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Galileo, le « GPS européen », entre en service
Actualités

Galileo, le « GPS européen », entre en service

Jeudi 15 décembre 2016, l'Europe lance les premiers services de son système de navigation par satellites, Galileo. Le dispositif doit permettre une localisation plus précise pour les utilisateurs, avec pour ambition de concurrencer le puissant GPS américain.

Le 17 novembre a eu lieu le lancement de quatre satellites Galileo à bord d’Ariane 5, depuis le centre spatial guyanais à Kourou. C’est la version Ariane 5 EPS (étage à propergols stockables) qui a été choisie, de manière à pouvoir rallumer le dernier moteur pour qu’il monte les satellites jusqu’à leur orbite à 23 000 km. Les opérations de mise à poste ont été réalisées par le CNES depuis Toulouse, en partenariat avec l’ESOC, le centre européen d’opérations spatiales, à Darmstadt. Depuis le premier lancement, en 2012, 14 satellites ont déjà été mis en orbite, dont un est définitivement hors service à la suite d’une panne d’antenne et deux autres, placés sur une mauvaise orbite, ne pourront être utilisés pour les missions de recherche et de sauvetage. Ce 17 novembre, la mise en orbite a été correctement effectuée. Tout prête donc à penser qu'il y aura bientôt 15 satellites Galileo en place, permettant le démarrage de l’exploitation dès décembre. Grâce à Ariane 5, les trois prochains lancements Galileo se feront par groupe de quatre satellites. Celui du 17 novembre donc, suivi d’un lancement en 2017 puis d’un autre en 2018. En 2020, avec 30 satellites en orbite, le service sera complet.

Le programme Galileo a été initié en 1999 par la Commission européenne pour doter l’Europe de son propre système de positionnement et de datation et garantir l’indépendance européenne face aux autres systèmes existants, tels que l’américain GPS, le russe Glonass et le chinois Beidou. Après que plusieurs pistes aient été abandonnées, notamment celle d’un partenariat public-privé, la commission européenne a repris la main en 2008, allouant un budget de 3,5 millions d’euros pour la période 2008-2013, puis 7 milliards d’euros ont été attribués pour la mise en place et l'exploitation des systèmes européens de navigation par satellite pour la période 2014-2020. Parallèlement, quelques 20 stations sol ont déjà été réparties autour du globe, une infrastructure qui sera encore renforcée d’ici à 2020.

Galileo, un système plus précis que le GPS

Galileo est plus précis que le GPS, sa précision étant de l’ordre du mètre lorsque l’américain est décamétrique et le russe Glonass moins performant encore. La spécificité du signal Galileo sera par ailleurs sa datation à quelques milliardièmes de seconde près. « Avec le GPS, on peut savoir où est un train en France, avec Galileo, on pourra dire sur quelle voie. De plus le signal sera bien meilleur que celui du GPS notamment pour les lieux encaissés comme les canyons urbains. Nous partons en retard, mais nous courrons plus vite et nous avons d’emblée une longueur d’avance sur nos concurrents », souligne Jean-Yves le Gall, président du CNES. L’agence spatiale française a été dès le début très impliquée dans le projet. Ainsi, toute l’architecture de Galileo a été conçue par les ingénieurs du CNES. Plus largement, la France contribue au programme Galileo à hauteur de 17 %, juste après l’Allemagne (21%).

Le système Galileo est sous la houlette de trois acteurs: la Commission européenne qui décide et supervise, l’ESA qui assure la phase de construction, et le GSA (agence de navigation par satellite européenne) basée à Prague, qui est chargée d’exploiter le système. Cette dernière va monter en puissance dès l’année prochaine pour exploiter Galileo et Egnos. Egnos a été la première étape mise en œuvre, soit un système régional d’augmentation du signal GPS, pleinement opérationnel depuis 2011, qui permet notamment aux avions commerciaux de bénéficier d'une amélioration de la sécurité des phases d'approche sur un nombre croissant d'aéroports européens. Egnos, composé d’une demi-douzaine de charges utiles embarquées sur divers satellites, permet de couvrir quasiment toute l’Europe et intéresse à présent quelques pays d’Afrique francophone.

Quatre types de services proposés par Galileo

Galileo va quant à lui proposer quatre services. Le premier, ouvert, sera accessible gratuitement à tout le monde. Outre le service de positionnement et de datation, il offrira une authentification du signal utilisé. Cette authentification pourra être utile en fonction des applications envisagées, en particulier pour avoir la garantie que le signal utilisé est bien un signal Galileo et non un leurre. Ce sera le seul système pour des années à faire cela. Le second sera commercial : moyennant une redevance, il permettra un positionnement précis de quelques centimètres et une authentification encore plus robuste. Le service PRS (service public réglementé), la partie gouvernementale du système, disposera de signaux très robustes aux perturbations électro-magnétiques et sera rendu accessible par les Etats membres en fonction de la pertinence du besoin exprimé. Enfin, le service recherche et sauvetage pour les navires et avions en détresse, dont les capacités seront bien plus rapides et précises que celle du système actuel Cospas-Sarsat qui dispose de moins de 10 satellites en orbite basse et ne permet pas une localisation en temps réel.

Le grand public pourra dès la fin de cette année avoir accès à Galileo sous réserve de s’être procuré une puce adéquate bi-compatible avec le GPS. L’annonce, qui sera faite en décembre par la Commission européenne, sonnera comme le signal de démarrage de production pour les industriels. Galileo va servir à la navigation aérienne, routière, maritime (en 2016, l’organisation maritime internationale a reconnu Galileo comme étant un moyen de navigation maritime), ferroviaire (un accord a été passé avec la SNCF), le sauvetage, les applications publiques et les services économiques et financiers. Il sera également plus précis et devrait intéresser au plus haut point les concepteurs de voitures autonomes. « Il faut d’abord que nous fournissions les services pour que se créent des applications, constate Jean-Yves Le Gall. Quand les données vont arriver, un écosystème va se constituer, avec des applications dont on n’a encore aucune idée aujourd’hui. »

 

Source : Sciences et avenir
Crédit : ESA

Le système de géolocalisation européen Galileo lance ses premières applications le 15 décembre 2016.

Galileo, le « GPS européen », entre en service Actualités

Galileo, le « GPS européen », entre en service

Jeudi 15 décembre 2016, l'Europe lance les premiers services de son système de navigation par satellites, Galileo. Le dispositif doit permettre une localisation plus précise pour les utilisateurs, avec pour ambition de concurrencer le puissant GPS américain.

Le 17 novembre a eu lieu le lancement de quatre satellites Galileo à bord d’Ariane 5, depuis le centre spatial guyanais à Kourou. C’est la version Ariane 5 EPS (étage à propergols stockables) qui a été choisie, de manière à pouvoir rallumer le dernier moteur pour qu’il monte les satellites jusqu’à leur orbite à 23 000 km. Les opérations de mise à poste ont été réalisées par le CNES depuis Toulouse, en partenariat avec l’ESOC, le centre européen d’opérations spatiales, à Darmstadt. Depuis le premier lancement, en 2012, 14 satellites ont déjà été mis en orbite, dont un est définitivement hors service à la suite d’une panne d’antenne et deux autres, placés sur une mauvaise orbite, ne pourront être utilisés pour les missions de recherche et de sauvetage. Ce 17 novembre, la mise en orbite a été correctement effectuée. Tout prête donc à penser qu'il y aura bientôt 15 satellites Galileo en place, permettant le démarrage de l’exploitation dès décembre. Grâce à Ariane 5, les trois prochains lancements Galileo se feront par groupe de quatre satellites. Celui du 17 novembre donc, suivi d’un lancement en 2017 puis d’un autre en 2018. En 2020, avec 30 satellites en orbite, le service sera complet.

Le programme Galileo a été initié en 1999 par la Commission européenne pour doter l’Europe de son propre système de positionnement et de datation et garantir l’indépendance européenne face aux autres systèmes existants, tels que l’américain GPS, le russe Glonass et le chinois Beidou. Après que plusieurs pistes aient été abandonnées, notamment celle d’un partenariat public-privé, la commission européenne a repris la main en 2008, allouant un budget de 3,5 millions d’euros pour la période 2008-2013, puis 7 milliards d’euros ont été attribués pour la mise en place et l'exploitation des systèmes européens de navigation par satellite pour la période 2014-2020. Parallèlement, quelques 20 stations sol ont déjà été réparties autour du globe, une infrastructure qui sera encore renforcée d’ici à 2020.

Galileo, un système plus précis que le GPS

Galileo est plus précis que le GPS, sa précision étant de l’ordre du mètre lorsque l’américain est décamétrique et le russe Glonass moins performant encore. La spécificité du signal Galileo sera par ailleurs sa datation à quelques milliardièmes de seconde près. « Avec le GPS, on peut savoir où est un train en France, avec Galileo, on pourra dire sur quelle voie. De plus le signal sera bien meilleur que celui du GPS notamment pour les lieux encaissés comme les canyons urbains. Nous partons en retard, mais nous courrons plus vite et nous avons d’emblée une longueur d’avance sur nos concurrents », souligne Jean-Yves le Gall, président du CNES. L’agence spatiale française a été dès le début très impliquée dans le projet. Ainsi, toute l’architecture de Galileo a été conçue par les ingénieurs du CNES. Plus largement, la France contribue au programme Galileo à hauteur de 17 %, juste après l’Allemagne (21%).

Le système Galileo est sous la houlette de trois acteurs: la Commission européenne qui décide et supervise, l’ESA qui assure la phase de construction, et le GSA (agence de navigation par satellite européenne) basée à Prague, qui est chargée d’exploiter le système. Cette dernière va monter en puissance dès l’année prochaine pour exploiter Galileo et Egnos. Egnos a été la première étape mise en œuvre, soit un système régional d’augmentation du signal GPS, pleinement opérationnel depuis 2011, qui permet notamment aux avions commerciaux de bénéficier d'une amélioration de la sécurité des phases d'approche sur un nombre croissant d'aéroports européens. Egnos, composé d’une demi-douzaine de charges utiles embarquées sur divers satellites, permet de couvrir quasiment toute l’Europe et intéresse à présent quelques pays d’Afrique francophone.

Quatre types de services proposés par Galileo

Galileo va quant à lui proposer quatre services. Le premier, ouvert, sera accessible gratuitement à tout le monde. Outre le service de positionnement et de datation, il offrira une authentification du signal utilisé. Cette authentification pourra être utile en fonction des applications envisagées, en particulier pour avoir la garantie que le signal utilisé est bien un signal Galileo et non un leurre. Ce sera le seul système pour des années à faire cela. Le second sera commercial : moyennant une redevance, il permettra un positionnement précis de quelques centimètres et une authentification encore plus robuste. Le service PRS (service public réglementé), la partie gouvernementale du système, disposera de signaux très robustes aux perturbations électro-magnétiques et sera rendu accessible par les Etats membres en fonction de la pertinence du besoin exprimé. Enfin, le service recherche et sauvetage pour les navires et avions en détresse, dont les capacités seront bien plus rapides et précises que celle du système actuel Cospas-Sarsat qui dispose de moins de 10 satellites en orbite basse et ne permet pas une localisation en temps réel.

Le grand public pourra dès la fin de cette année avoir accès à Galileo sous réserve de s’être procuré une puce adéquate bi-compatible avec le GPS. L’annonce, qui sera faite en décembre par la Commission européenne, sonnera comme le signal de démarrage de production pour les industriels. Galileo va servir à la navigation aérienne, routière, maritime (en 2016, l’organisation maritime internationale a reconnu Galileo comme étant un moyen de navigation maritime), ferroviaire (un accord a été passé avec la SNCF), le sauvetage, les applications publiques et les services économiques et financiers. Il sera également plus précis et devrait intéresser au plus haut point les concepteurs de voitures autonomes. « Il faut d’abord que nous fournissions les services pour que se créent des applications, constate Jean-Yves Le Gall. Quand les données vont arriver, un écosystème va se constituer, avec des applications dont on n’a encore aucune idée aujourd’hui. »

 

Source : Sciences et avenir
Crédit : ESA

Le système de géolocalisation européen Galileo lance ses premières applications le 15 décembre 2016.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Le 14 mars

"LA NUIT DE LA CHOUETTE"

Depuis près de 30 ans, la Nuit de la Chouette vous invite à découvrir les rapaces nocturnes et leur environnement. La LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) et la Saline royale, refuge LPO vous convie à une belle soirée dédiée à nos compagnons de vie nocturne. Événement gratuit sur réservation, le vendredi 14 mars de 18h15 à 21h00. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Du 15 mars au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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