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Les planètes du système Trappist-1 pourraient être habitables
Actualités

Les planètes du système Trappist-1 pourraient être habitables

Deux nouvelles études scientifiques confirment la viabilité des sept planètes orbitant à 39 années-lumière de la Terre. Elles sont rocheuses et pourraient abriter de l'eau.

Depuis leur découverte, les sept planètes du système Trappist-1 ne cessent de faire rêver scientifiques et chercheurs d'extraterrestres. Un intérêt qui ne devrait pas dégonfler puisque deux nouvelles études publiées le 5 février confirment que ces planètes sont rocheuses, comme la Terre, qu'elles possèdent une atmosphère qui n'est pas riche en hydrogène -un gaz qui serait néfaste à la vie- et qu'elles pourraient même abriter de grande quantité d'eau, et donc, théoriquement, de la vie.

"Tous les signaux pour l'instant étudiés sont au vert, a déclaré à l'AFP Amaury Triaud, astronome de l'Université de Birmingham, co-auteur d'une des études publiées lundi. Pour l'instant aucune donnée ne nous permet de dire qu'elles ne sont pas habitables."  

Montagnes russes émotionnelles

Découverte en 2005 par le télescope belge Trappist, l'étoile Trappist-1a est une naine rouge "super-froide" située à 39 années-lumière de la Terre autour de laquelle gravitent sept planètes. La particularité la plus frappante de ce système est que les sept planètes, dont les tailles varient entre 0,75 et 1,15 rayon terrestre, orbitent très prêt de leur étoile. Elles sont toutes bien plus proche de Trappist-1a que Mercure ne l'est du Soleil. Cette proximité entraîne des révolutions [Mouvement orbital périodique d'un corps céleste] très rapides, allant de 1,5 à 19 jours seulement. La Terre, elle, met environ 365 jours pour faire le tour du Soleil.

Mais comme l'étoile Trappist-1a est une naine rouge bien moins chaude et lumineuse que notre Soleil, ses planètes ne sont pas brûlées comme Mercure. Mieux, au moins trois planètes -Trappist-1e, f et g- se trouvent dans la zone habitable [en vert sur le schéma ci-dessus] de l'étoile et pourraient donc être tempérées, posséder des océans de surface, voire abriter la vie.

Ces informations avaient été dévoilées l'année dernière, quand la Nasa s'était attribuée la découverte des sept exoplanètes -alors que les recherches étaient majoritairement européennes. Depuis, certaines études avaient remis en cause la viabilité "des Trappists", d'autres l'avaient confirmée, relançant sans cesse les espoirs autour de ce système.

En janvier 2018, deux études ont précisé les rayons des planètes et les propriétés de l'étoile Trappist-1a. Surtout, le 5 février, deux nouveaux articles publiés dans Nature Astronomy et Astronomy & Astrophysics, ont confirmé tout le bien que l'on pense du système Trappist-1.

La quête de l'hydrogène fait plouf

Dans l'étude publiée dans Nature Astornomy, les chercheurs ont essayé de découvrir la composition des atmosphères de Trappist-1d, e f et g grâce au télescope spatial Hubble. Leur but était de déterminer si elles sont riches en hydrogène, comme les atmosphère de Neptune et Uranus, ou non. La raison est simple: l'hydrogène est un gaz à effet de serre qui "étouffe les planètes": s'il y en a trop, les chances de développement de la vie sont nulles, ou presque.

Pour le savoir, les scientifiques ont regardé le moment où Trappist1-d, e, f et g passaient devant Trappist-1, quand leur atmosphère était rétroéclairée par leur étoile. Cette technique, déjà utilisée sur Vénus quand elle passe devant notre Soleil, permet de déduire partiellement la composition de l'atmosphère d'une planète.

Résultat: si Trappist-1g pourrait être étouffée par une atmosphère riche en hydrogène, ce n'est pas le cas de Trappist-1d, e et f, notent les chercheurs. Une excellente nouvelle qui va pousser la communauté scientifique à regarder ces planètes de plus prêt grâce au futur télescope spatial James Webb.  

Bien plus puissant qu'Hubble, James Webb, qui devrait être lancé en 2019, sera capable de sonder plus en profondeur les exoplanètes pour détecter des gaz plus lourds que l'hydrogène, comme le dioxyde de carbone, le méthane, la vapeur d'eau et l'oxygène, et donc savoir avec plus de précision si elles sont habitable ou non.

"L'élimination de l'hypothèse hydrogène va permettre de se pencher sur d'autres pistes, se félicite Nikole Lewis, astronome au Space Telescope Science Institute et co-auteur principal de l'étude publié dans Nature Astronomy, le site officiel d'Hubble.

Des planètes rocheuses riches en eau

Dans l'étude publiée dans Astronomy & Astrophysics, les chercheurs ont tenté de découvrir la composition des planètes de Trappist-1. Leurs calculs ont confirmé que les sept planètes du système Trappist-1 sont bien rocheuses, comme la Terre. Mais les chercheurs emmenés par Simon Grimm, de l'Université de Bern, ne se sont pas arrêté là. Ils ont aussi découvert que certaines planètes du système possèdent de grande quantité d'eau pouvant aller jusqu'à 5% de leur masse. A titre de comparaison, l'eau ne constitue que 0,023% de la masse de la Terre.

Pour le découvrir, les scientifiques ont chronométré précisément des centaines de transits -le passage d'une planète devant Trappist-1- en les observant avec divers télescopes Terrestre, dont Trappist ou le Very Large Telescop (VLT) européen. "Les planètes du système Trappist-1 sont situées à si grande proximité les unes des autres que l'attraction gravitationnelle perturbe la régularité des orbites et produit des retards et des avances des transits", explique Simon Grimm sur le site de l'ESO. Or ce manque de ponctualité dépend de la masse des planètes, de leurs distances respectives ainsi que d'autres paramètres orbitaux.

Grâce à un modèle informatique, les chercheurs ont été en mesure de simuler les orbites planétaires, puis de faire coïncider ces calculs avec les valeurs observées. Ils pu en déduire les masses planétaires ainsi que leur densité, "avec une précision de l'ordre de 5 à 10%", précise le communiqué de l'ESO. "Ces mesures de densités, combinées aux modèles de compositions des planètes, suggèrent que les sept planètes du système Trappist-1 ne sont pas des mondes rocheux stériles, mais sont composés de matière volatile, probablement de l'eau, et ce, en quantités significatives", poursuit l'ESO.

De la vie sur Trappist1-e ?

Les mesures de Hubble de la première étude excluant les enveloppes d'hydrogène pour expliquer ces densités, alors plusieurs planètes de Trappist-1 ont une teneur en eau et composés volatiles supérieure à celle de notre planète, allant jusqu'à 5% en masse, conclue le CNRS -qui a participé aux recherches-, dans un communiqué.

Selon les résultats Trappist-1f, g et h sont suffisamment éloignées de leur étoile hôte pour que de l'eau glacée recouvre leur surface. Les plus proches pourraient abriter de la vapeur d'eau. La quatrième planète Trappist1-e, la plus semblable à la Terre en termes de taille, de densité et de quantité d'ensoleillement, a une température compatible avec de l'eau liquide à sa surface, souligne l'ESO.

Pourrait-elle abriter des petits hommes verts? "Nous ne pouvons rien dire à ce stade car elles sont très différentes de la seule planète qui abrite la vie [la Terre]", déclare prudemment Amaury Triaud. Elle pourrait, par exemple recevoir trop de rayonnement ultraviolet à cause de sa proximité avec Trappist1, ce qui empêcherait le développement d'une forme de vie. Pour le savoir, il faudra continuer d'observer ce système stellaire, l'un des plus intéressants à ce jour.
 

Source : L'Express
Crédit : NASA/JPL-Caltech/R. Hurt

ue d'artiste représentant le système Trappist-1, composé de sept planètes orbitant autour d'une "naine rouge", une étoile moins lumineuse et moins massive que notre Soleil.

Les planètes du système Trappist-1 pourraient être habitables Actualités

Les planètes du système Trappist-1 pourraient être habitables

Deux nouvelles études scientifiques confirment la viabilité des sept planètes orbitant à 39 années-lumière de la Terre. Elles sont rocheuses et pourraient abriter de l'eau.

Depuis leur découverte, les sept planètes du système Trappist-1 ne cessent de faire rêver scientifiques et chercheurs d'extraterrestres. Un intérêt qui ne devrait pas dégonfler puisque deux nouvelles études publiées le 5 février confirment que ces planètes sont rocheuses, comme la Terre, qu'elles possèdent une atmosphère qui n'est pas riche en hydrogène -un gaz qui serait néfaste à la vie- et qu'elles pourraient même abriter de grande quantité d'eau, et donc, théoriquement, de la vie.

"Tous les signaux pour l'instant étudiés sont au vert, a déclaré à l'AFP Amaury Triaud, astronome de l'Université de Birmingham, co-auteur d'une des études publiées lundi. Pour l'instant aucune donnée ne nous permet de dire qu'elles ne sont pas habitables."  

Montagnes russes émotionnelles

Découverte en 2005 par le télescope belge Trappist, l'étoile Trappist-1a est une naine rouge "super-froide" située à 39 années-lumière de la Terre autour de laquelle gravitent sept planètes. La particularité la plus frappante de ce système est que les sept planètes, dont les tailles varient entre 0,75 et 1,15 rayon terrestre, orbitent très prêt de leur étoile. Elles sont toutes bien plus proche de Trappist-1a que Mercure ne l'est du Soleil. Cette proximité entraîne des révolutions [Mouvement orbital périodique d'un corps céleste] très rapides, allant de 1,5 à 19 jours seulement. La Terre, elle, met environ 365 jours pour faire le tour du Soleil.

Mais comme l'étoile Trappist-1a est une naine rouge bien moins chaude et lumineuse que notre Soleil, ses planètes ne sont pas brûlées comme Mercure. Mieux, au moins trois planètes -Trappist-1e, f et g- se trouvent dans la zone habitable [en vert sur le schéma ci-dessus] de l'étoile et pourraient donc être tempérées, posséder des océans de surface, voire abriter la vie.

Ces informations avaient été dévoilées l'année dernière, quand la Nasa s'était attribuée la découverte des sept exoplanètes -alors que les recherches étaient majoritairement européennes. Depuis, certaines études avaient remis en cause la viabilité "des Trappists", d'autres l'avaient confirmée, relançant sans cesse les espoirs autour de ce système.

En janvier 2018, deux études ont précisé les rayons des planètes et les propriétés de l'étoile Trappist-1a. Surtout, le 5 février, deux nouveaux articles publiés dans Nature Astronomy et Astronomy & Astrophysics, ont confirmé tout le bien que l'on pense du système Trappist-1.

La quête de l'hydrogène fait plouf

Dans l'étude publiée dans Nature Astornomy, les chercheurs ont essayé de découvrir la composition des atmosphères de Trappist-1d, e f et g grâce au télescope spatial Hubble. Leur but était de déterminer si elles sont riches en hydrogène, comme les atmosphère de Neptune et Uranus, ou non. La raison est simple: l'hydrogène est un gaz à effet de serre qui "étouffe les planètes": s'il y en a trop, les chances de développement de la vie sont nulles, ou presque.

Pour le savoir, les scientifiques ont regardé le moment où Trappist1-d, e, f et g passaient devant Trappist-1, quand leur atmosphère était rétroéclairée par leur étoile. Cette technique, déjà utilisée sur Vénus quand elle passe devant notre Soleil, permet de déduire partiellement la composition de l'atmosphère d'une planète.

Résultat: si Trappist-1g pourrait être étouffée par une atmosphère riche en hydrogène, ce n'est pas le cas de Trappist-1d, e et f, notent les chercheurs. Une excellente nouvelle qui va pousser la communauté scientifique à regarder ces planètes de plus prêt grâce au futur télescope spatial James Webb.  

Bien plus puissant qu'Hubble, James Webb, qui devrait être lancé en 2019, sera capable de sonder plus en profondeur les exoplanètes pour détecter des gaz plus lourds que l'hydrogène, comme le dioxyde de carbone, le méthane, la vapeur d'eau et l'oxygène, et donc savoir avec plus de précision si elles sont habitable ou non.

"L'élimination de l'hypothèse hydrogène va permettre de se pencher sur d'autres pistes, se félicite Nikole Lewis, astronome au Space Telescope Science Institute et co-auteur principal de l'étude publié dans Nature Astronomy, le site officiel d'Hubble.

Des planètes rocheuses riches en eau

Dans l'étude publiée dans Astronomy & Astrophysics, les chercheurs ont tenté de découvrir la composition des planètes de Trappist-1. Leurs calculs ont confirmé que les sept planètes du système Trappist-1 sont bien rocheuses, comme la Terre. Mais les chercheurs emmenés par Simon Grimm, de l'Université de Bern, ne se sont pas arrêté là. Ils ont aussi découvert que certaines planètes du système possèdent de grande quantité d'eau pouvant aller jusqu'à 5% de leur masse. A titre de comparaison, l'eau ne constitue que 0,023% de la masse de la Terre.

Pour le découvrir, les scientifiques ont chronométré précisément des centaines de transits -le passage d'une planète devant Trappist-1- en les observant avec divers télescopes Terrestre, dont Trappist ou le Very Large Telescop (VLT) européen. "Les planètes du système Trappist-1 sont situées à si grande proximité les unes des autres que l'attraction gravitationnelle perturbe la régularité des orbites et produit des retards et des avances des transits", explique Simon Grimm sur le site de l'ESO. Or ce manque de ponctualité dépend de la masse des planètes, de leurs distances respectives ainsi que d'autres paramètres orbitaux.

Grâce à un modèle informatique, les chercheurs ont été en mesure de simuler les orbites planétaires, puis de faire coïncider ces calculs avec les valeurs observées. Ils pu en déduire les masses planétaires ainsi que leur densité, "avec une précision de l'ordre de 5 à 10%", précise le communiqué de l'ESO. "Ces mesures de densités, combinées aux modèles de compositions des planètes, suggèrent que les sept planètes du système Trappist-1 ne sont pas des mondes rocheux stériles, mais sont composés de matière volatile, probablement de l'eau, et ce, en quantités significatives", poursuit l'ESO.

De la vie sur Trappist1-e ?

Les mesures de Hubble de la première étude excluant les enveloppes d'hydrogène pour expliquer ces densités, alors plusieurs planètes de Trappist-1 ont une teneur en eau et composés volatiles supérieure à celle de notre planète, allant jusqu'à 5% en masse, conclue le CNRS -qui a participé aux recherches-, dans un communiqué.

Selon les résultats Trappist-1f, g et h sont suffisamment éloignées de leur étoile hôte pour que de l'eau glacée recouvre leur surface. Les plus proches pourraient abriter de la vapeur d'eau. La quatrième planète Trappist1-e, la plus semblable à la Terre en termes de taille, de densité et de quantité d'ensoleillement, a une température compatible avec de l'eau liquide à sa surface, souligne l'ESO.

Pourrait-elle abriter des petits hommes verts? "Nous ne pouvons rien dire à ce stade car elles sont très différentes de la seule planète qui abrite la vie [la Terre]", déclare prudemment Amaury Triaud. Elle pourrait, par exemple recevoir trop de rayonnement ultraviolet à cause de sa proximité avec Trappist1, ce qui empêcherait le développement d'une forme de vie. Pour le savoir, il faudra continuer d'observer ce système stellaire, l'un des plus intéressants à ce jour.
 

Source : L'Express
Crédit : NASA/JPL-Caltech/R. Hurt

ue d'artiste représentant le système Trappist-1, composé de sept planètes orbitant autour d'une "naine rouge", une étoile moins lumineuse et moins massive que notre Soleil.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


131 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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