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Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie
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Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie

Il fait briller les yeux des astrophysiciens comme ceux d’enfants préparant Noël. Pourtant, le deuxième catalogue d’étoiles de la mission Gaia n’a rien d’un album d’images. Il faudrait même des kilos de papiers pour contenir les milliards de données recueillies et analysées pendant 22 mois par un consortium de 450 scientifiques issus de 25 pays européens.

Non, le volume 2 de l’encyclopédie galactique dévoilé ce mercredi est un catalogue numérique sans précédent, le plus complet jamais publié dans l’histoire de l’astronomie. Parti en décembre 2013 de Kourou à bord d’une fusée Soyouz, le satellite Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) arpente notre galaxie pour la cartographier depuis le point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre. Un premier catalogue d’étoiles, publié en septembre 2016, avait permis de vérifier le bon fonctionnement et surtout la précision du satellite. Près de 1,2 milliard d’étoiles y figuraient. Dans l’histoire des grands catalogues stellaires, le bond est énorme : le premier satellite astrométrique européen Hipparcos n’en avait caractérisé que 100 000 en 1997.

100 000 étoiles en 1997, 1,7 milliard d'étoiles en 2018

Le deuxième volume de la mission Gaia compte 1 692 919 135 étoiles mais, surtout, va fournir aux scientifiques des données précieuses. « Ce catalogue intègre de nombreux paramètres de température, vitesse et position des étoiles. Il va permettre de mieux connaître leur mouvement avec des mesures 50 fois meilleures que dans le catalogue Hipparcos », explique Frédéric Pailler, responsable des opérations Gaia au CNES à Toulouse où l’aventure a pris forme. C’est en effet dans les salles blanches d’Astrium (aujourd’hui Airbus Defence and Space) sous maîtrise d’ouvrage du CNES que Gaia a été construit. Grâce à l’expertise des équipes d’Astrium et de la PME tarbaise Boostec, Gaia peut se prévaloir du qualificatif d’instrument le plus sensible jamais utilisé en astronomie. La mission, prévue pour 5 ans, a été étendue jusqu’en 2020.

C’est encore à Toulouse qu’une partie des données recueillies par le satellite européen sont exploitées. Les équipes du CNES, au centre spatial, travaillent déjà à une troisième version du catalogue d’étoiles qui devrait en compter au moins quatre. « Entre le premier catalogue et le deuxième, nous avons reçu davantage de données, effectué plus de calculs avec des exigences de précision encore plus grandes. Le challenge est palpitant, nous sommes là pour faire tourner la chaîne de calculs et fournir de la matière à d’autres scientifiques », souligne Frédéric Pailler.

A Toulouse, l’équivalent de 250 000 DVD à traiter

Au Centre spatial de Toulouse (CNES), la mission Gaia a demandé un véritable saut technologique. Trois millions d’euros ont été ainsi investis dans un « data center » capable de sécuriser et d’assurer le bon fonctionnement de plus de 6000 processeurs de calculs. Une salle de 270 m2 accueille plusieurs dizaines de baies (armoires informatiques) soit la capacité d’au moins 10 000 ordinateurs. Pour neutraliser la chaleur générée par toutes ces machines, des circuits d’eau glacés sont intégrés dans les portes des armoires et des cuves contenant des milliers de litres d’eau à 7 degrés sont prêtes en cas de panne. Pour le centre de traitement DPC de Toulouse, la puissance de calcul nécessaire des données Gaia est estimée à 6 teraflops (6 000 milliards d’opérations par seconde).

Au terme de la mission, on estime que le volume de données à traiter sera de l’ordre du pétaoctet soit 1 million de milliards d’octets qui correspondent à une capacité de 250 000 DVD ou l’équivalent de 2 000 ans de musique en écoute continue. Pour relever le défi, le CNES s’est appuyé sur des outils du monde du « Big Data », largement utilisés par les grands acteurs du Web comme Facebook, Google, Amazon.

Des chiffres astronomiques

Avec plus d’un milliard d’objets observés, la mission Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) constitue le plus gros traitement de données de l’histoire de l’astronomie. Voici quelques repères chiffrés :

- 1 692 919 135 étoiles. Le catalogue Gaia volume 2, publié ce 25 avril 2018, recense près de 1,7milliard d’étoiles. Le premier en comptait près de 1,2 milliard.

- 460 étoiles par seconde. Le satellite européen Gaia, lancé en décembre 2013, voit 460 étoiles par seconde, soit 40 millions par jour.

- 7 224 631 vitesses radiales. Parmi les paramètres attendus par les astrophysiciens, Gaia 2 fournit 7 millions de vitesse radiale d’étoiles. C’est 7 fois plus que le cumul des mesures fourni jusqu’ici par l’ensemble des télescopes terrestres et spatiaux. 22 mois de collecte de résultats. Les équipes du consortium européen DPAC ont mis 22 mois pour collecter et traiter les mesures nécessaires à la publication du deuxième catalogue Gaia. Le premier catalogue avait demandé 14 mois de collecte. La mission devrait aboutir à la publication de quatre catalogues, chaque catalogue écrasant le précédent qu’il actualise et enrichit.

- 3000 ans à compter. Pour compter les 100 à 400 milliards d’étoiles de la Voie lactée, il faudrait 3000 ans, à raison d’une étoile comptée par seconde.

- 937 782 millions de pixels. Le capteur du satellite Gaia représente l’équivalent de 80 appareils photo de smartphone. Il s’agit du plus grand capteur jamais envoyé dans l’espace.


Frédéric Pailler, ingénieur, responsable des opérations Gaia au CNES : «Une mine d’or pour les astrophysiciens »

Satellite, télescope, comment qualifier Gaia ?

Gaia est un satellite européen équipé de deux télescopes qui lui permettent de voir à deux endroits en même temps. Ce qui n’est pas toujours évident à comprendre pour le grand public qui connaît les télescopes spatiaux comme Hubble, c’est que Gaia ne prend pas des photos mais des mesures. Gaia bouge en permanence, il effectue plusieurs mouvements de rotation combinés pour scanner le ciel. Pendant cinq ans, il aura vu toute la sphère céleste.

Où se trouve-t-il actuellement ?

Il est au point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre et à 150 millions de kilomètres du Soleil. Il effectue ses orbites autour de ce point. Comme il est dans l’espace, il n’est pas gêné par le sol ou l’atmosphère et, du point de Lagrange 2 il n’est jamais ébloui par la Terre. Ses mesures sont 50 fois plus précises que celles du satellite Hipparcos dans les années 1990.

Parmi les milliards de données recueillies, quelles sont celles analysées au centre spatial de Toulouse ?

Plusieurs équipes européennes sont engagées dans le DPAC, un consortium européen de 450 scientifiques et ingénieurs. Toulouse est un des quatre centres « coordination unit » avec Barcelone, Genève et Cambridge. Nous traitons les données de spectrométrie (vitesse radiale des étoiles), les paramètres astrophysiques des étoiles (masse, température de surface, etc) et tout ce qui concerne les objets qui ne sont pas des étoiles (planètes mineures, astéroïdes par exemple). Pour le deuxième catalogue Gaia, nous avons fourni plus de 7 millions de mesures de vitesse radiale (vitesse de déplacement des étoiles), 161 millions de mesures de températures de surface, 77 millions de mesures de luminosité et un peu plus de 14 000 orbites et données de luminosité d’astéroïdes.

Comment tous ces chiffres peuvent servir l’astronomie ?

Les astrophysiciens et tous les scientifiques du domaine attendent avec impatience ce deuxième catalogue, comme un cadeau de Noël. Le premier catalogue avait permis la publication de dizaines d’articles scientifiques. Le deuxième, enrichi de nombreux paramètres, va permettre de connaître le mouvement des étoiles, leur position, leur parcours et donc la dynamique de la Voie lactée. C’est une mine d’or pour les astrophysiciens et une autre manière de regarder le ciel en se servant des statistiques.
 

Source : La Dépêche
Crédit : B. Fugate (FASORtronics)/ESO

Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie Actualités

Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie

Il fait briller les yeux des astrophysiciens comme ceux d’enfants préparant Noël. Pourtant, le deuxième catalogue d’étoiles de la mission Gaia n’a rien d’un album d’images. Il faudrait même des kilos de papiers pour contenir les milliards de données recueillies et analysées pendant 22 mois par un consortium de 450 scientifiques issus de 25 pays européens.

Non, le volume 2 de l’encyclopédie galactique dévoilé ce mercredi est un catalogue numérique sans précédent, le plus complet jamais publié dans l’histoire de l’astronomie. Parti en décembre 2013 de Kourou à bord d’une fusée Soyouz, le satellite Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) arpente notre galaxie pour la cartographier depuis le point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre. Un premier catalogue d’étoiles, publié en septembre 2016, avait permis de vérifier le bon fonctionnement et surtout la précision du satellite. Près de 1,2 milliard d’étoiles y figuraient. Dans l’histoire des grands catalogues stellaires, le bond est énorme : le premier satellite astrométrique européen Hipparcos n’en avait caractérisé que 100 000 en 1997.

100 000 étoiles en 1997, 1,7 milliard d'étoiles en 2018

Le deuxième volume de la mission Gaia compte 1 692 919 135 étoiles mais, surtout, va fournir aux scientifiques des données précieuses. « Ce catalogue intègre de nombreux paramètres de température, vitesse et position des étoiles. Il va permettre de mieux connaître leur mouvement avec des mesures 50 fois meilleures que dans le catalogue Hipparcos », explique Frédéric Pailler, responsable des opérations Gaia au CNES à Toulouse où l’aventure a pris forme. C’est en effet dans les salles blanches d’Astrium (aujourd’hui Airbus Defence and Space) sous maîtrise d’ouvrage du CNES que Gaia a été construit. Grâce à l’expertise des équipes d’Astrium et de la PME tarbaise Boostec, Gaia peut se prévaloir du qualificatif d’instrument le plus sensible jamais utilisé en astronomie. La mission, prévue pour 5 ans, a été étendue jusqu’en 2020.

C’est encore à Toulouse qu’une partie des données recueillies par le satellite européen sont exploitées. Les équipes du CNES, au centre spatial, travaillent déjà à une troisième version du catalogue d’étoiles qui devrait en compter au moins quatre. « Entre le premier catalogue et le deuxième, nous avons reçu davantage de données, effectué plus de calculs avec des exigences de précision encore plus grandes. Le challenge est palpitant, nous sommes là pour faire tourner la chaîne de calculs et fournir de la matière à d’autres scientifiques », souligne Frédéric Pailler.

A Toulouse, l’équivalent de 250 000 DVD à traiter

Au Centre spatial de Toulouse (CNES), la mission Gaia a demandé un véritable saut technologique. Trois millions d’euros ont été ainsi investis dans un « data center » capable de sécuriser et d’assurer le bon fonctionnement de plus de 6000 processeurs de calculs. Une salle de 270 m2 accueille plusieurs dizaines de baies (armoires informatiques) soit la capacité d’au moins 10 000 ordinateurs. Pour neutraliser la chaleur générée par toutes ces machines, des circuits d’eau glacés sont intégrés dans les portes des armoires et des cuves contenant des milliers de litres d’eau à 7 degrés sont prêtes en cas de panne. Pour le centre de traitement DPC de Toulouse, la puissance de calcul nécessaire des données Gaia est estimée à 6 teraflops (6 000 milliards d’opérations par seconde).

Au terme de la mission, on estime que le volume de données à traiter sera de l’ordre du pétaoctet soit 1 million de milliards d’octets qui correspondent à une capacité de 250 000 DVD ou l’équivalent de 2 000 ans de musique en écoute continue. Pour relever le défi, le CNES s’est appuyé sur des outils du monde du « Big Data », largement utilisés par les grands acteurs du Web comme Facebook, Google, Amazon.

Des chiffres astronomiques

Avec plus d’un milliard d’objets observés, la mission Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) constitue le plus gros traitement de données de l’histoire de l’astronomie. Voici quelques repères chiffrés :

- 1 692 919 135 étoiles. Le catalogue Gaia volume 2, publié ce 25 avril 2018, recense près de 1,7milliard d’étoiles. Le premier en comptait près de 1,2 milliard.

- 460 étoiles par seconde. Le satellite européen Gaia, lancé en décembre 2013, voit 460 étoiles par seconde, soit 40 millions par jour.

- 7 224 631 vitesses radiales. Parmi les paramètres attendus par les astrophysiciens, Gaia 2 fournit 7 millions de vitesse radiale d’étoiles. C’est 7 fois plus que le cumul des mesures fourni jusqu’ici par l’ensemble des télescopes terrestres et spatiaux. 22 mois de collecte de résultats. Les équipes du consortium européen DPAC ont mis 22 mois pour collecter et traiter les mesures nécessaires à la publication du deuxième catalogue Gaia. Le premier catalogue avait demandé 14 mois de collecte. La mission devrait aboutir à la publication de quatre catalogues, chaque catalogue écrasant le précédent qu’il actualise et enrichit.

- 3000 ans à compter. Pour compter les 100 à 400 milliards d’étoiles de la Voie lactée, il faudrait 3000 ans, à raison d’une étoile comptée par seconde.

- 937 782 millions de pixels. Le capteur du satellite Gaia représente l’équivalent de 80 appareils photo de smartphone. Il s’agit du plus grand capteur jamais envoyé dans l’espace.


Frédéric Pailler, ingénieur, responsable des opérations Gaia au CNES : «Une mine d’or pour les astrophysiciens »

Satellite, télescope, comment qualifier Gaia ?

Gaia est un satellite européen équipé de deux télescopes qui lui permettent de voir à deux endroits en même temps. Ce qui n’est pas toujours évident à comprendre pour le grand public qui connaît les télescopes spatiaux comme Hubble, c’est que Gaia ne prend pas des photos mais des mesures. Gaia bouge en permanence, il effectue plusieurs mouvements de rotation combinés pour scanner le ciel. Pendant cinq ans, il aura vu toute la sphère céleste.

Où se trouve-t-il actuellement ?

Il est au point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre et à 150 millions de kilomètres du Soleil. Il effectue ses orbites autour de ce point. Comme il est dans l’espace, il n’est pas gêné par le sol ou l’atmosphère et, du point de Lagrange 2 il n’est jamais ébloui par la Terre. Ses mesures sont 50 fois plus précises que celles du satellite Hipparcos dans les années 1990.

Parmi les milliards de données recueillies, quelles sont celles analysées au centre spatial de Toulouse ?

Plusieurs équipes européennes sont engagées dans le DPAC, un consortium européen de 450 scientifiques et ingénieurs. Toulouse est un des quatre centres « coordination unit » avec Barcelone, Genève et Cambridge. Nous traitons les données de spectrométrie (vitesse radiale des étoiles), les paramètres astrophysiques des étoiles (masse, température de surface, etc) et tout ce qui concerne les objets qui ne sont pas des étoiles (planètes mineures, astéroïdes par exemple). Pour le deuxième catalogue Gaia, nous avons fourni plus de 7 millions de mesures de vitesse radiale (vitesse de déplacement des étoiles), 161 millions de mesures de températures de surface, 77 millions de mesures de luminosité et un peu plus de 14 000 orbites et données de luminosité d’astéroïdes.

Comment tous ces chiffres peuvent servir l’astronomie ?

Les astrophysiciens et tous les scientifiques du domaine attendent avec impatience ce deuxième catalogue, comme un cadeau de Noël. Le premier catalogue avait permis la publication de dizaines d’articles scientifiques. Le deuxième, enrichi de nombreux paramètres, va permettre de connaître le mouvement des étoiles, leur position, leur parcours et donc la dynamique de la Voie lactée. C’est une mine d’or pour les astrophysiciens et une autre manière de regarder le ciel en se servant des statistiques.
 

Source : La Dépêche
Crédit : B. Fugate (FASORtronics)/ESO

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Les 28 février & 6 mars

SPÉCIAL CARNAVAL
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES"

Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème du Carnaval ! Tu pourras le rapporter chez toi et l’utiliser pour éloigner les mauvais rêves !
Vendredi 28 février et jeudi 6 mars à 14h30. Dès 3 ans. Tarif : 5 €. Réservation obligatoire.

Musée du tissage et de la soierie
125 place Vaucansonp
42510 Bussières
04 77 27 33 95 
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 8 mars

EXPOSITION
"PEINTURES DE JEAN-PAUL ROUX "

Le musée reçoit Jean-Paul Roux. L’artiste peint depuis une trentaine d’années à l’huile et au couteau associant grattages, aplats et couleurs avec la volonté d’épurer le sujet pour ne garder que l’essentiel.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Le 28 février

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"LA VIE AUTOUR DES ARBRES"

Venez découvrir les arbres et leurs habitants. Lors de cette animation vous aurez l’occasion de (re)connaître les indices de présence laissés par les animaux qui vivent dans les arbres, la notion d’écosystème et l’importance d’une forêt diversifiée. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


Le 6 mars

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"BALADE NATURALISTE À LA FORÊT DE LA GENÊTE"

C’est l’hiver, les branches des arbres sont nues. Mais les animaux de la forêt n’ont pas déserté. Arpentons la forêt de la Genête à la recherche de terriers de blaireaux. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


75 - Paris

Le 15 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"APPRENTIS STRATÈGES"
Pour revivre le siège de Toulon en 1793, aux côtés de Napoléon, grâce au plan-relief de la ville et à un jeu de stratégie grâce à une grande carte tirée des archives du musée. De 8 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Le 19 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"CONSTRUIS TA CITADELLE EN KAPLA"
Pour découvrir les fortifications et construire en famille une citadelle ou un fort en planchettes de bois Kapla. De 6 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com

Lieux:

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