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Rome menacé par la plus grave crise hydrique de son histoire moderne
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Rome menacé par la plus grave crise hydrique de son histoire moderne

Quelques gouttes de pluie tiède sont tombées sur Rome, dans la nuit du lundi 24 au mardi 25 juillet, après plusieurs semaines de sécheresse absolue. A peine de quoi mouiller le sol. Puis la chaleur étouffante a immédiatement repris ses droits ; les habitants auront à peine eu le temps de s’en apercevoir.

Les services de météorologie annoncent bien quelques orages dans le nord de l’Italie, mais il est peu probable que la pluie atteigne la capitale. Dans tous les cas, un orage, même violent, ne résoudra rien. La sécheresse inédite qui sévit sur la partie centrale du pays depuis plusieurs mois est partie pour durer.

Ces derniers jours, la préoccupation a cédé le pas à une franche inquiétude. Il faut dire que les nouvelles n’ont rien de rassurant : Rome, la ville des fontaines et des aqueducs, qui n’a jamais vraiment manqué d’eau, est menacé par la plus grave crise hydrique de son histoire moderne.
Pression des robinets réduite

Samedi 21 juillet, le gouverneur de la région du Latium, Nicola Zingaretti, a annoncé que, face à la baisse dramatique du niveau du lac de Bracciano, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest du centre de la capitale – il est actuellement 1,50 mètre plus bas que la normale –, il était contraint d’ordonner l’interruption des prélèvements en eau, pour éviter une catastrophe écologique.

Problème : Bracciano représente en moyenne 8 % des ressources quotidiennes de la ville. L’agence gérant l’alimentation en eau de la métropole romaine, l’ACEA, qui a aussitôt protesté contre cette décision, avait déjà réduit ses prélèvements ces dernières semaines. Elle continuait tout de même à y ponctionner 1 100 litres par seconde, soit 95 000 mètres cubes par jour.

Les images des berges asséchées du lac (57 km2 et jusqu’à 160 mètres de profondeur) tournaient en boucle toute la journée dans les journaux télévisés. On y voyait des pontons soudain rendus inutiles par l’absence d’eau, tandis que sur les rives, d’ordinaire plus étroites, des promeneurs perplexes déambulaient comme le long d’une plage à marée basse.

Si une solution n’est pas trouvée d’ici au vendredi 28 juillet, 1,5 million de Romains risquent d’être concernés par des coupures d’eau, qui pourraient durer jusqu’à huit heures par jour. D’ici là, la pression des robinets a été réduite, ce qui pourrait provoquer des ruptures d’alimentation dans des quartiers résidentiels comme Parioli ou Monte Mario, situés en hauteur.

Dans ces zones et dans plusieurs quartiers périphériques de la ville, qui risquent d’être les premiers à faire les frais du rationnement, les habitants se sont rués vers les supermarchés pour acheter le plus possible d’eau minérale, afin de pallier l’éventualité d’une coupure générale. Et une course contre la montre s’est engagée pour trouver au plus vite des solutions permettant d’éviter un rationnement jugé « exagéré » par Nicola Zingaretti.

L’heure est grave, et les commerçants comme les hôteliers ont multiplié les alarmes, ces derniers jours, soulignant les dommages incalculables que causerait un arrêt, même partiel, de la fourniture d’eau.

Mardi 25, la maire de Rome, Virginia Raggi (Mouvement 5 étoiles) devait réunir tous les interlocuteurs au Capitole, dans le but d’éviter d’en venir au rationnement. Aucun effort d’économie ne sera négligé. Lundi, le Vatican a même fait savoir que toutes ses fontaines allaient être fermées jusqu’à nouvel ordre.

Selon le quotidien La Repubblica, la ville connaîtrait sa sécheresse la plus grave depuis 200 ans. Le syndicat agricole Coldirelli estime le déficit de précipitations à 72 % en juillet, par rapport à la même période de 2016, mais aussi à 74 % en juin, et 56 % en avril et mai. Depuis décembre 2016, dans le Latium, 250 mm de précipitations sont tombés, contre une moyenne de 420 mm sur la même période durant les vingt-cinq dernières années.

Au-delà du cas de Rome et de sa région, une bonne moitié de l’Italie est touchée. Deux tiers des terres cultivables du pays seraient soumises à un régime de restrictions d’eau, dix gouverneurs, de la Vénétie aux îles de la Méditerranée, ont déjà demandé le placement de leur région en état de catastrophe naturelle ou s’apprêtent à le faire. La sécheresse risque en effet d’avoir des conséquences désastreuses sur les rendements agricoles, du lait des Marches aux vignobles du Nord-Est.

Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que le pays soit ravagé, depuis plusieurs semaines, par d’innombrables feux de forêt, de la province de Trapani, en Sicile, aux environs immédiats de Rome, en passant par les pentes du Vésuve.

Si la conjoncture météorologique est l’explication première de l’état critique de la distribution d’eau à Rome, l’affaire n’en a pas moins pris ces derniers jours un tour politique, les responsables se renvoyant la responsabilité de l’état calamiteux du réseau hydraulique.

Diminution de la demande

A cet égard, un chiffre est particulièrement éclairant : plus de 44 % de l’eau empruntant le réseau romain n’arrive pas à destination. Un résultat catastrophique, à comparer avec les données milanaises : dans la capitale lombarde, le taux de déperdition n’est que d’un peu plus de 16 %.

Détenue à 51 % par la commune de Rome, qui cherchait avant tout ces dernières années à en tirer le plus de dividendes possible pour combler un déficit abyssal (plus de 15 milliards d’euros de dettes), l’ACEA n’a même pas initié une réflexion sur l’amélioration de la tuyauterie, qui pourrait pourtant permettre d’importantes économies. Une erreur partagée par toutes les équipes qui se sont succédé au Capitole et qu’il serait malhonnête d’attribuer à la seule Virginia Raggi, arrivée aux commandes de la ville à l’été 2016.

L’élue grilliniste a, en revanche, tardé à prendre la mesure de la catastrophe : Sabrina Anselmo, maire d’Anguillara, une des trois communes lacustres des bords du lac de Bracciano, et issue, comme Virginia Raggi, du Mouvement 5 étoiles, a confié lundi à La Stampa qu’elle avait alerté sa collègue romaine à plusieurs reprises, et que celle-ci ne s’était jamais déplacée pour participer aux réunions sur le devenir du lac.

Dans ce contexte très tendu, et alors que rien n’indique un changement de temps dans les prochains jours, le seul allié des décideurs municipaux semble bien être le calendrier : fin juillet, comme tous les ans, Rome sera désertée pour cause de vacances, ce qui aura pour effet de diminuer la demande. Comme si la seule solution permettant, à court terme, de préserver l’alimentation en eau des Romains était la perspective du départ d’une bonne partie de ses habitants.
 

Source : Le Monde
Crédit : MASSIMO PERCOSSO / AP

Sur la rive du lac de Bracciano au nord-ouest de Rome, le 23 juillet.

Rome menacé par la plus grave crise hydrique de son histoire moderne Actualités

Rome menacé par la plus grave crise hydrique de son histoire moderne

Quelques gouttes de pluie tiède sont tombées sur Rome, dans la nuit du lundi 24 au mardi 25 juillet, après plusieurs semaines de sécheresse absolue. A peine de quoi mouiller le sol. Puis la chaleur étouffante a immédiatement repris ses droits ; les habitants auront à peine eu le temps de s’en apercevoir.

Les services de météorologie annoncent bien quelques orages dans le nord de l’Italie, mais il est peu probable que la pluie atteigne la capitale. Dans tous les cas, un orage, même violent, ne résoudra rien. La sécheresse inédite qui sévit sur la partie centrale du pays depuis plusieurs mois est partie pour durer.

Ces derniers jours, la préoccupation a cédé le pas à une franche inquiétude. Il faut dire que les nouvelles n’ont rien de rassurant : Rome, la ville des fontaines et des aqueducs, qui n’a jamais vraiment manqué d’eau, est menacé par la plus grave crise hydrique de son histoire moderne.
Pression des robinets réduite

Samedi 21 juillet, le gouverneur de la région du Latium, Nicola Zingaretti, a annoncé que, face à la baisse dramatique du niveau du lac de Bracciano, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest du centre de la capitale – il est actuellement 1,50 mètre plus bas que la normale –, il était contraint d’ordonner l’interruption des prélèvements en eau, pour éviter une catastrophe écologique.

Problème : Bracciano représente en moyenne 8 % des ressources quotidiennes de la ville. L’agence gérant l’alimentation en eau de la métropole romaine, l’ACEA, qui a aussitôt protesté contre cette décision, avait déjà réduit ses prélèvements ces dernières semaines. Elle continuait tout de même à y ponctionner 1 100 litres par seconde, soit 95 000 mètres cubes par jour.

Les images des berges asséchées du lac (57 km2 et jusqu’à 160 mètres de profondeur) tournaient en boucle toute la journée dans les journaux télévisés. On y voyait des pontons soudain rendus inutiles par l’absence d’eau, tandis que sur les rives, d’ordinaire plus étroites, des promeneurs perplexes déambulaient comme le long d’une plage à marée basse.

Si une solution n’est pas trouvée d’ici au vendredi 28 juillet, 1,5 million de Romains risquent d’être concernés par des coupures d’eau, qui pourraient durer jusqu’à huit heures par jour. D’ici là, la pression des robinets a été réduite, ce qui pourrait provoquer des ruptures d’alimentation dans des quartiers résidentiels comme Parioli ou Monte Mario, situés en hauteur.

Dans ces zones et dans plusieurs quartiers périphériques de la ville, qui risquent d’être les premiers à faire les frais du rationnement, les habitants se sont rués vers les supermarchés pour acheter le plus possible d’eau minérale, afin de pallier l’éventualité d’une coupure générale. Et une course contre la montre s’est engagée pour trouver au plus vite des solutions permettant d’éviter un rationnement jugé « exagéré » par Nicola Zingaretti.

L’heure est grave, et les commerçants comme les hôteliers ont multiplié les alarmes, ces derniers jours, soulignant les dommages incalculables que causerait un arrêt, même partiel, de la fourniture d’eau.

Mardi 25, la maire de Rome, Virginia Raggi (Mouvement 5 étoiles) devait réunir tous les interlocuteurs au Capitole, dans le but d’éviter d’en venir au rationnement. Aucun effort d’économie ne sera négligé. Lundi, le Vatican a même fait savoir que toutes ses fontaines allaient être fermées jusqu’à nouvel ordre.

Selon le quotidien La Repubblica, la ville connaîtrait sa sécheresse la plus grave depuis 200 ans. Le syndicat agricole Coldirelli estime le déficit de précipitations à 72 % en juillet, par rapport à la même période de 2016, mais aussi à 74 % en juin, et 56 % en avril et mai. Depuis décembre 2016, dans le Latium, 250 mm de précipitations sont tombés, contre une moyenne de 420 mm sur la même période durant les vingt-cinq dernières années.

Au-delà du cas de Rome et de sa région, une bonne moitié de l’Italie est touchée. Deux tiers des terres cultivables du pays seraient soumises à un régime de restrictions d’eau, dix gouverneurs, de la Vénétie aux îles de la Méditerranée, ont déjà demandé le placement de leur région en état de catastrophe naturelle ou s’apprêtent à le faire. La sécheresse risque en effet d’avoir des conséquences désastreuses sur les rendements agricoles, du lait des Marches aux vignobles du Nord-Est.

Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que le pays soit ravagé, depuis plusieurs semaines, par d’innombrables feux de forêt, de la province de Trapani, en Sicile, aux environs immédiats de Rome, en passant par les pentes du Vésuve.

Si la conjoncture météorologique est l’explication première de l’état critique de la distribution d’eau à Rome, l’affaire n’en a pas moins pris ces derniers jours un tour politique, les responsables se renvoyant la responsabilité de l’état calamiteux du réseau hydraulique.

Diminution de la demande

A cet égard, un chiffre est particulièrement éclairant : plus de 44 % de l’eau empruntant le réseau romain n’arrive pas à destination. Un résultat catastrophique, à comparer avec les données milanaises : dans la capitale lombarde, le taux de déperdition n’est que d’un peu plus de 16 %.

Détenue à 51 % par la commune de Rome, qui cherchait avant tout ces dernières années à en tirer le plus de dividendes possible pour combler un déficit abyssal (plus de 15 milliards d’euros de dettes), l’ACEA n’a même pas initié une réflexion sur l’amélioration de la tuyauterie, qui pourrait pourtant permettre d’importantes économies. Une erreur partagée par toutes les équipes qui se sont succédé au Capitole et qu’il serait malhonnête d’attribuer à la seule Virginia Raggi, arrivée aux commandes de la ville à l’été 2016.

L’élue grilliniste a, en revanche, tardé à prendre la mesure de la catastrophe : Sabrina Anselmo, maire d’Anguillara, une des trois communes lacustres des bords du lac de Bracciano, et issue, comme Virginia Raggi, du Mouvement 5 étoiles, a confié lundi à La Stampa qu’elle avait alerté sa collègue romaine à plusieurs reprises, et que celle-ci ne s’était jamais déplacée pour participer aux réunions sur le devenir du lac.

Dans ce contexte très tendu, et alors que rien n’indique un changement de temps dans les prochains jours, le seul allié des décideurs municipaux semble bien être le calendrier : fin juillet, comme tous les ans, Rome sera désertée pour cause de vacances, ce qui aura pour effet de diminuer la demande. Comme si la seule solution permettant, à court terme, de préserver l’alimentation en eau des Romains était la perspective du départ d’une bonne partie de ses habitants.
 

Source : Le Monde
Crédit : MASSIMO PERCOSSO / AP

Sur la rive du lac de Bracciano au nord-ouest de Rome, le 23 juillet.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Du 1er juin au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Pour sa 25ème édition, en famille, découvrez des jardins ludiques et interactifs pensés pour reconnecter les enfants à la nature et développer leurs sens. Une porte d’entrée sur le rêve et l’imaginaire. Bien plus qu’un jardin, une expérience.

 Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 24 mai

"NUIT DU JEU À LA GROTTE !"

Une soirée pour petits et grands autour de jeux de société et de plateau dans une ambiance festive ! De 18h00 à 22h30. Adulte : 12 € - Enfant : 7 € - Gratuit pour les moins de 6 ans.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


42 - Loire

Le 30 avril 

ATELIER ENFANT
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES, SPÉCIAL PÂQUES !"

Dans la tradition amérindienne, les attrape-rêves servent à éloigner les cauchemars et rendre nos nuits plus paisibles. Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème de Pâques !
Tarif : 5 € par enfant, gratuit pour les accompagnateurs. Dès 3 ans. Réservation obligatoire

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


56 - Morbihan

Le 30 mai

"ALIMENTATION À LA PRÉHISTOIRE"

Que mangeait-on et que buvait-on à la Préhistoire ? Pour le découvrir, le musée de Préhistoire de Carnac vous invite à une journée spéciale consacrée à l’alimentation à la fin de la Préhistoire et au début de l’Âge du Bronze. Pour l’occasion, Noémie Ledouble, médiatrice du patrimoine et expérimentatrice en archéologie de l’alimentation vous présentera une technique de brassage de la bière.

Musée de Préhistoire
Place Christian Bonnet
56340 CARNAC
02 97 52 66 36
www.museedecarnac.com


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


Le 17 mai

"21E ÉDITION DE LA NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉES"
MUSÉE MANDET & MUSÉE RÉGIONAL D’AUVERGNE 

Cette soirée exceptionnelle sera l’occasion de porter un regard neuf sur les collections et les expositions temporaires. Spectacle de magie avec la Compagnie de la Lanterne Magique, fresque participative avec l’artiste Iggy, visites à la lampe torche, ateliers et lancement de la toute nouvelle exposition du Musée régional d’Auvergne sauront ravir petits et grands.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Du 1er mai au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Jusqu'au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Du 13 mai au 3 juin 

LE CABINET DE CURIOSITÉ(S) NOMADE PAR LE MUSÉUM REQUIEN

Le « cabinet de curiosité(s) nomade » conçu par le muséum Requien pour Terre de Culture 2025 poursuit son voyage, et fait halte au musée Vouland. Son contenu propose des correspondances entre les collections des deux musées, et des échos avec le jardin du musée Vouland qui attisent la curiosité !

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel


95 - Val d'Oise

Les 3 & 5 mai

"FÊTE DES PLANTES"
CHÂTEAU DE LA ROCHE-GUYON

Pour cette nouvelle édition, la "Fête des plantes" proposera des solutions raisonnées pour arroser les jardins face au changement climatique et fera découvrir au public un florilège de jus, infusions et autres liqueurs issus de fruits et de végétaux. Au programme : rencontre avec des pépiniéristes, conférences, ateliers et animations autour du thème "Le jardin se boit".
Tarif : 8 €, gratuit pour les moins de 18 ans.

Château de La Roche-Guyon
1 rue de l’Audience
95780 La Roche-Guyon
01 34 79 74 42
www.chateaudelarocheguyon.fr

Lieux:

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