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Bioacoustique : à l'écoute des forêts pour mesurer la biodiversité
Actualités

Bioacoustique : à l'écoute des forêts pour mesurer la biodiversité

En novembre 2018 s'est tenue la conférence des Nations Unies sur la biodiversité qui avait pour thème "investir dans la biodiversité pour la planète et ses peuples". Chaque année, de nouvelles espèces se rapprochent de l'extinction. Pour préserver une biodiversité toujours plus menacée, encore faut il faut la connaître et donc la mesurer. De plus en plus souvent, les chercheurs utilisent la bioacoustique. Le procédé n'est pas nouveau : « Depuis près de six ans, la bioacoustique s'est renforcée afin d'analyser la biodiversité. Cette science s’appelle l’éco-acoustique. De nombreux travaux sont déjà publiés explique Thierry Aubin, directeur de recherche au CNRS et responsable de l’équipe de communications acoustiques de l’Université Paris-Saclay. Les premières études ont commencé dans les années 1960 sur des insectes et des oiseaux avec les travaux du Français René-Guy Busnel. » Aujourd'hui, l'éco-acoustique utilise les techniques de reconnaissance de sons de l'intelligence artificielle pour une meilleure efficacité.

L'éco-acoustique se révèle précieuse pour étudier la biodiversité des écosystèmes, notamment lorsque l’imagerie par satellite échoue. « Les satellites ne permettent pas de connaître ce qui se passe sous le couvert végétal, de sorte qu'il est impossible de dénombrer les espèces », raconte Thierry Aubin. Si l'on veut analyser ce qui se passe dans les forêts tropicales, les enregistrements acoustiques sont très utiles. « Avec le mur végétal, les animaux ne voient pas très loin. Les signaux visuels sont inefficaces. Presque toutes les espèces de la forêt (insectes, batraciens, oiseaux, mammifères) n'ont pas d'autres moyens que l'acoustique pour se retrouver », expose le chercheur. L’éco-acoustique ne se limite pas aux forêts très denses. L’enregistrement de la biodiversité se fait aussi dans des forêts tempérées et même les océans. « Des hydrophones étaient déployés par l'armée pour détecter les bruits des sous-marins, raconte Thierry Aubin. Ces premiers instruments ont permis les premiers essais dans le domaine. Il y a désormais de nombreux laboratoires qui peuvent utiliser les sons. En 2015 par exemple, notre équipe a commencé un partenariat avec le Commissariat de l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). Les enregistrements en Antarctique nous ont permis de dénombrer les cachalots qui passaient dans la région étudiée (soumis à publication). »

Dénombrement et identification

La bioacoustique aide à dénombrer les espèces présentes, mais aussi les individus. « Les animaux sont comme les humains ; chacun à sa propre voix », confirme Thierry Aubin. Avec les enregistrements, les bio-acousticiens peuvent aussi localiser les individus d’une espèce. En plaçant plusieurs microphones dans la forêt, le son d'un animal n’atteindra pas tous les appareils au même moment : il y a un décalage qui dépend de la distance entre la source et le microphone. En mettant à profit ce décalage, on peut trianguler la position de l'émetteur. « En 2011, notre équipe a ainsi pu localiser les oiseaux en Amazonie Brésilienne avec une précision de 1 mètre simplement par leur chant », poursuit-il.

Afin d'analyser les enregistrements recueillis, les chercheurs utilisent des programmes informatiques, mais ils ne sont pas sans faille. Lorsque deux sons se superposent, le programme est incapable de distinguer les espèces. Cette situation ne se produit pas fréquemment. « Dans une forêt, les animaux évitent de chanter en même temps lorsqu’ils communiquent. C’est ce que nous avons baptisé " l'hypothèse de la niche écologique", soutient Thierry Aubin. Dans la forêt amazonienne, il y a des cigales qui chantent en continu, mais seulement à certaines heures de la journée. Une espèce voisine chantera plus tôt ou plus tard. Et si elles chantent en même temps, ce ne sera pas à la même fréquence. Cela leur permet de communiquer sans se gêner. »

Les bio-acousticiens utilisent deux méthodes pour classifier les sons des espèces : l’analyse supervisée ou non supervisée. Dans le premier cas, un spécialiste analyse 30 à 40 % des données recueillies et associe les sons aux différentes espèces. Avec ces connaissances, le programme d'apprentissage peut classifier les données restantes. Cette méthode d’analyse est fiable à environ 95 %, mais assez coûteuse, car elle nécessite qu'on y passe du temps.

Avec l’analyse non supervisée, le programme n’a pas de connaissances particulières. « Après l'enregistrement des sons, on procède à des transformations dans l'espace temps-fréquence, fabriquant des signatures numériques des sons, explique Charles Bouveyron, professeur de statistiques à l'université Côte d'Azur. Puis à partir de ces signatures, l'algorithme place les sons dans des catégories similaires. Enfin, un expert évalue les classements et associe l’espèce à la catégorie correspondante ». C'est moins onéreux mais la fiabilité de reconnaissance chute à 85 %. « Les programmes ne sont pas parfaits. Ils peuvent classifier incorrectement les sons ou les attribuer à la mauvaise espèce. Notre équipe travaille sur ces algorithmes pour les rendre plus fiables », conclut Thierry Aubin. Une plus grande fiabilité des programmes d’analyse permettra un suivi plus rigoureux des espèces en danger.


Source : La Recherche
Crédit : La Recherche

Bioacoustique : à l'écoute des forêts pour mesurer la biodiversité Actualités

Bioacoustique : à l'écoute des forêts pour mesurer la biodiversité

En novembre 2018 s'est tenue la conférence des Nations Unies sur la biodiversité qui avait pour thème "investir dans la biodiversité pour la planète et ses peuples". Chaque année, de nouvelles espèces se rapprochent de l'extinction. Pour préserver une biodiversité toujours plus menacée, encore faut il faut la connaître et donc la mesurer. De plus en plus souvent, les chercheurs utilisent la bioacoustique. Le procédé n'est pas nouveau : « Depuis près de six ans, la bioacoustique s'est renforcée afin d'analyser la biodiversité. Cette science s’appelle l’éco-acoustique. De nombreux travaux sont déjà publiés explique Thierry Aubin, directeur de recherche au CNRS et responsable de l’équipe de communications acoustiques de l’Université Paris-Saclay. Les premières études ont commencé dans les années 1960 sur des insectes et des oiseaux avec les travaux du Français René-Guy Busnel. » Aujourd'hui, l'éco-acoustique utilise les techniques de reconnaissance de sons de l'intelligence artificielle pour une meilleure efficacité.

L'éco-acoustique se révèle précieuse pour étudier la biodiversité des écosystèmes, notamment lorsque l’imagerie par satellite échoue. « Les satellites ne permettent pas de connaître ce qui se passe sous le couvert végétal, de sorte qu'il est impossible de dénombrer les espèces », raconte Thierry Aubin. Si l'on veut analyser ce qui se passe dans les forêts tropicales, les enregistrements acoustiques sont très utiles. « Avec le mur végétal, les animaux ne voient pas très loin. Les signaux visuels sont inefficaces. Presque toutes les espèces de la forêt (insectes, batraciens, oiseaux, mammifères) n'ont pas d'autres moyens que l'acoustique pour se retrouver », expose le chercheur. L’éco-acoustique ne se limite pas aux forêts très denses. L’enregistrement de la biodiversité se fait aussi dans des forêts tempérées et même les océans. « Des hydrophones étaient déployés par l'armée pour détecter les bruits des sous-marins, raconte Thierry Aubin. Ces premiers instruments ont permis les premiers essais dans le domaine. Il y a désormais de nombreux laboratoires qui peuvent utiliser les sons. En 2015 par exemple, notre équipe a commencé un partenariat avec le Commissariat de l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). Les enregistrements en Antarctique nous ont permis de dénombrer les cachalots qui passaient dans la région étudiée (soumis à publication). »

Dénombrement et identification

La bioacoustique aide à dénombrer les espèces présentes, mais aussi les individus. « Les animaux sont comme les humains ; chacun à sa propre voix », confirme Thierry Aubin. Avec les enregistrements, les bio-acousticiens peuvent aussi localiser les individus d’une espèce. En plaçant plusieurs microphones dans la forêt, le son d'un animal n’atteindra pas tous les appareils au même moment : il y a un décalage qui dépend de la distance entre la source et le microphone. En mettant à profit ce décalage, on peut trianguler la position de l'émetteur. « En 2011, notre équipe a ainsi pu localiser les oiseaux en Amazonie Brésilienne avec une précision de 1 mètre simplement par leur chant », poursuit-il.

Afin d'analyser les enregistrements recueillis, les chercheurs utilisent des programmes informatiques, mais ils ne sont pas sans faille. Lorsque deux sons se superposent, le programme est incapable de distinguer les espèces. Cette situation ne se produit pas fréquemment. « Dans une forêt, les animaux évitent de chanter en même temps lorsqu’ils communiquent. C’est ce que nous avons baptisé " l'hypothèse de la niche écologique", soutient Thierry Aubin. Dans la forêt amazonienne, il y a des cigales qui chantent en continu, mais seulement à certaines heures de la journée. Une espèce voisine chantera plus tôt ou plus tard. Et si elles chantent en même temps, ce ne sera pas à la même fréquence. Cela leur permet de communiquer sans se gêner. »

Les bio-acousticiens utilisent deux méthodes pour classifier les sons des espèces : l’analyse supervisée ou non supervisée. Dans le premier cas, un spécialiste analyse 30 à 40 % des données recueillies et associe les sons aux différentes espèces. Avec ces connaissances, le programme d'apprentissage peut classifier les données restantes. Cette méthode d’analyse est fiable à environ 95 %, mais assez coûteuse, car elle nécessite qu'on y passe du temps.

Avec l’analyse non supervisée, le programme n’a pas de connaissances particulières. « Après l'enregistrement des sons, on procède à des transformations dans l'espace temps-fréquence, fabriquant des signatures numériques des sons, explique Charles Bouveyron, professeur de statistiques à l'université Côte d'Azur. Puis à partir de ces signatures, l'algorithme place les sons dans des catégories similaires. Enfin, un expert évalue les classements et associe l’espèce à la catégorie correspondante ». C'est moins onéreux mais la fiabilité de reconnaissance chute à 85 %. « Les programmes ne sont pas parfaits. Ils peuvent classifier incorrectement les sons ou les attribuer à la mauvaise espèce. Notre équipe travaille sur ces algorithmes pour les rendre plus fiables », conclut Thierry Aubin. Une plus grande fiabilité des programmes d’analyse permettra un suivi plus rigoureux des espèces en danger.


Source : La Recherche
Crédit : La Recherche

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


17 - Charente Maritime

Le 25 mai

LES ATELIERS DES DIMANCHES
"RENDEZ-VOUS EN TERRES PRÉHISTORIQUES"

Participez à nos ateliers participatifs. En famille ou entre amis, expérimentez des gestes ancestraux, découvrez des savoir faire oubliés et mettez-vous dans la peau de celles et ceux qui vivaient il y a des milliers d’années. Dimanche 18 : taille de silex - Dimanche 25 : construction de hutte.

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


25 - Doubs

Du 1er juin au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Pour sa 25ème édition, en famille, découvrez des jardins ludiques et interactifs pensés pour reconnecter les enfants à la nature et développer leurs sens. Une porte d’entrée sur le rêve et l’imaginaire. Bien plus qu’un jardin, une expérience.

 Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 24 mai

"NUIT DU JEU À LA GROTTE !"

Une soirée pour petits et grands autour de jeux de société et de plateau dans une ambiance festive ! De 18h00 à 22h30. Adulte : 12 € - Enfant : 7 € - Gratuit pour les moins de 6 ans.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


31 - Haute-Garonne

Jusqu'au 8 juin 

EXPOSITION
"MÉMOIRE DES AIRS, QUAND L’ARCHÉOLOGIE ET LES SCIENCES ÉCLAIRENT LE PASSÉ"

Le musée aeroscopia présente une nouvelle exposition temporaire. Une invitation à découvrir, à travers l'archéologie et les sciences, les secrets des crashs aériens de la Seconde Guerre Mondiale et à rendre hommage aux héros oubliés du ciel.

Musée aeroscopia
1 allée André Turcat
31700 Blagnac
www.aeroscopia.fr


42 - Loire

Le 13 juin

FILM DES 48H DE LA CRÉATION TEXTILE

Le musée du tissage et de la soierie vous propose de (re) découvrir le film réalisé par le Caméra Photo-Club de Feurs pendant la 5ème édition des "48h de la création textile". Emotions garanties !

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


56 - Morbihan

Le 30 mai

"ALIMENTATION À LA PRÉHISTOIRE"

Que mangeait-on et que buvait-on à la Préhistoire ? Pour le découvrir, le musée de Préhistoire de Carnac vous invite à une journée spéciale consacrée à l’alimentation à la fin de la Préhistoire et au début de l’Âge du Bronze. Pour l’occasion, Noémie Ledouble, médiatrice du patrimoine et expérimentatrice en archéologie de l’alimentation vous présentera une technique de brassage de la bière.

Musée de Préhistoire
Place Christian Bonnet
56340 CARNAC
02 97 52 66 36
www.museedecarnac.com


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 3 juin 

LE CABINET DE CURIOSITÉ(S) NOMADE PAR LE MUSÉUM REQUIEN

Le « cabinet de curiosité(s) nomade » conçu par le muséum Requien pour Terre de Culture 2025 poursuit son voyage, et fait halte au musée Vouland. Son contenu propose des correspondances entre les collections des deux musées, et des échos avec le jardin du musée Vouland qui attisent la curiosité !

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Le 25 mai

CONCERT 
"CHOPIN, UNE VIE EN MUSIQUE"

Le Château de Lourmarin accueille Alexandra Lescure et Etienne Kippelen pour leur spectacle "Chopin". Une plongée sensible et immersive dans l’univers du compositeur romantique Frédéric Chopin à travers un spectacle musical.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com 


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel

Lieux:

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