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Quand la Namibie recycle ses eaux
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Quand la Namibie recycle ses eaux

Nous sommes dans une situation d’urgence permanente. En décembre 2016, la sécheresse était telle que l’on craignait de ne plus avoir d’eau du tout en mai 2017, mais, finalement, il a plu », explique Thomas Honer, directeur de l’usine Windhoek Goreangab Operating Company (Wingoc), dont la devise « A Windhoek, chaque goutte d’eau compte » est sans équivoque.

Enserrée entre les déserts du Namib et du Kalahari, la Namibie est le pays le plus aride d’Afrique australe. Avec une moyenne de précipitations de 250 millimètres par an, et seulement 1 % d’infiltration dans le sol, la question de l’eau a toujours été au cœur de la survie de la capitale, dont la rivière la plus proche est située à 600 kilomètres et la côte atlantique à près de 300 kilomètres. Pour répondre à une situation de stress hydrique permanent, la ville, approvisionnée par trois barrages dont la capacité n’était pas suffisante, a été la première au monde à recycler ses eaux usées pour produire de l’eau potable. Une solution deux fois moins chère que l’option de désalinisation de l’eau de mer.

Depuis 2002, Wingoc gère, pour le consortium formé par les multinationales française et indienne Veolia (67 %) et VA Tech Wabag (33 %), le recyclage des eaux usées de la ville et lui fournit aujourd’hui près d’un tiers de son eau potable.

Le défi est de taille. A Windhoek, impossible de connaître le nombre d’habitants exact, le dernier recensement de 2011 comptabilisait quelque 300 000 âmes, une estimation passée à plus de 400 000 aujourd’hui. Avec sa démographie galopante, la petite capitale a progressivement vu son paysage lunaire grignoté par des kilomètres de townships. « Il y a quelques années, il n’y avait rien ici, maintenant les habitations informelles s’étalent à perte de vue et au-delà des collines », constate Siegfried Muller, directeur technique de Wingoc.
A l’indépendance de la Namibie en 1990, la population rurale a afflué vers la capitale, dont elle était chassée par le régime d’apartheid sud-africain qui en avait la tutelle. Alors, il a fallu vite trouver des solutions pour donner à boire aux nouveaux arrivants. La première station de recyclage des eaux usées a été remplacée par une nouvelle en 2002.

Pour éliminer tout risque sanitaire, l’usine emploie une technologie de pointe « à barrières multiples », reproduisant le cycle de naturel de l’eau à travers plusieurs étapes : pré-ozonation, coagulation / floculation, flottation, filtration sur sable, ozonation, filtration, adsorption sur charbon actif, ultrafiltration et chloration. De la réception des eaux usées de la station d’épuration à la sortie de station de recyclage, il faut compter une dizaine d’heures. Avant son arrivée dans les robinets des Windhoekiens, l’eau est mélangée (jusqu’à 30 %) aux autres sources d’approvisionnement en eau de la ville.

Désormais indispensable, cette eau recyclée a permis l’installation, dans les townships, de nouveaux points de distribution et de sanitaires. A Goreangab, chaque famille possède une clé pour actionner le robinet de son secteur, et une autre pour accéder aux sanitaires. En plus de l’amélioration du niveau de santé des habitants, ces aménagements ont apporté de la sécurité aux plus vulnérables. Blessy, jeune écolière de 12 ans, est maintenant rassurée : « Avant, je devais aller dans les buissons un peu éloignés de la maison, les gens me regardaient et j’avais peur. Maintenant, j’ai mon intimité », confie-t-elle, timidement, sous le regard de sa petite sœur qui acquiesce à son tour.

"La confiance est la plus difficile à gagner. Il ne suffit pas d’arriver avec les équipements de pointe pour rassurer les consommateurs"

Malgré un procédé de recyclage éprouvé depuis plus de cinquante ans, et une qualité de l’eau répondant à tous les critères établis par l’OMS, une partie de la population reste méfiante et peine à faire confiance à cette eau recyclée. « Le stigmate de l’eau impure persiste. Certains craignent pour leur santé et refusent de boire une eau en partie issue de leurs eaux usées sans l’avoir préalablement bouillie », explique Marshall, un étudiant de 23 ans, habitant à Windhoek. Pour le maire de la capitale, « 90 % des habitants la consomment, et pour que ça continue, les campagnes d’information restent indispensables. »

Un constat partagé par Patrice Fonlladosa, président Afrique-Moyen Orient de Veolia : « La confiance est la plus difficile à gagner. Il ne suffit pas d’arriver avec les équipements de pointe pour rassurer les consommateurs. Pour les convaincre il faut du temps et de la pédagogie, les barrières mentales sont les plus dures à dépasser. » Ainsi, en Arabie saoudite, où la question de l’eau devient cruciale pour la cadence de développement du pays, le sujet est difficile à aborder. Récemment des fatwas ont permis l’utilisation des eaux usées recyclées pour l’arrosage des espaces publics. « C’est un premier pas, mais, pour aller plus loin que ça, il faudra du temps », poursuit-il.

"Les ressources se raréfient, mais il faudra attendre que les municipalités n’aient plus d’autre choix que de recycler leurs eaux usées pour satisfaire la demande d’eau potable"

Le modèle de réhabilitation des eaux usées de Windhoek attire de plus en plus de visiteurs. Le président du Botswana et plusieurs délégations officielles du pays, qui envisageraient l’installation d’une station similaire dans leur pays, sont venus découvrir l’usine de Wingoc en 2018. Au Cap, en Afrique du Sud, la pénurie d’eau a été si aiguë en avril dernier que le maire redoutait un « jour zéro » – un arrêt de l’approvisionnement. Il dit vouloir s’inspirer de son voisin namibien depuis des années… même si les intentions n’ont pour le moment pas encore été suivies d’actes concrets.

« Les ressources se raréfient, mais il faudra attendre que les municipalités ou les pays soient dans des situations de stress hydrique telles qu’ils n’aient plus d’autre choix que de recycler leurs eaux usées pour satisfaire la demande d’eau potable », explique Martine Vullierme, directrice adjointe de Veolia Afrique et Moyen-Orient. La capitale namibienne envisage aujourd’hui la mise en place d’une deuxième usine de recyclage de ses eaux usées, pour assurer l’accès de l’eau potable à tous et à moindre coût. En Afrique et ailleurs, beaucoup pourraient s’inspirer de ce modèle responsable, avant que l’eau devienne synonyme de rareté.


Source : Paris Match
Crédit : DR

Une des premières étapes de filtration. La couleur de l’eau est due aux additifs chimiques.

Quand la Namibie recycle ses eaux Actualités

Quand la Namibie recycle ses eaux

Nous sommes dans une situation d’urgence permanente. En décembre 2016, la sécheresse était telle que l’on craignait de ne plus avoir d’eau du tout en mai 2017, mais, finalement, il a plu », explique Thomas Honer, directeur de l’usine Windhoek Goreangab Operating Company (Wingoc), dont la devise « A Windhoek, chaque goutte d’eau compte » est sans équivoque.

Enserrée entre les déserts du Namib et du Kalahari, la Namibie est le pays le plus aride d’Afrique australe. Avec une moyenne de précipitations de 250 millimètres par an, et seulement 1 % d’infiltration dans le sol, la question de l’eau a toujours été au cœur de la survie de la capitale, dont la rivière la plus proche est située à 600 kilomètres et la côte atlantique à près de 300 kilomètres. Pour répondre à une situation de stress hydrique permanent, la ville, approvisionnée par trois barrages dont la capacité n’était pas suffisante, a été la première au monde à recycler ses eaux usées pour produire de l’eau potable. Une solution deux fois moins chère que l’option de désalinisation de l’eau de mer.

Depuis 2002, Wingoc gère, pour le consortium formé par les multinationales française et indienne Veolia (67 %) et VA Tech Wabag (33 %), le recyclage des eaux usées de la ville et lui fournit aujourd’hui près d’un tiers de son eau potable.

Le défi est de taille. A Windhoek, impossible de connaître le nombre d’habitants exact, le dernier recensement de 2011 comptabilisait quelque 300 000 âmes, une estimation passée à plus de 400 000 aujourd’hui. Avec sa démographie galopante, la petite capitale a progressivement vu son paysage lunaire grignoté par des kilomètres de townships. « Il y a quelques années, il n’y avait rien ici, maintenant les habitations informelles s’étalent à perte de vue et au-delà des collines », constate Siegfried Muller, directeur technique de Wingoc.
A l’indépendance de la Namibie en 1990, la population rurale a afflué vers la capitale, dont elle était chassée par le régime d’apartheid sud-africain qui en avait la tutelle. Alors, il a fallu vite trouver des solutions pour donner à boire aux nouveaux arrivants. La première station de recyclage des eaux usées a été remplacée par une nouvelle en 2002.

Pour éliminer tout risque sanitaire, l’usine emploie une technologie de pointe « à barrières multiples », reproduisant le cycle de naturel de l’eau à travers plusieurs étapes : pré-ozonation, coagulation / floculation, flottation, filtration sur sable, ozonation, filtration, adsorption sur charbon actif, ultrafiltration et chloration. De la réception des eaux usées de la station d’épuration à la sortie de station de recyclage, il faut compter une dizaine d’heures. Avant son arrivée dans les robinets des Windhoekiens, l’eau est mélangée (jusqu’à 30 %) aux autres sources d’approvisionnement en eau de la ville.

Désormais indispensable, cette eau recyclée a permis l’installation, dans les townships, de nouveaux points de distribution et de sanitaires. A Goreangab, chaque famille possède une clé pour actionner le robinet de son secteur, et une autre pour accéder aux sanitaires. En plus de l’amélioration du niveau de santé des habitants, ces aménagements ont apporté de la sécurité aux plus vulnérables. Blessy, jeune écolière de 12 ans, est maintenant rassurée : « Avant, je devais aller dans les buissons un peu éloignés de la maison, les gens me regardaient et j’avais peur. Maintenant, j’ai mon intimité », confie-t-elle, timidement, sous le regard de sa petite sœur qui acquiesce à son tour.

"La confiance est la plus difficile à gagner. Il ne suffit pas d’arriver avec les équipements de pointe pour rassurer les consommateurs"

Malgré un procédé de recyclage éprouvé depuis plus de cinquante ans, et une qualité de l’eau répondant à tous les critères établis par l’OMS, une partie de la population reste méfiante et peine à faire confiance à cette eau recyclée. « Le stigmate de l’eau impure persiste. Certains craignent pour leur santé et refusent de boire une eau en partie issue de leurs eaux usées sans l’avoir préalablement bouillie », explique Marshall, un étudiant de 23 ans, habitant à Windhoek. Pour le maire de la capitale, « 90 % des habitants la consomment, et pour que ça continue, les campagnes d’information restent indispensables. »

Un constat partagé par Patrice Fonlladosa, président Afrique-Moyen Orient de Veolia : « La confiance est la plus difficile à gagner. Il ne suffit pas d’arriver avec les équipements de pointe pour rassurer les consommateurs. Pour les convaincre il faut du temps et de la pédagogie, les barrières mentales sont les plus dures à dépasser. » Ainsi, en Arabie saoudite, où la question de l’eau devient cruciale pour la cadence de développement du pays, le sujet est difficile à aborder. Récemment des fatwas ont permis l’utilisation des eaux usées recyclées pour l’arrosage des espaces publics. « C’est un premier pas, mais, pour aller plus loin que ça, il faudra du temps », poursuit-il.

"Les ressources se raréfient, mais il faudra attendre que les municipalités n’aient plus d’autre choix que de recycler leurs eaux usées pour satisfaire la demande d’eau potable"

Le modèle de réhabilitation des eaux usées de Windhoek attire de plus en plus de visiteurs. Le président du Botswana et plusieurs délégations officielles du pays, qui envisageraient l’installation d’une station similaire dans leur pays, sont venus découvrir l’usine de Wingoc en 2018. Au Cap, en Afrique du Sud, la pénurie d’eau a été si aiguë en avril dernier que le maire redoutait un « jour zéro » – un arrêt de l’approvisionnement. Il dit vouloir s’inspirer de son voisin namibien depuis des années… même si les intentions n’ont pour le moment pas encore été suivies d’actes concrets.

« Les ressources se raréfient, mais il faudra attendre que les municipalités ou les pays soient dans des situations de stress hydrique telles qu’ils n’aient plus d’autre choix que de recycler leurs eaux usées pour satisfaire la demande d’eau potable », explique Martine Vullierme, directrice adjointe de Veolia Afrique et Moyen-Orient. La capitale namibienne envisage aujourd’hui la mise en place d’une deuxième usine de recyclage de ses eaux usées, pour assurer l’accès de l’eau potable à tous et à moindre coût. En Afrique et ailleurs, beaucoup pourraient s’inspirer de ce modèle responsable, avant que l’eau devienne synonyme de rareté.


Source : Paris Match
Crédit : DR

Une des premières étapes de filtration. La couleur de l’eau est due aux additifs chimiques.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Les 28 février & 6 mars

SPÉCIAL CARNAVAL
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES"

Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème du Carnaval ! Tu pourras le rapporter chez toi et l’utiliser pour éloigner les mauvais rêves !
Vendredi 28 février et jeudi 6 mars à 14h30. Dès 3 ans. Tarif : 5 €. Réservation obligatoire.

Musée du tissage et de la soierie
125 place Vaucansonp
42510 Bussières
04 77 27 33 95 
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 8 mars

EXPOSITION
"PEINTURES DE JEAN-PAUL ROUX "

Le musée reçoit Jean-Paul Roux. L’artiste peint depuis une trentaine d’années à l’huile et au couteau associant grattages, aplats et couleurs avec la volonté d’épurer le sujet pour ne garder que l’essentiel.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Le 28 février

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"LA VIE AUTOUR DES ARBRES"

Venez découvrir les arbres et leurs habitants. Lors de cette animation vous aurez l’occasion de (re)connaître les indices de présence laissés par les animaux qui vivent dans les arbres, la notion d’écosystème et l’importance d’une forêt diversifiée. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


Le 6 mars

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"BALADE NATURALISTE À LA FORÊT DE LA GENÊTE"

C’est l’hiver, les branches des arbres sont nues. Mais les animaux de la forêt n’ont pas déserté. Arpentons la forêt de la Genête à la recherche de terriers de blaireaux. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


75 - Paris

Le 15 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"APPRENTIS STRATÈGES"
Pour revivre le siège de Toulon en 1793, aux côtés de Napoléon, grâce au plan-relief de la ville et à un jeu de stratégie grâce à une grande carte tirée des archives du musée. De 8 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Le 19 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"CONSTRUIS TA CITADELLE EN KAPLA"
Pour découvrir les fortifications et construire en famille une citadelle ou un fort en planchettes de bois Kapla. De 6 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com

Lieux:

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