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Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie
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Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie

Il fait briller les yeux des astrophysiciens comme ceux d’enfants préparant Noël. Pourtant, le deuxième catalogue d’étoiles de la mission Gaia n’a rien d’un album d’images. Il faudrait même des kilos de papiers pour contenir les milliards de données recueillies et analysées pendant 22 mois par un consortium de 450 scientifiques issus de 25 pays européens.

Non, le volume 2 de l’encyclopédie galactique dévoilé ce mercredi est un catalogue numérique sans précédent, le plus complet jamais publié dans l’histoire de l’astronomie. Parti en décembre 2013 de Kourou à bord d’une fusée Soyouz, le satellite Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) arpente notre galaxie pour la cartographier depuis le point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre. Un premier catalogue d’étoiles, publié en septembre 2016, avait permis de vérifier le bon fonctionnement et surtout la précision du satellite. Près de 1,2 milliard d’étoiles y figuraient. Dans l’histoire des grands catalogues stellaires, le bond est énorme : le premier satellite astrométrique européen Hipparcos n’en avait caractérisé que 100 000 en 1997.

100 000 étoiles en 1997, 1,7 milliard d'étoiles en 2018

Le deuxième volume de la mission Gaia compte 1 692 919 135 étoiles mais, surtout, va fournir aux scientifiques des données précieuses. « Ce catalogue intègre de nombreux paramètres de température, vitesse et position des étoiles. Il va permettre de mieux connaître leur mouvement avec des mesures 50 fois meilleures que dans le catalogue Hipparcos », explique Frédéric Pailler, responsable des opérations Gaia au CNES à Toulouse où l’aventure a pris forme. C’est en effet dans les salles blanches d’Astrium (aujourd’hui Airbus Defence and Space) sous maîtrise d’ouvrage du CNES que Gaia a été construit. Grâce à l’expertise des équipes d’Astrium et de la PME tarbaise Boostec, Gaia peut se prévaloir du qualificatif d’instrument le plus sensible jamais utilisé en astronomie. La mission, prévue pour 5 ans, a été étendue jusqu’en 2020.

C’est encore à Toulouse qu’une partie des données recueillies par le satellite européen sont exploitées. Les équipes du CNES, au centre spatial, travaillent déjà à une troisième version du catalogue d’étoiles qui devrait en compter au moins quatre. « Entre le premier catalogue et le deuxième, nous avons reçu davantage de données, effectué plus de calculs avec des exigences de précision encore plus grandes. Le challenge est palpitant, nous sommes là pour faire tourner la chaîne de calculs et fournir de la matière à d’autres scientifiques », souligne Frédéric Pailler.

A Toulouse, l’équivalent de 250 000 DVD à traiter

Au Centre spatial de Toulouse (CNES), la mission Gaia a demandé un véritable saut technologique. Trois millions d’euros ont été ainsi investis dans un « data center » capable de sécuriser et d’assurer le bon fonctionnement de plus de 6000 processeurs de calculs. Une salle de 270 m2 accueille plusieurs dizaines de baies (armoires informatiques) soit la capacité d’au moins 10 000 ordinateurs. Pour neutraliser la chaleur générée par toutes ces machines, des circuits d’eau glacés sont intégrés dans les portes des armoires et des cuves contenant des milliers de litres d’eau à 7 degrés sont prêtes en cas de panne. Pour le centre de traitement DPC de Toulouse, la puissance de calcul nécessaire des données Gaia est estimée à 6 teraflops (6 000 milliards d’opérations par seconde).

Au terme de la mission, on estime que le volume de données à traiter sera de l’ordre du pétaoctet soit 1 million de milliards d’octets qui correspondent à une capacité de 250 000 DVD ou l’équivalent de 2 000 ans de musique en écoute continue. Pour relever le défi, le CNES s’est appuyé sur des outils du monde du « Big Data », largement utilisés par les grands acteurs du Web comme Facebook, Google, Amazon.

Des chiffres astronomiques

Avec plus d’un milliard d’objets observés, la mission Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) constitue le plus gros traitement de données de l’histoire de l’astronomie. Voici quelques repères chiffrés :

- 1 692 919 135 étoiles. Le catalogue Gaia volume 2, publié ce 25 avril 2018, recense près de 1,7milliard d’étoiles. Le premier en comptait près de 1,2 milliard.

- 460 étoiles par seconde. Le satellite européen Gaia, lancé en décembre 2013, voit 460 étoiles par seconde, soit 40 millions par jour.

- 7 224 631 vitesses radiales. Parmi les paramètres attendus par les astrophysiciens, Gaia 2 fournit 7 millions de vitesse radiale d’étoiles. C’est 7 fois plus que le cumul des mesures fourni jusqu’ici par l’ensemble des télescopes terrestres et spatiaux. 22 mois de collecte de résultats. Les équipes du consortium européen DPAC ont mis 22 mois pour collecter et traiter les mesures nécessaires à la publication du deuxième catalogue Gaia. Le premier catalogue avait demandé 14 mois de collecte. La mission devrait aboutir à la publication de quatre catalogues, chaque catalogue écrasant le précédent qu’il actualise et enrichit.

- 3000 ans à compter. Pour compter les 100 à 400 milliards d’étoiles de la Voie lactée, il faudrait 3000 ans, à raison d’une étoile comptée par seconde.

- 937 782 millions de pixels. Le capteur du satellite Gaia représente l’équivalent de 80 appareils photo de smartphone. Il s’agit du plus grand capteur jamais envoyé dans l’espace.


Frédéric Pailler, ingénieur, responsable des opérations Gaia au CNES : «Une mine d’or pour les astrophysiciens »

Satellite, télescope, comment qualifier Gaia ?

Gaia est un satellite européen équipé de deux télescopes qui lui permettent de voir à deux endroits en même temps. Ce qui n’est pas toujours évident à comprendre pour le grand public qui connaît les télescopes spatiaux comme Hubble, c’est que Gaia ne prend pas des photos mais des mesures. Gaia bouge en permanence, il effectue plusieurs mouvements de rotation combinés pour scanner le ciel. Pendant cinq ans, il aura vu toute la sphère céleste.

Où se trouve-t-il actuellement ?

Il est au point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre et à 150 millions de kilomètres du Soleil. Il effectue ses orbites autour de ce point. Comme il est dans l’espace, il n’est pas gêné par le sol ou l’atmosphère et, du point de Lagrange 2 il n’est jamais ébloui par la Terre. Ses mesures sont 50 fois plus précises que celles du satellite Hipparcos dans les années 1990.

Parmi les milliards de données recueillies, quelles sont celles analysées au centre spatial de Toulouse ?

Plusieurs équipes européennes sont engagées dans le DPAC, un consortium européen de 450 scientifiques et ingénieurs. Toulouse est un des quatre centres « coordination unit » avec Barcelone, Genève et Cambridge. Nous traitons les données de spectrométrie (vitesse radiale des étoiles), les paramètres astrophysiques des étoiles (masse, température de surface, etc) et tout ce qui concerne les objets qui ne sont pas des étoiles (planètes mineures, astéroïdes par exemple). Pour le deuxième catalogue Gaia, nous avons fourni plus de 7 millions de mesures de vitesse radiale (vitesse de déplacement des étoiles), 161 millions de mesures de températures de surface, 77 millions de mesures de luminosité et un peu plus de 14 000 orbites et données de luminosité d’astéroïdes.

Comment tous ces chiffres peuvent servir l’astronomie ?

Les astrophysiciens et tous les scientifiques du domaine attendent avec impatience ce deuxième catalogue, comme un cadeau de Noël. Le premier catalogue avait permis la publication de dizaines d’articles scientifiques. Le deuxième, enrichi de nombreux paramètres, va permettre de connaître le mouvement des étoiles, leur position, leur parcours et donc la dynamique de la Voie lactée. C’est une mine d’or pour les astrophysiciens et une autre manière de regarder le ciel en se servant des statistiques.
 

Source : La Dépêche
Crédit : B. Fugate (FASORtronics)/ESO

Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie Actualités

Le satellite Gaia a recensé 1,7 milliard d'étoiles de notre Galaxie

Il fait briller les yeux des astrophysiciens comme ceux d’enfants préparant Noël. Pourtant, le deuxième catalogue d’étoiles de la mission Gaia n’a rien d’un album d’images. Il faudrait même des kilos de papiers pour contenir les milliards de données recueillies et analysées pendant 22 mois par un consortium de 450 scientifiques issus de 25 pays européens.

Non, le volume 2 de l’encyclopédie galactique dévoilé ce mercredi est un catalogue numérique sans précédent, le plus complet jamais publié dans l’histoire de l’astronomie. Parti en décembre 2013 de Kourou à bord d’une fusée Soyouz, le satellite Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) arpente notre galaxie pour la cartographier depuis le point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre. Un premier catalogue d’étoiles, publié en septembre 2016, avait permis de vérifier le bon fonctionnement et surtout la précision du satellite. Près de 1,2 milliard d’étoiles y figuraient. Dans l’histoire des grands catalogues stellaires, le bond est énorme : le premier satellite astrométrique européen Hipparcos n’en avait caractérisé que 100 000 en 1997.

100 000 étoiles en 1997, 1,7 milliard d'étoiles en 2018

Le deuxième volume de la mission Gaia compte 1 692 919 135 étoiles mais, surtout, va fournir aux scientifiques des données précieuses. « Ce catalogue intègre de nombreux paramètres de température, vitesse et position des étoiles. Il va permettre de mieux connaître leur mouvement avec des mesures 50 fois meilleures que dans le catalogue Hipparcos », explique Frédéric Pailler, responsable des opérations Gaia au CNES à Toulouse où l’aventure a pris forme. C’est en effet dans les salles blanches d’Astrium (aujourd’hui Airbus Defence and Space) sous maîtrise d’ouvrage du CNES que Gaia a été construit. Grâce à l’expertise des équipes d’Astrium et de la PME tarbaise Boostec, Gaia peut se prévaloir du qualificatif d’instrument le plus sensible jamais utilisé en astronomie. La mission, prévue pour 5 ans, a été étendue jusqu’en 2020.

C’est encore à Toulouse qu’une partie des données recueillies par le satellite européen sont exploitées. Les équipes du CNES, au centre spatial, travaillent déjà à une troisième version du catalogue d’étoiles qui devrait en compter au moins quatre. « Entre le premier catalogue et le deuxième, nous avons reçu davantage de données, effectué plus de calculs avec des exigences de précision encore plus grandes. Le challenge est palpitant, nous sommes là pour faire tourner la chaîne de calculs et fournir de la matière à d’autres scientifiques », souligne Frédéric Pailler.

A Toulouse, l’équivalent de 250 000 DVD à traiter

Au Centre spatial de Toulouse (CNES), la mission Gaia a demandé un véritable saut technologique. Trois millions d’euros ont été ainsi investis dans un « data center » capable de sécuriser et d’assurer le bon fonctionnement de plus de 6000 processeurs de calculs. Une salle de 270 m2 accueille plusieurs dizaines de baies (armoires informatiques) soit la capacité d’au moins 10 000 ordinateurs. Pour neutraliser la chaleur générée par toutes ces machines, des circuits d’eau glacés sont intégrés dans les portes des armoires et des cuves contenant des milliers de litres d’eau à 7 degrés sont prêtes en cas de panne. Pour le centre de traitement DPC de Toulouse, la puissance de calcul nécessaire des données Gaia est estimée à 6 teraflops (6 000 milliards d’opérations par seconde).

Au terme de la mission, on estime que le volume de données à traiter sera de l’ordre du pétaoctet soit 1 million de milliards d’octets qui correspondent à une capacité de 250 000 DVD ou l’équivalent de 2 000 ans de musique en écoute continue. Pour relever le défi, le CNES s’est appuyé sur des outils du monde du « Big Data », largement utilisés par les grands acteurs du Web comme Facebook, Google, Amazon.

Des chiffres astronomiques

Avec plus d’un milliard d’objets observés, la mission Gaia de l’Agence spatiale européenne (ESA) constitue le plus gros traitement de données de l’histoire de l’astronomie. Voici quelques repères chiffrés :

- 1 692 919 135 étoiles. Le catalogue Gaia volume 2, publié ce 25 avril 2018, recense près de 1,7milliard d’étoiles. Le premier en comptait près de 1,2 milliard.

- 460 étoiles par seconde. Le satellite européen Gaia, lancé en décembre 2013, voit 460 étoiles par seconde, soit 40 millions par jour.

- 7 224 631 vitesses radiales. Parmi les paramètres attendus par les astrophysiciens, Gaia 2 fournit 7 millions de vitesse radiale d’étoiles. C’est 7 fois plus que le cumul des mesures fourni jusqu’ici par l’ensemble des télescopes terrestres et spatiaux. 22 mois de collecte de résultats. Les équipes du consortium européen DPAC ont mis 22 mois pour collecter et traiter les mesures nécessaires à la publication du deuxième catalogue Gaia. Le premier catalogue avait demandé 14 mois de collecte. La mission devrait aboutir à la publication de quatre catalogues, chaque catalogue écrasant le précédent qu’il actualise et enrichit.

- 3000 ans à compter. Pour compter les 100 à 400 milliards d’étoiles de la Voie lactée, il faudrait 3000 ans, à raison d’une étoile comptée par seconde.

- 937 782 millions de pixels. Le capteur du satellite Gaia représente l’équivalent de 80 appareils photo de smartphone. Il s’agit du plus grand capteur jamais envoyé dans l’espace.


Frédéric Pailler, ingénieur, responsable des opérations Gaia au CNES : «Une mine d’or pour les astrophysiciens »

Satellite, télescope, comment qualifier Gaia ?

Gaia est un satellite européen équipé de deux télescopes qui lui permettent de voir à deux endroits en même temps. Ce qui n’est pas toujours évident à comprendre pour le grand public qui connaît les télescopes spatiaux comme Hubble, c’est que Gaia ne prend pas des photos mais des mesures. Gaia bouge en permanence, il effectue plusieurs mouvements de rotation combinés pour scanner le ciel. Pendant cinq ans, il aura vu toute la sphère céleste.

Où se trouve-t-il actuellement ?

Il est au point de Lagrange 2, à 1,5 million de kilomètres de la Terre et à 150 millions de kilomètres du Soleil. Il effectue ses orbites autour de ce point. Comme il est dans l’espace, il n’est pas gêné par le sol ou l’atmosphère et, du point de Lagrange 2 il n’est jamais ébloui par la Terre. Ses mesures sont 50 fois plus précises que celles du satellite Hipparcos dans les années 1990.

Parmi les milliards de données recueillies, quelles sont celles analysées au centre spatial de Toulouse ?

Plusieurs équipes européennes sont engagées dans le DPAC, un consortium européen de 450 scientifiques et ingénieurs. Toulouse est un des quatre centres « coordination unit » avec Barcelone, Genève et Cambridge. Nous traitons les données de spectrométrie (vitesse radiale des étoiles), les paramètres astrophysiques des étoiles (masse, température de surface, etc) et tout ce qui concerne les objets qui ne sont pas des étoiles (planètes mineures, astéroïdes par exemple). Pour le deuxième catalogue Gaia, nous avons fourni plus de 7 millions de mesures de vitesse radiale (vitesse de déplacement des étoiles), 161 millions de mesures de températures de surface, 77 millions de mesures de luminosité et un peu plus de 14 000 orbites et données de luminosité d’astéroïdes.

Comment tous ces chiffres peuvent servir l’astronomie ?

Les astrophysiciens et tous les scientifiques du domaine attendent avec impatience ce deuxième catalogue, comme un cadeau de Noël. Le premier catalogue avait permis la publication de dizaines d’articles scientifiques. Le deuxième, enrichi de nombreux paramètres, va permettre de connaître le mouvement des étoiles, leur position, leur parcours et donc la dynamique de la Voie lactée. C’est une mine d’or pour les astrophysiciens et une autre manière de regarder le ciel en se servant des statistiques.
 

Source : La Dépêche
Crédit : B. Fugate (FASORtronics)/ESO

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

17 - Charente Maritime

A partir du 19 septembre

EXPOSITION
"PARURES ET MOTIFS DE LA PRÉHISTOIRE"

Fruit d’un projet mené avec deux classes de seconde en arts plastiques, l’exposition Archéofictions propose une relecture créative et sensible de la Préhistoire. Entre art et archéologie, Archéofictions invite à redécouvrir les parures et motifs de nos ancêtres, mêlant fiction, création contemporaine et savoir scientifique. 

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2B - Haute-Corse

Jusqu'au 20 décembre

EXPOSITION
"FEMIN’ISULA"

L’exposition retrace, de la préhistoire à nos jours, le rôle des femmes dans la société insulaire et leur marche vers l’émancipation voire les combats féministes. Le parcours riche de près de 300 oeuvres est argumenté et illustré par des portraits de femmes méconnues ou célèbres qui ont participé à l’évolution de la place des femmes dans la société insulaire.

Musée de Bastia
Place du donjon
La Citadelle
20200 Bastia
https://musee.bastia.corsica


33 - Gironde

Jusqu'au 31 décembre

EXPOSITION GUSTAVE EIFFEL

Gustave Eiffel dont sa fameuse Tour et toutes ses réalisations de chantiers en France et dans le Monde, appuyé sur l’Exposiiton universelle  de 1889. A l’occasion de notre concours, nous avons reçu 107 œuvres de Tour Eiffel réalisées par les Amis du Musée qui sont exposées dans nos vitrines. Venez-vous plonger dans l’univers de Gustave Eiffel et sa vie trépidante.

Musée des Techniques
5 rue de Balambits
33640 Beautiran
05 57 97 75 11 / 06 07 74 03 76
http://villamaglya.fr


34 - Hérault

Jusqu'au 1er mars

EXPOSITION
"IMMERSION URBAINE"

Exposition collective et évolutive réunissant plus de 18 artistes. Autour du thème de la récupération, du recyclage et de l’upcycling, chaque artiste construit à partir de cloisons de récupération et d’éléments de cinéma, pour créer un univers singulier. Présente à l’intérieur et aux extérieurs du musée, l'exposition offre aux visiteurs une expérience artistique renouvelée à chaque visite.

Musée Parcelle473
425 avenue frères Buhler
34080 Montpellier
06 66 02 69 29
www.parcelle473.com


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 2026 

EXPOSITION
"PEINDRE LA LUMIÈRE, DE LA MAQUETTE AU VITRAIL"

Arcabas (1926-2018) s’est intéressé toute sa vie au vitrail qu’il abordait en tant que peintre avant tout. De l'expérience fondatrice de l'église Saint-Hugues aux dernières réalisations du Sacré-Cœur de Grenoble et de Saint-Christophe-sur-Guiers, l’exposition met l’accent sur les maquettes créées par Arcabas et la façon dont elles ont été traduites par les maitres verriers.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


41 - Loir-et-Cher

Jusqu'au 4 janvier 2026

"NOËL ROYAL DANS LES CHÂTEAUX"

Chaque année les châteaux de Blois, Chambord, Cheverny et Chaumont-sur-Loire se mettent sur leur 31 pour vous émerveiller en décembre pendant les fêtes de Noël.
Chaque château son thème, ce qui en fait des visites singulières et inoubliables. Pour ne pas faire de choix, prenez le Pass Châteaux spécial Noël pour visiter 3 châteaux à 45 € ou 4 châteaux 61 €.

Office de tourisme Blois Chambord - Val de Loire
5 rue de la voûte 
41000 Blois
02 54 90 41 46
www.bloischambord.com


42 - Loire

Le 6 décembre 

ATELIERS TEXTILES DE NOËL

Et si vous optiez pour des décorations textiles pour orner votre sapin de Noël ? Le musée vous propose pour la première fois des ateliers créatifs pour préparer les fêtes de fin d'année :
Pour les enfants : création d'un sapin en tissus - Pour les adultes : création d'une boule de Noël textile.
Samedi 6 décembre à 14h30. Réservation obligatoire. Tarif : 5 € par personne.

Musée du tissage et de la soierie
125 Place Vaucanson 
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 19 avril 2026

EXPOSITION 
"175 ANS DE CRÉATION BRASSICOLEÀ SAINT-DIZIER"

La brasserie du fort carré a été un des fleurons économiques de Saint-Dizier. En activité de 1796 à 1955, elle marqué le paysage urbain de la ville, et est à l’origine de la construction de la Tour Miko. Des techniques de productions de la bière, au nombreux objets publicitaires, l’exposition retracera l’histoire d’une brasserie restée dans les mémoires.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Découvrez l’importante rétrospective consacrée à cet artiste unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental. De nombreuses animations pour les enfants en lien avec l'univers du designer Guillaume Piéchaud sont disponibles durant les vacances d'automne !

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 4 janvier 2026

EXPOSITION "HAPPY CRISTAL – DUEL DE NOËL !"
MUSÉE LALIQUE

Chaque année, Happy Cristal est un rendez-vous pour découvrir des mises en scène originales où les objets prennent vie. En 2025, les visiteurs pourront choisir entre deux propositions esthétiques très différentes. D’un côté, un Noël scandinave, blanc, lumineux et très lié à la nature. De l’autre côté, un Noël très coloré, inspiré des traditions nord-américaines. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


68 - Haut-Rhin

Jusqu'au 1er mars 2026

EXPOSITION
"STRUCTURES EN DÉRIVE"

La Fondation Fernet-Branca présente Structures en dérive, une exposition réunissant neuf artistes aux pratiques photographiques et transdisciplinaires.
L’exposition explore la photographie comme terrain d’expérimentation, entre approche documentaire et poétique.

Fondation Fernet-Branca
2 rue du Ballon
68300 Saint-Louis 
03 89 69 10 77
www.fondationfernet-branca.org


Jusqu'au 31 décembre

EXPOSITION
"JOUSTRA"

Après les jouets Playmobil®, c'est une marque plus locale qui vient investir La Nef des Jouets : Joustra. Contraction de "JOUets de STRAsbourg", connaissant son pic de popularité dans les années 1950 et 1960 (jouets mécaniques, jouets téléguidés puis radiocommandés, voitures, grues, engins de chantier, bateaux, jeux scientifiques puis plus tard le célèbre télécran…).

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


75 - Paris

Jusqu'au 14 décembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 4 janvier 2026

EXPOSITION 
"ÇA CHAUFFE CHEZ LES SCIENTIFIQUES" 

Les scientifiques sont les premiers, depuis des années, à nous alerter sur l’urgence climatique. Pourtant, la recherche est loin d’être écologique ou durable ! Comment concilier production de connaissances et responsabilité environnementale ? Et quel sens donner à cette mission dans un monde en pleine crise ? Pour y répondre, Julien Bobroff et l’équipe de "La Physique Autrement" vous présentent l'exposition "Ça chauffe les scientifiques".  

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Du 17 décembre au 10 janvier 2027

ZEUS, LE CHEVAL MÉTALLIQUE AU MUAM !

Le musée accueille sur son parvis le cheval métallique Zeus, œuvre monumentale qui a marqué les esprits lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Du 17 décembre 2025 au 29 mars 2026, dans le chœur de l’église Saint-Martin-des-Champs du MuAM, une exposition exceptionnelle intitulée "Zeus, chef-d’œuvre d’artisans" retrace la genèse et la fabrication de cette œuvre.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 28 février 2026

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET LA GRÈCE"

Cette exposition met en lumière la relation profonde et inspirante que Georges Clemenceau a entretenue avec l’Hellade tout au long de sa vie. Cette passion, née de son éducation, a marqué sa carrière politique et sa vision du monde ainsi que son engagement pour la démocratie et la culture.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 8 mars 2026

EXPOSITION
"DENISE BELLON. UN REGARD VAGABOND"

Le mahJ présente la première rétrospective à Paris, rassemblant près de 300 photographies, objets, lettres et publications, consacrée à Denise Bellon (1902-1999). Photographe humaniste, pionnière du photojournalisme et compagne de route des surréalistes, son œuvre singulière et méconnue court des années 1930 aux années 1970.

 Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 17 mai 2026

EXPOSITION "FLOPS" 

Échec, bide, raté, fiasco… on estime que neuf innovations sur dix échouent et les raisons de la galère ne sont pas toujours évidentes ! En explorant les "bides" comme les trajectoires de réussites inattendues, l’exposition Flops-?! propose une lecture bienveillante de l’échec et ouvre la voie à une découverte singulière des collections du MuAM – Musée des Arts et Métiers.  

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 31 juillet 2026

EXPOSITION
"L’ÉTOFFE DES RÊVES"

Le vent de l’Art Brut et du surréalisme soufflera sur les 300 œuvres des 36 artistes réunis dans tout l’espace de la Halle Saint Pierre. "L’Étoffe des rêves" est le fruit d’une collaboration entre la Halle Saint Pierre et le Centre international du surréalisme et de la Citoyenneté mondiale à Saint-Cirq-Lapopie.

Halle Saint Pierre
2 rue Ronsard
72018 Paris
01 42 58 72 89
www.hallesaintpierre.org


84 - Vaucluse

Jusqu'en mars 2026

JEUX DE PISTE DE NOËL

Les jeunes visiteurs sont invités à parcourir le Château à travers un jeu de piste spécialement conçu pour les vacances de Noël, une aventure ludique et familiale.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 4 janvier 2026

EXPOSITION
"C'EST ICI"

L'exposition "C'est ici" réunit des oeuvres des XIXe et XXe siècles issues de collections particulières et du Musée Vouland et propose un parcours placé sous le signe du "local" et de la curiosité.

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 4 janvier 2026

EXPOSITION
"C'EST BRODÉ"

35 tableaux "à l'aiguille" sont exposés en contrepoint des tapisseries et des peintures présentées au musée. Réunis par Chantal et Dominique Dekester entre 1990 et 2010, ces objets sensibles, souvent anonymes, expriment dévotion ou amour. Ils témoignent d'un art d'agrément qui mêle broderie et peinture, de la place des travaux d’aiguille dans l’éducation des jeunes filles et des activités au sein des institutions religieuses. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


87 - Haute-Vienne

Jusqu'au 20 décembre

EXPOSITION
"OCEAN, LE PAPIER FAIT DES VAGUES"

Prenez une grande inspiration et plongez dans l'univers mystérieux des océans, à la découverte des œuvres incroyables d'une dizaine d'artistes papier. Une occasion idéale de s'émerveiller tout en se sensibilisant à la richesse et la fragilité de ces écosystèmes.

Le Moulin du Got
Le Pénitent
87400 St Léonard-de-Noblat
05 55 57 18 74
www.moulindugot.com


88 - Vosges

Les 6 & 7 décembre

"PÉTANQUE DES PLANÈTES"
MAISON DU BAILLI

Venez pointer, tirer… et (re)découvrir les planètes de notre Système solaire à travers ce concept insolite pour petits grands ! Accessible à tous les âges, cette activité permet d’explorer notre Système solaire de manière concrète et joyeuse. Entre adresse, stratégie et découvertes scientifiques, chacun pourra s’y retrouver ! De 14h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

Maison du Bailli
Place des Vosges
88000 Épinal

Lieux:

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