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La sonde Solar Orbiter part percer les mystères du Soleil
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La sonde Solar Orbiter part percer les mystères du Soleil

De la taille d'une grosse voiture, elle s'apprête à affronter des conditions infernales. La sonde européenne Solar Orbiter a pris son envol à bord d'une fusée américaine Atlas, dans la nuit de dimanche à lundi, depuis le centre spatial Kennedy en Floride. Après quoi, tel Icare, elle tentera de s'approcher de notre Soleil jusqu'à n'être plus qu'à 42 millions de kilomètres de sa surface, soit à moins d'un tiers de la distance qui sépare l'astre de notre planète. L'occasion pour l'Europe d'envoyer, pour la première fois, une mission au-delà de l'orbite de Mercure.

Heureusement, pour affronter un rayonnement solaire jusqu'à treize fois plus intense que celui qui atteint les satellites en orbite autour de la Terre, l'engin commandé par l'agence spatiale européenne (ESA) à Airbus dispose d'un bouclier thermique de 3 par 2,5 mètres, pouvant supporter jusqu'à 655 degrés Celsius tout en maintenant le corps de la sonde sous la barre des 80 degrés. En effet, l'enjeu est de parvenir à protéger les dix instruments scientifiques (neuf européens et un américain) qui équipent cette exploratrice de métal de près de deux tonnes. Quatre sont destinés à des mesures, in situ, des flux de particules émis par le Soleil tandis que les six autres étudieront, depuis la sonde, le champ magnétique et les émissions solaires dans différentes longueurs d'onde.

Fournaise

Grâce à eux, les scientifiques espèrent parvenir à résoudre quelques-uns des grands mystères qui entourent encore l'astre auquel nous devons la vie. Le plus intrigant d'entre eux est sans doute de comprendre pourquoi la couronne solaire est si chaude (plus d'un million de degrés), bien plus que la surface de l'étoile (5 500 degrés environ), pourtant nettement plus proche des réactions nucléaires à l'origine de son énergie.

L'autre enjeu, tout aussi crucial, concerne les processus qui régissent les variations du champ magnétique et des vents solaires qui propulsent dans l'espace d'intenses flux de particules. À l'origine des splendides aurores boréales, ceux-ci sont toutefois délétères pour les technologies humaines et pour les astronautes qui voyageraient dans le système solaire. Après une première phase d'étude de notre étoile à une résolution inégalée (jusqu'à 70 kilomètres par pixel) depuis le plan de l'écliptique (c'est-à-dire le plan d'orbite de la Terre autour du Soleil), la sonde se décalera pour réaliser les toutes premières images des pôles du Soleil et tenter de comprendre ce qui s'y passe quand son champ magnétique change subitement de polarité.

Complémentarité

Les questions scientifiques sous-jacentes ne sont guère différentes de celles auxquelles tente déjà de répondre la sonde Parker Solar Probe de la Nasa, dont les premiers résultats ont été dévoilés fin 2019. Mais c'est une chance puisque les deux engins possèdent des feuilles de route et des outils très différents, et sont donc très complémentaires. En effet, la sonde américaine navigue bien plus près du Soleil, jusqu'à seulement 6 millions de kilomètres de distance. Dotée de quatre instruments, elle est uniquement conçue pour mesurer in situ les plasmas et les gaz ionisés présents dans la région de la couronne solaire où elle évolue. Une véritable fournaise qui ne lui laisse pas la possibilité d'ouvrir ne serait-ce qu'un œil pour faire des images de son environnement.

Bref, bien que conçues sans aucune concertation, ces deux missions, qui se dérouleront au moins en partie de manière simultanée (le lancement de Solar Orbiter ayant été reporté à plusieurs reprises), sont un cadeau pour la science : l'une pouvant fournir le contexte des données récoltées par l'autre. D'ailleurs, si la Nasa a également apporté sa contribution à la mission de l'ESA, c'est pour pouvoir avoir au plus vite accès à l'ensemble des mesures obtenues par les deux missions. De l'autre côté, plusieurs scientifiques européens sont également membres de la mission américaine. Autant dire que la communauté des astronomes attend avec impatience l'arrivée de Solar Orbiter au chevet du Soleil. Si tout va bien, elle sera à pied d'œuvre en novembre 2021 pour commencer sa mission scientifique prévue pour durer entre 5 et 9 ans.


Source : Le Point
Crédit : ESA/ATG medialab

Vue d’artiste.

La sonde Solar Orbiter part percer les mystères du Soleil Actualités

La sonde Solar Orbiter part percer les mystères du Soleil

De la taille d'une grosse voiture, elle s'apprête à affronter des conditions infernales. La sonde européenne Solar Orbiter a pris son envol à bord d'une fusée américaine Atlas, dans la nuit de dimanche à lundi, depuis le centre spatial Kennedy en Floride. Après quoi, tel Icare, elle tentera de s'approcher de notre Soleil jusqu'à n'être plus qu'à 42 millions de kilomètres de sa surface, soit à moins d'un tiers de la distance qui sépare l'astre de notre planète. L'occasion pour l'Europe d'envoyer, pour la première fois, une mission au-delà de l'orbite de Mercure.

Heureusement, pour affronter un rayonnement solaire jusqu'à treize fois plus intense que celui qui atteint les satellites en orbite autour de la Terre, l'engin commandé par l'agence spatiale européenne (ESA) à Airbus dispose d'un bouclier thermique de 3 par 2,5 mètres, pouvant supporter jusqu'à 655 degrés Celsius tout en maintenant le corps de la sonde sous la barre des 80 degrés. En effet, l'enjeu est de parvenir à protéger les dix instruments scientifiques (neuf européens et un américain) qui équipent cette exploratrice de métal de près de deux tonnes. Quatre sont destinés à des mesures, in situ, des flux de particules émis par le Soleil tandis que les six autres étudieront, depuis la sonde, le champ magnétique et les émissions solaires dans différentes longueurs d'onde.

Fournaise

Grâce à eux, les scientifiques espèrent parvenir à résoudre quelques-uns des grands mystères qui entourent encore l'astre auquel nous devons la vie. Le plus intrigant d'entre eux est sans doute de comprendre pourquoi la couronne solaire est si chaude (plus d'un million de degrés), bien plus que la surface de l'étoile (5 500 degrés environ), pourtant nettement plus proche des réactions nucléaires à l'origine de son énergie.

L'autre enjeu, tout aussi crucial, concerne les processus qui régissent les variations du champ magnétique et des vents solaires qui propulsent dans l'espace d'intenses flux de particules. À l'origine des splendides aurores boréales, ceux-ci sont toutefois délétères pour les technologies humaines et pour les astronautes qui voyageraient dans le système solaire. Après une première phase d'étude de notre étoile à une résolution inégalée (jusqu'à 70 kilomètres par pixel) depuis le plan de l'écliptique (c'est-à-dire le plan d'orbite de la Terre autour du Soleil), la sonde se décalera pour réaliser les toutes premières images des pôles du Soleil et tenter de comprendre ce qui s'y passe quand son champ magnétique change subitement de polarité.

Complémentarité

Les questions scientifiques sous-jacentes ne sont guère différentes de celles auxquelles tente déjà de répondre la sonde Parker Solar Probe de la Nasa, dont les premiers résultats ont été dévoilés fin 2019. Mais c'est une chance puisque les deux engins possèdent des feuilles de route et des outils très différents, et sont donc très complémentaires. En effet, la sonde américaine navigue bien plus près du Soleil, jusqu'à seulement 6 millions de kilomètres de distance. Dotée de quatre instruments, elle est uniquement conçue pour mesurer in situ les plasmas et les gaz ionisés présents dans la région de la couronne solaire où elle évolue. Une véritable fournaise qui ne lui laisse pas la possibilité d'ouvrir ne serait-ce qu'un œil pour faire des images de son environnement.

Bref, bien que conçues sans aucune concertation, ces deux missions, qui se dérouleront au moins en partie de manière simultanée (le lancement de Solar Orbiter ayant été reporté à plusieurs reprises), sont un cadeau pour la science : l'une pouvant fournir le contexte des données récoltées par l'autre. D'ailleurs, si la Nasa a également apporté sa contribution à la mission de l'ESA, c'est pour pouvoir avoir au plus vite accès à l'ensemble des mesures obtenues par les deux missions. De l'autre côté, plusieurs scientifiques européens sont également membres de la mission américaine. Autant dire que la communauté des astronomes attend avec impatience l'arrivée de Solar Orbiter au chevet du Soleil. Si tout va bien, elle sera à pied d'œuvre en novembre 2021 pour commencer sa mission scientifique prévue pour durer entre 5 et 9 ans.


Source : Le Point
Crédit : ESA/ATG medialab

Vue d’artiste.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


131 - Haute-Garonne

Le 27 avril

"JOURNÉE COCKPIT"
AILES ANCIENNES TOULOUSE

Les Ailes Anciennes organisent leur 1ère édition 2025 de la célèbre "Journée Cockpit". Cette année notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation et l’automobile. Seront donc présents les membres de l’association « American Feeling Car Club » créée en 1989. Ces passionnés présenteront quelques-uns de leurs plus beaux véhicules américains à côté de nos aéronefs.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Du 19 avril au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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