets « dans des conditions d’obésité », pour déterminer si manger compulsivement du gras crée un cercle vicieux de la nourriture. Puis comprendre ce cercle vicieux, pour savoir comment le briser.


Source : Victoria Milhomme / La Recherche
Crédit : Engin Akyurt

La satisfaction du gras Actualités

La satisfaction du gras

Nous mangeons pour nous nourrir. C’est un besoin physiologique absolument nécessaire. Mais nous mangeons aussi pour nous faire plaisir. « Besoin et plaisir dans la prise alimentaire sont le jeu de mécanismes fins et complexes, très sophistiqués » explique Serge Luquet, directeur de recherche CNRS au sein de l’unité de biologie fonctionnelle et adaptative de l’université de Paris. Son équipe et lui viennent de publier un article étudiant l’influence des lipides alimentaires sur le cerveau et sur les comportements alimentaires. Cette publication est le fruit du travail de thèse d’une jeune chercheuse en neurobiologie de l’équipe, Chloé Berland.

Au cœur du mécanisme qui associe plaisir et nourriture se trouve un circuit neuronal particulier, connu sous le nom de « circuit de la récompense », et un neurotransmetteur : la dopamine. Cette petite molécule agit comme un signal. Un neurone émetteur libère de la dopamine et l’envoie à un neurone récepteur. En fonction de la quantité du neurotransmetteur et de la durée pendant laquelle il est libéré, le neurone récepteur verra son activité électrique modifiée, ce qui se traduira par la mise en place d’un comportement complexe dans la « vraie vie ». La libération de dopamine, et son action sur les neurones « récepteurs de la dopamine », est cruciale pour associer une expérience (de la nourriture par exemple) avec le désir et le plaisir que nous mobiliserons plus tard pour ce même aliment. Ainsi, ils forment une signature dans le cerveau – qui fait et fera que l’on aime ou non une expérience –, et conditionne nos comportements de rapprochement ou d’évitement face à tel ou tel aliment dans le futur.

Signal aux neurones

Et les lipides dans tout cela ? Serge Luquet et son équipe ne les étudient pas au hasard : depuis quelques années déjà, ils observent la présence de tout un arsenal réservé au transport et à l’utilisation des lipides à l’intérieur même du cerveau et, en particulier, sur les neurones du circuit de la récompense. Cependant, le cerveau est connu pour n’utiliser que le sucre pour se nourrir. Ainsi, les lipides ne sont pas pour le cerveau une source d’énergie directe. Mais peut-être envoient-ils un signal capable d’informer les neurones de ce qui se passe dans notre assiette ?

C’est cette hypothèse que l’équipe a exploré, montrant finalement que, après un repas, le gras est digéré par l’intestin et se retrouve dans la circulation sous forme de triglycérides. Les triglycérides sont de grosses molécules – trois acides gras branchés sur du glycérol – que l’organisme fabrique pour stocker la graisse. Cette forme de lipide que sont les triglycérides va pouvoir rentrer dans le cerveau et directement venir « discuter » avec les neurones qui libèrent ou répondent à la dopamine. Cette explication ne vient pas sans preuve : l’équipe a réalisé des expériences chez la souris, bon modèle pour étudier certains comportements alimentaires : comme nous, ce rongeur a une appétence pour les nourritures grasses et sucrées.

Première expérience, donc, pour chercher à comprendre ce que font les lipides aux neurones qui réceptionnent la dopamine dans le circuit de la récompense. « On a provoqué une petite élévation des lipides dans le cerveau de souris », décrit Serge Luquet. Via un cathéter posé sur la carotide, artère qui monte directement au cerveau, les chercheurs ont infusé une petite quantité de lipides vers le cerveau pour mimer ce que verrait ce dernier après un repas, lorsque les lipides ont été digérés et se retrouvent dans la circulation.

Ils ont ensuite analysé les effets de cette « perfusion de gras » sur les neurones du système de récompense d’une part, et sur le comportement de recherche de nourriture chez la souris d’autre part. L’étude a eu lieu in vitro, sur des tranches de cerveau où l’activité électrique des neurones peut être mesurée directement. Elle a aussi été menée in vivo, en utilisant une technologie d’imagerie sophistiquée (la photométrie fibrée) ; cette méthode permet de visualiser l’activité des neurones du système de récompense directement chez la souris. Dans les deux cas, les neurobiologistes ont mis en évidence que la perfusion de lipides vers le cerveau avait « endormi » les neurones du système de la récompense. Les neurones se comportent-t-ils différemment lorsqu’ils ont le cerveau infusé de gras ? Oui. « Les neurones sont moins activables, moins électriquement actifs, commente Serge Luquet. Comme les neurones portant les récepteurs à la dopamine sont moins actifs, l’ensemble du signal porté par la dopamine est diminué. » Traduction : un neurone dans un bain de gras répond beaucoup plus mollement à la dopamine.

Le modèle rongeur permet de rentrer dans la mécanique des choses, mais peut-on vraiment extrapoler ces résultats chez l’humain ? L’imagerie par résonance magnétique nucléaire offre de belles observations. Grâce à cette technique, on visualise l’activité des zones du cerveau. Les chercheurs ont ainsi regardé quelles régions s’activaient dans la tête de personnes lorsqu’on les soumet à des odeurs alléchantes de fraise et de chocolat. Cette expérience a été faite chez les même personnes mais, une fois à jeun, lorsque les triglycérides circulants sont très bas (puisqu’elles n’ont pas mangé), et après un repas (lorsque les triglycérides sont hauts).

Cortex pré-fontal activé

Résultat : le cortex pré-frontal, une des structures du système de récompense qui contrôle les décisions et qui permet d’associer nourriture et odeur, s’active particulièrement en réponse à l’odeur alimentaire lorsqu’on a faim. Quand on observe le cerveau des mêmes personnes rassasiées de nourriture grasse, la réponse du cortex préfrontal est beaucoup plus faible. « Le repas a atténué la réponse du cerveau au stimulus (l’odeur fraise et chocolat, ndlr). Mais qu’est-ce qui a causé cela ? », s’interroge Serge Luquet.

« Il y a une corrélation entre l’augmentation de triglycérides dans le sang et la réponse du cerveau à l’odeur alimentaire », relève-t-il. En d’autres termes, cette expérience suggère fortement que chez l’homme, comme chez le rongeur, les triglycérides alimentaires influenceraient directement le système de la récompense. Ainsi, ce mode d’action des lipides sur les neurones à la dopamine nous permet de penser qu’un excès de gras pourrait perturber la bonne réponse de ces neurones et, par là, les comportements associés au plaisir de la nourriture. Cependant, selon Serge Luquet, il serait faux de considérer que l’excès de gras rend addict, mangeur compulsif, et finalement obèse. Il estime malgré tout que l’hypothèse d’un effet récompensant des triglycérides après un repas riche est une piste intéressante.

« La notion même d'addiction alimentaire est controversée », confie de son côté Paul Brunault, psychiatre addictologue au CHRU de Tours. L'obésité et les troubles du comportement alimentaire sont à la fois biologiques, psychologiques et socio-culturels. Le passage direct d'un mécanisme cellulaire à un comportement alimentaire serait un raccourci dangereux. Il reste aux neurophysiologistes à mener des expériences avec des sujets « dans des conditions d’obésité », pour déterminer si manger compulsivement du gras crée un cercle vicieux de la nourriture. Puis comprendre ce cercle vicieux, pour savoir comment le briser.


Source : Victoria Milhomme / La Recherche
Crédit : Engin Akyurt

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


15 - Cantal

Juillet & août

ANIMATIONS
MAISON DE LA SALERS

Des animations sont proposées les mardis après-midi en juillet et août, sans oublier l'incontournable Festi'Vache, le mercredi 13 août ! 

Maison de la Salers
Domaine du Fau 
15140 Saint-Bonnet-de-Salers
04 71 40 54 00
www.maisondelasalers.fr


17 - Charente Maritime

En juin

RENDEZ-VOUS EN TERRES PRÉHISTORIQUES
"LES ATELIERS DU MOIS"

Participez à nos ateliers participatifs et plongez-vous dans l’univers fascinant des archéologues et de nos ancêtres. Dimanche 8 : allumer le feu / Lundi 9 : à la mode préhistorique / Samedi 14 : fouilles archéologiques / Dimanche 15 : atelier post-fouilles / Dimanche 22 : art préhistorique / Dimanche 29 : chasse préhistorique.

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2B - Haute-Corse

Le 21 juin

"ATELIER DE PEINTURE VÉGÉTALE"
PARC DE SALECCIA

Découvrez quelques plantes du parc et plantes sauvages, fabriquez vos aquarelles végétales avec une large gamme de couleurs et profitez d’un temps pour peindre avec les couleurs naturelles que vous aurez créées.
Informations et inscriptions au 07 68 83 07 79 ou kurcubitace@gmail.com. Tarif : 30 €/adulte, 20 € par enfant (accompagné d’un adulte). Sur réservation.

Parc de Saleccia
Lieu dit Saleccia
Route de Bastia 
20220 Ile-Rousse
04 95 36 88 83
www.parc-saleccia.fr


25 - Doubs

Du 10 juillet au 23 août

LES NUITS DE LA SALINE"

Cet été, la Saline royale vous propose des soirées uniques incluant une visite de l'exposition Corto Maltese, un dîner (ou pique-nique libre dans le parc) et un spectacle avec des projections monumentales dans le Centre de Lumières pour s'immerger dans l'univers de Hugo Pratt.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Petits et grands, découvrez un havre de liberté verdoyant et vivez une belle aventure ! En explorateurs, traversez des ponts, des tunnels, croisez la libellule géante, cachez vous dans les cabanes et grimpez en haut du belvédère pour une vue imprenable sur les jardins.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 21 juin

"FÊTE DE LA MUSIQUE À LA GROTTE"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

À 15h, retrouvez Thoma’s Project pour un moment Jazz Electro sur la terrasse, en plein air. Puis à 16h30, la Chorale Mélodie Cèze prendra le relais dans la Grotte, avant de continuer en extérieur pour prolonger le plaisir en terrasse.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


131 - Haute-Garonne

Du 11 juillet au 22 août

"CINÉMA EN PLEIN AIR AU MILIEU DES AVIONS"

Le musée Aeroscopia, en partenariat avec le CGR de Blagnac, lance la première édition du ciné’scopia. Un événement estival inédit mêlant projections de films, patrimoine aéronautique et ambiance festive. Quatre soirées de projection sont programmées sur un des tarmacs du musée, en plein cœur d’un décor exceptionnel formé par le Concorde, la Caravelle, le Transall et le Falcon.

Musée Aeroscopia
1 allée André Turcat
31700 Blagnac
https://www.aeroscopia.fr


38 - Isère

►Le 22 juin 

ENSEMBLE VOCAL LES CONTEMPOR'ELLES
"DE SOUFFLE ET DE VENT..."
 
L’ensemble vocal Les Contempor'Elles est composé de huit chanteuses qui aiment explorer et partager un répertoire contemporain audacieux, de plus en plus souvent écrit pour elles, qui, poétique, traverse les frontières et les spiritualités diverses. Dimanche 22 à 16h.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Le 13 juin

FILM DES 48H DE LA CRÉATION TEXTILE

Le musée du tissage et de la soierie vous propose de (re) découvrir le film réalisé par le Caméra Photo-Club de Feurs pendant la 5ème édition des "48h de la création textile". Emotions garanties !

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 25 juin au 27 juillet

EXPOSITION
"BOULAZ "ENTRE POP ART ET STREET ART"

Une nouvelle exposition dédiée à la Pop Culture et au Street Art débarque au musée Danvin. Du 25 juin au 27 juillet, l’artiste Boulaz vous propose de vous plonger dans son univers coloré et vibrant.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Le musée Mandet a le plaisir de vous inviter à découvrir l’importante rétrospective de ce sculpteur-designer unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Les 5 et 6 juillet & 2 et 3 août

ANIMATIONS
"SUR LES TRACES DU PASSÉ"

Le Vaisseau vous donne rendez-vous pour deux week-ends exceptionnels placés sous le signe de la découverte ! Petit déjeuner préhistorique et musical, spectacle, film ou rencontre… 
Venez explorer le passé grâce à des animations inédites tout au long de l'été.

Le Vaisseau
1 bis rue Philippe Dollinger 
67100 Strasbourg
03 69 33 26 69
www.levaisseau.com


71 - Saône et Loire

Du 9 juillet au 27 août

ANIMATIONS VACANCES
LA MAISON DU CHAROLAIS

Parcours aventure ou visite audioguidée du musée, dégustation de viande charolaise, atelier cuisine, artistique, balade dans le bocage... Il y a tant à faire pour passer du bon temps en famille. Vous pouvez dès maintenant retenir vos places pour les ateliers !

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Le 21 juin 

UN MUSÉE, UN JARDIN
MUSÉE VOULAND

Une invitation à découvrir le lieu et son histoire, le musée et ses collections d’arts décoratifs (avec quelques focus). Nous nous attarderons dans le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Pensez à réserver ! 04 90 86 03 79 ou musee@vouland.com

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel

Lieux:

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