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Rapport sur la biodiversité : un million d'espèces menacées d'extinction
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Rapport sur la biodiversité : un million d'espèces menacées d'extinction

Environ un million d’espèces animales et végétales sont déjà menacées d’extinction, et beaucoup pourraient disparaître “dans les prochaines décennies”, selon un rapport de l’ONU. Et les choses devraient même empirer si des “changements profonds” de société ne sont pas engagés au plus vite.

Ce texte du groupe d’experts de l’ONU sur la biodiversité (IPBES) publié lundi 6 mai souligne que le chemin vers la restauration des écosystèmes dégradés par l’Homme passe par une réforme du système agro-alimentaire et changements des modèles de production et de consommation.

Une alerte qui rappelle les nombreuses portant sur le réchauffement climatique,  surnommé le “Giec de la biodiversité”, L’IPBES était réuni à Paris depuis une semaine. La France figure d’ailleurs parmi les 10 pays les plus menacés. Emmanuel Macron devait rencontrer dans l’après-midi des scientifiques de l’organisation afin de faire le point sur la situation.

75% de l’environnement terrestre “gravement altéré”

Dans ce rapport sans précédent, les scientifiques peignent un tableau sombre de l’avenir de l’être humain qui dépend de la nature pour boire, respirer, manger, se chauffer ou se soigner.

“Nous sommes en train d’éroder les fondements mêmes de nos économies, nos moyens de subsistance, la sécurité alimentaire, la santé et la qualité de vie dans le monde entier”, décrit Robert Watson, président de l’IPBES.

Déforestation, agriculture intensive, surpêche, urbanisation galopante, mines: 75% de l’environnement terrestre a été “gravement altéré” par les activités humaines et 66% de l’environnement marin est également touché.

Résultat: environ un million d’espèces animales et végétales sur les quelque 8 millions estimées sur Terre, sont menacées d’extinction, dont “beaucoup dans les prochaines décennies”.

Un constat en accord avec ce que de nombreux scientifiques décrivent depuis des années: le début de la 6e “extinction de masse” ― non mentionnée dans le rapport ― et la première dont l’Homme est responsable.

Mais aussi “la première qui pourrait être stoppée si nous agissons de manière décisive maintenant”, note Mark Tercek, président de l’ONG Nature Conservancy.

“Il n’est pas trop tard pour agir, mais seulement si nous commençons à le faire maintenant” et via un “changement transformateur” de notre société pour ralentir les “moteurs” de la perte de biodiversité qui menace l’Homme au moins autant que le changement climatique, estime également Robert Watson.

Cinq coupables

Les cinq principaux coupables sont clairement identifiés dans le texte sur lequel ont travaillé 450 experts pendant trois ans: dans l’ordre, l’utilisation des terres (agriculture, déforestation), l’exploitation directe des ressources (pêche, chasse), le changement climatique, les pollutions et les espèces invasives.

Mais même si l’accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement à maximum +2°C est respecté, le changement climatique pourrait grimper au classement, tout en aggravant les autres facteurs.

Heureusement, certaines actions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre pourraient aussi entraîner des effets bénéfiques directs sur la nature, permettant peut-être de sortir de ce cercle vicieux.

Première cible: le système agro-alimentaire. Nourrir 10 milliards de personnes en 2050 de façon “durable” implique une transformation de la production agricole (agro-écologie, meilleure gestion de l’eau) mais aussi des habitudes de consommation (régime alimentaire, gaspillage), souligne le rapport.

“Nous saluons l’appel à un changement des régimes alimentaires, vers une nourriture plus basée sur les végétaux pour réduire la consommation de viande et de produits laitiers qui a des impacts négatifs bien connus sur la biodiversité, le changement climatique et la santé humaine”, a commenté Eric Darier, de Greenpeace.

La synthèse adoptée par les délégations samedi n’appelle pas directement à manger moins de viande, la formulation ayant été affaiblie depuis la version préliminaire obtenue par l’AFP. Un signe probable de l’hostilité de certains pays producteurs de viande.

“Des changements profonds peuvent entraîner une opposition de la part de ceux qui ont des intérêts directs au statu quo, mais une telle opposition peut être surmontée pour l’intérêt général”, commente Robert Watson.

“Nous ne voulons pas seulement survivre”

Mais alors que ce rapport évoque des pistes, sans être prescriptif, reste à savoir si les Etats membres de la Convention de l’ONU sur la diversité biologique (COP15) se fixeront lors de leur réunion en Chine l’an prochain les objectifs ambitieux espérés par les défenseurs de l’environnement pour une planète durable en 2050.

Le rapport de l’IPBES évoque d’autres outils à disposition des gouvernements pour améliorer la “durabilité” du système économique, comme des quotas de pêche “efficaces” ou une réforme des aides publiques et de la fiscalité. Il évoque même la nécessité de s’éloigner du dogme de la croissance.

“Il s’agit de considérer la qualité de vie et non la croissance économique comme objectif”, indique à l’AFP l’un des principaux auteurs, Eduardo Brundizio.

Alors que l’Homme dépend de la nature pour vivre, est-il pour autant condamné à l’extinction ?

“Probablement pas”, et certainement pas à court terme, répond un des autres auteurs Josef Settele. Mais “nous ne voulons pas seulement survivre. C’est tout l’enjeu de ce rapport”, tempère Eduardo Brundizio, insistant à nouveau sur la “qualité de vie”.

Qualité qui risque de se dégrader encore plus pour les plus pauvres de la planète, note le rapport, et pour les régions abritant les peuples autochtones très dépendants de la nature.

Ces derniers sont parvenus par leurs savoirs ―intégrés et reconnus pour la première fois à ce niveau― à limiter ce déclin de la biodiversité, qui toutefois se trouve “sous une pression de plus en plus importante”.


Source : HuffPost
Crédit : Amith Nag Photography via Getty Images

D'après le rapport du groupe d’experts de l’ONU sur la biodiversité, une espèce animale ou végétale sur huit est menacée de disparition à brève échéance.

Rapport sur la biodiversité : un million d'espèces menacées d'extinction Actualités

Rapport sur la biodiversité : un million d'espèces menacées d'extinction

Environ un million d’espèces animales et végétales sont déjà menacées d’extinction, et beaucoup pourraient disparaître “dans les prochaines décennies”, selon un rapport de l’ONU. Et les choses devraient même empirer si des “changements profonds” de société ne sont pas engagés au plus vite.

Ce texte du groupe d’experts de l’ONU sur la biodiversité (IPBES) publié lundi 6 mai souligne que le chemin vers la restauration des écosystèmes dégradés par l’Homme passe par une réforme du système agro-alimentaire et changements des modèles de production et de consommation.

Une alerte qui rappelle les nombreuses portant sur le réchauffement climatique,  surnommé le “Giec de la biodiversité”, L’IPBES était réuni à Paris depuis une semaine. La France figure d’ailleurs parmi les 10 pays les plus menacés. Emmanuel Macron devait rencontrer dans l’après-midi des scientifiques de l’organisation afin de faire le point sur la situation.

75% de l’environnement terrestre “gravement altéré”

Dans ce rapport sans précédent, les scientifiques peignent un tableau sombre de l’avenir de l’être humain qui dépend de la nature pour boire, respirer, manger, se chauffer ou se soigner.

“Nous sommes en train d’éroder les fondements mêmes de nos économies, nos moyens de subsistance, la sécurité alimentaire, la santé et la qualité de vie dans le monde entier”, décrit Robert Watson, président de l’IPBES.

Déforestation, agriculture intensive, surpêche, urbanisation galopante, mines: 75% de l’environnement terrestre a été “gravement altéré” par les activités humaines et 66% de l’environnement marin est également touché.

Résultat: environ un million d’espèces animales et végétales sur les quelque 8 millions estimées sur Terre, sont menacées d’extinction, dont “beaucoup dans les prochaines décennies”.

Un constat en accord avec ce que de nombreux scientifiques décrivent depuis des années: le début de la 6e “extinction de masse” ― non mentionnée dans le rapport ― et la première dont l’Homme est responsable.

Mais aussi “la première qui pourrait être stoppée si nous agissons de manière décisive maintenant”, note Mark Tercek, président de l’ONG Nature Conservancy.

“Il n’est pas trop tard pour agir, mais seulement si nous commençons à le faire maintenant” et via un “changement transformateur” de notre société pour ralentir les “moteurs” de la perte de biodiversité qui menace l’Homme au moins autant que le changement climatique, estime également Robert Watson.

Cinq coupables

Les cinq principaux coupables sont clairement identifiés dans le texte sur lequel ont travaillé 450 experts pendant trois ans: dans l’ordre, l’utilisation des terres (agriculture, déforestation), l’exploitation directe des ressources (pêche, chasse), le changement climatique, les pollutions et les espèces invasives.

Mais même si l’accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement à maximum +2°C est respecté, le changement climatique pourrait grimper au classement, tout en aggravant les autres facteurs.

Heureusement, certaines actions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre pourraient aussi entraîner des effets bénéfiques directs sur la nature, permettant peut-être de sortir de ce cercle vicieux.

Première cible: le système agro-alimentaire. Nourrir 10 milliards de personnes en 2050 de façon “durable” implique une transformation de la production agricole (agro-écologie, meilleure gestion de l’eau) mais aussi des habitudes de consommation (régime alimentaire, gaspillage), souligne le rapport.

“Nous saluons l’appel à un changement des régimes alimentaires, vers une nourriture plus basée sur les végétaux pour réduire la consommation de viande et de produits laitiers qui a des impacts négatifs bien connus sur la biodiversité, le changement climatique et la santé humaine”, a commenté Eric Darier, de Greenpeace.

La synthèse adoptée par les délégations samedi n’appelle pas directement à manger moins de viande, la formulation ayant été affaiblie depuis la version préliminaire obtenue par l’AFP. Un signe probable de l’hostilité de certains pays producteurs de viande.

“Des changements profonds peuvent entraîner une opposition de la part de ceux qui ont des intérêts directs au statu quo, mais une telle opposition peut être surmontée pour l’intérêt général”, commente Robert Watson.

“Nous ne voulons pas seulement survivre”

Mais alors que ce rapport évoque des pistes, sans être prescriptif, reste à savoir si les Etats membres de la Convention de l’ONU sur la diversité biologique (COP15) se fixeront lors de leur réunion en Chine l’an prochain les objectifs ambitieux espérés par les défenseurs de l’environnement pour une planète durable en 2050.

Le rapport de l’IPBES évoque d’autres outils à disposition des gouvernements pour améliorer la “durabilité” du système économique, comme des quotas de pêche “efficaces” ou une réforme des aides publiques et de la fiscalité. Il évoque même la nécessité de s’éloigner du dogme de la croissance.

“Il s’agit de considérer la qualité de vie et non la croissance économique comme objectif”, indique à l’AFP l’un des principaux auteurs, Eduardo Brundizio.

Alors que l’Homme dépend de la nature pour vivre, est-il pour autant condamné à l’extinction ?

“Probablement pas”, et certainement pas à court terme, répond un des autres auteurs Josef Settele. Mais “nous ne voulons pas seulement survivre. C’est tout l’enjeu de ce rapport”, tempère Eduardo Brundizio, insistant à nouveau sur la “qualité de vie”.

Qualité qui risque de se dégrader encore plus pour les plus pauvres de la planète, note le rapport, et pour les régions abritant les peuples autochtones très dépendants de la nature.

Ces derniers sont parvenus par leurs savoirs ―intégrés et reconnus pour la première fois à ce niveau― à limiter ce déclin de la biodiversité, qui toutefois se trouve “sous une pression de plus en plus importante”.


Source : HuffPost
Crédit : Amith Nag Photography via Getty Images

D'après le rapport du groupe d’experts de l’ONU sur la biodiversité, une espèce animale ou végétale sur huit est menacée de disparition à brève échéance.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Le 14 mars

"LA NUIT DE LA CHOUETTE"

Depuis près de 30 ans, la Nuit de la Chouette vous invite à découvrir les rapaces nocturnes et leur environnement. La LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) et la Saline royale, refuge LPO vous convie à une belle soirée dédiée à nos compagnons de vie nocturne. Événement gratuit sur réservation, le vendredi 14 mars de 18h15 à 21h00. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


26 - Drôme

Le 29 mars

ATELIER VANNERIE SAUVAGE 

Découvrez l'art de la vannerie sauvage lors de notre session d'initiation animée par Christine Larat-Lini. Vannerie aléatoire à base de ronces, clématite et elaeagnus. 
Places limitées à 6. Tarif : aterier + visite du jardin 25 €. Matériel fourni. Réservation : boutique-erikborja.fr  

Jardin Zen d’Erik Borja
26600 Beaumont-Monteux
04 75 07 32 27 
www.erikborja.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


52 - Haute-Marne

Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Du 9 avril au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 22 mars au 4 avril

EXPOSITION
"CLUB DE PEINTURE DE BARLIN"

Au Musée Municipal Bruno Danvin, le Club de peinture de Barlin, animé par Laetitia Morez, expose 9 artistes (peinture, pastel, acrylique...).

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy-de-Dôme

Du 15 mars au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Du 31 mars au 6 avril

MUSÉE LALIQUE
"JOURNÉES EUROPÉENNES DES MÉTIERS D’ART"

Le Musée Lalique propose des démonstrations par des personnes travaillant à la cristallerie, personnalisation d’objets achetés en boutique via une petite gravure et un jeu inédit pour tenter de gagner une visite de la manufacture ! Un atelier satinage à partir de 7 ans les 5 et 6 avril. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


75 - Paris

Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Le 19 mars 

EXPOSITION
"UN MUSÉE, UN JARDIN"

Une invitation à découvrir le lieu, le musée, son histoire et ses collections d’arts décoratifs, avec des focus sur quelques objets. Mais aussi, le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Mercredi 19 mars 2025 à 17h30.  

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'à mars 2026

EXPOSITION
"LES VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert donne un aperçu de son héritage à travers sa collection privée sur le thème du voyage. L'exposition présente cartographies et livres de voyage du XVIe au XVIII siècles, les peintures de Pierre Beppi-Martin et Charles Martel, ainsi que les photographies de Mohamed Mahdy et Clément Chapillon.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com

Lieux:

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