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Nouveau rapport du Giec sur le climat
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Nouveau rapport du Giec sur le climat

D’une crise à l’autre. Alors que la guerre en Ukraine retient l’attention mondiale, les scientifiques du Giec rendent compte ce lundi du second volet de leur rapport sur le réchauffement climatique, validé à la virgule près par 195 États membres. Selon eux, le monde est peu préparé aux conséquences massives et dramatiques de la crise climatique.

Selon le Giec, il y a urgence à mettre en place des digues massives contre les émissions de gaz à effet de serre et la hausse des températures : retarder l’action climatique réduit drastiquement les chances d’un « avenir viable », alors qu’entre 3,3 et 3,6 milliards de personnes sont déjà en situation de forte vulnérabilité face au réchauffement du climat.

« Ce rapport est un terrible avertissement sur les conséquences de l’inaction », prévient Hoesung Lee, le président du Giec, dans un communiqué. Après la sortie en août 2021 d’une première partie consacrée à graver dans le marbre un état des lieux reconnu de tous sur l’augmentation des températures et de la responsabilité humaine, ce nouveau rapport se concentre sur l’évaluation de nos capacités à réagir.

Une impréparation « criminelle »

Les moyens mis en œuvre pour se prémunir des famines, canicules, inondations, incendies et exodes forcés à répétition, générés par la crise climatique, sont dérisoires par rapport à l’ampleur de la menace, conclut l’organisation. Le Giec, qui dépend de l’ONU, emploie 270 chercheurs de 67 pays pour vérifier, recouper et agréger les travaux de recherche du monde entier sur la question climatique. Une machine à sélectionner ce qui est « sûr » d’un point de vue scientifique.

Malgré quelques progrès, les efforts de limitation et d’adaptation au réchauffement climatique sont pour la majorité « fragmentés, à petite échelle ». Nous luttons peu contre les émissions de gaz à effet de serre ; nous construisons peu de barrières pour contrer leurs effets. Pire : la trajectoire est mauvaise. L’écart entre les besoins de la population et de la planète et les réponses apportées risque de s’accentuer, à mesure que les températures s’emballent.

« L’abdication » des dirigeants mondiaux est « criminelle », a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, soulignant la « souffrance humaine » face à ce cataclysme. « Perdre du temps, c’est périr », a-t-il lancé, alors qu’au rythme actuel les émissions de CO2 vont continuer d’augmenter de près de 14 % » en 10 ans. Les financements, et les engagements pris pour renforcer l’aide aux pays en développement en matière d’adaptation, sont « clairement insuffisants », a-t-il regretté.

Des impacts déjà « irréversibles »

Or, le réchauffement de la planète a déjà causé des « impacts négatifs à large échelle », dont certains « irréversibles » sur les Hommes et la nature, constatent les scientifiques. Montée des eaux, canicules à répétition, catastrophes naturelles… Tout « retard supplémentaire » dans la lutte contre le changement climatique laissera filer la petite chance d’assurer à l’humanité un « avenir vivable », alors que la moitié de la population mondiale subit déjà la dégradation du climat.

Alors que la planète a gagné en moyenne environ +1,1 °C depuis l’ère pré-industrielle, le monde s’est engagé en 2015 avec l’accord de Paris à limiter le réchauffement bien en deçà de +2 °C, si possible +1,5 °C. Dans le premier volet publié en août 2021, le Giec estimait que le mercure atteindrait ce seuil autour de 2030, dix ans plus tôt qu’escompté. Il laissait toutefois une porte ouverte, évoquant un retour possible sous +1,5 °C d’ici la fin du siècle, si le monde agit à temps.

Les dégâts vont s’intensifier même à +1,5 °C

Le deuxième volet publié ce lundi - avant un troisième début avril sur les solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre - souligne que même un dépassement temporaire de +1,5 °C provoquerait de nouveaux dommages « irréversibles » sur les écosystèmes fragiles comme les pôles, les montagnes et les côtes, avec des effets en cascade sur les communautés qui y vivent.

Les dégâts causés par le changement climatique à la biodiversité vont continuer à « s’intensifier », avec entre 3 et 14 % des espèces terrestres menacées d’extinction, même si le réchauffement est limité à cette température. « Une catastrophe », selon le secrétaire général de l’ONU qui désigne comme coupables » les grands pays émetteurs « qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons ».

1 milliard d’habitants en zone inondable en 2050

Un chiffre illustre et cristallise l’urgence à se préparer : environ un milliard de personnes pourraient vivre d’ici 2050 dans des zones côtières menacées par la montée des eaux et les épisodes de submersions marines lors des tempêtes. Et ceci, même si le monde adopte les mesures de limitation des émissions de gaz à effet de serre les plus ambitieuses.

En termes financiers et dans un scénario modéré d’émissions de gaz à effet de serre, 10 milliards d’infrastructures et d’actifs seraient menacés par les inondations les plus fortes, celles qui surviennent une fois tous les 100 ans, mais qui détruisent tout sur leur passage.

Évacuation brutale ou transfert anticipé, migration choisie ou forcée… Les déplacements des populations victimes des impacts du réchauffement de la planète, des sécheresses à répétition aux cyclones en passant par l’élévation à long terme du niveau de la mer, sont multiformes et vont largement augmenter dans les prochaines années, prévient le Giec.

Des solutions existent, mais toutes ne se valent pas

« Le rapport d’aujourd’hui met en évidence deux vérités fondamentales. La première est que le charbon et les autres combustibles fossiles étouffent l’humanité. La deuxième vérité, un peu plus positive, est que l’investissement dans l’adaptation aux changements climatiques marche. L’adaptation sauve des vies », a résumé le secrétaire général de l’ONU.

Redécouverte de variétés anciennes de cultures agricoles plus résistantes, restauration des mangroves ou construction de digues, plantation d’arbres dans les villes pour créer des couloirs rafraîchis ou climatisation : l’exploration des possibles est urgente, elle n’en est qu’à son balbutiement. Mais donne parfois des frayeurs.

Le Giec met ainsi en garde contre les dangers de mesures qui peuvent être totalement contreproductives, alors que le monde n’a plus aucune marge d’erreur : « Il y a des preuves de plus en plus nombreuses de mal-adaptation dans de nombreux secteurs et régions », statue l’organisme.

Par exemple, construire une digue pour protéger des submersions marines alimentées par la montée du niveau de la mer peut conduire à développer la zone en question pourtant la plus à risque, créant un sentiment erroné de sécurité. Un troisième volet du rapport doit paraître dans les prochains mois et détailler les solutions à mettre en œuvre.


Source : AFP / Le Parisien
Crédit : AFP/Fadel Senna

Sur cette photo d'archive prise le 15 août 2021, un spectateur regarde les feux de forêt qui ravagent une forêt dans la région de Chefchaouen, dans le nord du Maroc.

Nouveau rapport du Giec sur le climat Actualités

Nouveau rapport du Giec sur le climat

D’une crise à l’autre. Alors que la guerre en Ukraine retient l’attention mondiale, les scientifiques du Giec rendent compte ce lundi du second volet de leur rapport sur le réchauffement climatique, validé à la virgule près par 195 États membres. Selon eux, le monde est peu préparé aux conséquences massives et dramatiques de la crise climatique.

Selon le Giec, il y a urgence à mettre en place des digues massives contre les émissions de gaz à effet de serre et la hausse des températures : retarder l’action climatique réduit drastiquement les chances d’un « avenir viable », alors qu’entre 3,3 et 3,6 milliards de personnes sont déjà en situation de forte vulnérabilité face au réchauffement du climat.

« Ce rapport est un terrible avertissement sur les conséquences de l’inaction », prévient Hoesung Lee, le président du Giec, dans un communiqué. Après la sortie en août 2021 d’une première partie consacrée à graver dans le marbre un état des lieux reconnu de tous sur l’augmentation des températures et de la responsabilité humaine, ce nouveau rapport se concentre sur l’évaluation de nos capacités à réagir.

Une impréparation « criminelle »

Les moyens mis en œuvre pour se prémunir des famines, canicules, inondations, incendies et exodes forcés à répétition, générés par la crise climatique, sont dérisoires par rapport à l’ampleur de la menace, conclut l’organisation. Le Giec, qui dépend de l’ONU, emploie 270 chercheurs de 67 pays pour vérifier, recouper et agréger les travaux de recherche du monde entier sur la question climatique. Une machine à sélectionner ce qui est « sûr » d’un point de vue scientifique.

Malgré quelques progrès, les efforts de limitation et d’adaptation au réchauffement climatique sont pour la majorité « fragmentés, à petite échelle ». Nous luttons peu contre les émissions de gaz à effet de serre ; nous construisons peu de barrières pour contrer leurs effets. Pire : la trajectoire est mauvaise. L’écart entre les besoins de la population et de la planète et les réponses apportées risque de s’accentuer, à mesure que les températures s’emballent.

« L’abdication » des dirigeants mondiaux est « criminelle », a déclaré le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, soulignant la « souffrance humaine » face à ce cataclysme. « Perdre du temps, c’est périr », a-t-il lancé, alors qu’au rythme actuel les émissions de CO2 vont continuer d’augmenter de près de 14 % » en 10 ans. Les financements, et les engagements pris pour renforcer l’aide aux pays en développement en matière d’adaptation, sont « clairement insuffisants », a-t-il regretté.

Des impacts déjà « irréversibles »

Or, le réchauffement de la planète a déjà causé des « impacts négatifs à large échelle », dont certains « irréversibles » sur les Hommes et la nature, constatent les scientifiques. Montée des eaux, canicules à répétition, catastrophes naturelles… Tout « retard supplémentaire » dans la lutte contre le changement climatique laissera filer la petite chance d’assurer à l’humanité un « avenir vivable », alors que la moitié de la population mondiale subit déjà la dégradation du climat.

Alors que la planète a gagné en moyenne environ +1,1 °C depuis l’ère pré-industrielle, le monde s’est engagé en 2015 avec l’accord de Paris à limiter le réchauffement bien en deçà de +2 °C, si possible +1,5 °C. Dans le premier volet publié en août 2021, le Giec estimait que le mercure atteindrait ce seuil autour de 2030, dix ans plus tôt qu’escompté. Il laissait toutefois une porte ouverte, évoquant un retour possible sous +1,5 °C d’ici la fin du siècle, si le monde agit à temps.

Les dégâts vont s’intensifier même à +1,5 °C

Le deuxième volet publié ce lundi - avant un troisième début avril sur les solutions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre - souligne que même un dépassement temporaire de +1,5 °C provoquerait de nouveaux dommages « irréversibles » sur les écosystèmes fragiles comme les pôles, les montagnes et les côtes, avec des effets en cascade sur les communautés qui y vivent.

Les dégâts causés par le changement climatique à la biodiversité vont continuer à « s’intensifier », avec entre 3 et 14 % des espèces terrestres menacées d’extinction, même si le réchauffement est limité à cette température. « Une catastrophe », selon le secrétaire général de l’ONU qui désigne comme coupables » les grands pays émetteurs « qui mettent le feu à la seule maison que nous ayons ».

1 milliard d’habitants en zone inondable en 2050

Un chiffre illustre et cristallise l’urgence à se préparer : environ un milliard de personnes pourraient vivre d’ici 2050 dans des zones côtières menacées par la montée des eaux et les épisodes de submersions marines lors des tempêtes. Et ceci, même si le monde adopte les mesures de limitation des émissions de gaz à effet de serre les plus ambitieuses.

En termes financiers et dans un scénario modéré d’émissions de gaz à effet de serre, 10 milliards d’infrastructures et d’actifs seraient menacés par les inondations les plus fortes, celles qui surviennent une fois tous les 100 ans, mais qui détruisent tout sur leur passage.

Évacuation brutale ou transfert anticipé, migration choisie ou forcée… Les déplacements des populations victimes des impacts du réchauffement de la planète, des sécheresses à répétition aux cyclones en passant par l’élévation à long terme du niveau de la mer, sont multiformes et vont largement augmenter dans les prochaines années, prévient le Giec.

Des solutions existent, mais toutes ne se valent pas

« Le rapport d’aujourd’hui met en évidence deux vérités fondamentales. La première est que le charbon et les autres combustibles fossiles étouffent l’humanité. La deuxième vérité, un peu plus positive, est que l’investissement dans l’adaptation aux changements climatiques marche. L’adaptation sauve des vies », a résumé le secrétaire général de l’ONU.

Redécouverte de variétés anciennes de cultures agricoles plus résistantes, restauration des mangroves ou construction de digues, plantation d’arbres dans les villes pour créer des couloirs rafraîchis ou climatisation : l’exploration des possibles est urgente, elle n’en est qu’à son balbutiement. Mais donne parfois des frayeurs.

Le Giec met ainsi en garde contre les dangers de mesures qui peuvent être totalement contreproductives, alors que le monde n’a plus aucune marge d’erreur : « Il y a des preuves de plus en plus nombreuses de mal-adaptation dans de nombreux secteurs et régions », statue l’organisme.

Par exemple, construire une digue pour protéger des submersions marines alimentées par la montée du niveau de la mer peut conduire à développer la zone en question pourtant la plus à risque, créant un sentiment erroné de sécurité. Un troisième volet du rapport doit paraître dans les prochains mois et détailler les solutions à mettre en œuvre.


Source : AFP / Le Parisien
Crédit : AFP/Fadel Senna

Sur cette photo d'archive prise le 15 août 2021, un spectateur regarde les feux de forêt qui ravagent une forêt dans la région de Chefchaouen, dans le nord du Maroc.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Du 1er juin au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Pour sa 25ème édition, en famille, découvrez des jardins ludiques et interactifs pensés pour reconnecter les enfants à la nature et développer leurs sens. Une porte d’entrée sur le rêve et l’imaginaire. Bien plus qu’un jardin, une expérience.

 Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 24 mai

"NUIT DU JEU À LA GROTTE !"

Une soirée pour petits et grands autour de jeux de société et de plateau dans une ambiance festive ! De 18h00 à 22h30. Adulte : 12 € - Enfant : 7 € - Gratuit pour les moins de 6 ans.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


42 - Loire

Le 30 avril 

ATELIER ENFANT
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES, SPÉCIAL PÂQUES !"

Dans la tradition amérindienne, les attrape-rêves servent à éloigner les cauchemars et rendre nos nuits plus paisibles. Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème de Pâques !
Tarif : 5 € par enfant, gratuit pour les accompagnateurs. Dès 3 ans. Réservation obligatoire

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


56 - Morbihan

Le 30 mai

"ALIMENTATION À LA PRÉHISTOIRE"

Que mangeait-on et que buvait-on à la Préhistoire ? Pour le découvrir, le musée de Préhistoire de Carnac vous invite à une journée spéciale consacrée à l’alimentation à la fin de la Préhistoire et au début de l’Âge du Bronze. Pour l’occasion, Noémie Ledouble, médiatrice du patrimoine et expérimentatrice en archéologie de l’alimentation vous présentera une technique de brassage de la bière.

Musée de Préhistoire
Place Christian Bonnet
56340 CARNAC
02 97 52 66 36
www.museedecarnac.com


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


Le 17 mai

"21E ÉDITION DE LA NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉES"
MUSÉE MANDET & MUSÉE RÉGIONAL D’AUVERGNE 

Cette soirée exceptionnelle sera l’occasion de porter un regard neuf sur les collections et les expositions temporaires. Spectacle de magie avec la Compagnie de la Lanterne Magique, fresque participative avec l’artiste Iggy, visites à la lampe torche, ateliers et lancement de la toute nouvelle exposition du Musée régional d’Auvergne sauront ravir petits et grands.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Du 1er mai au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Jusqu'au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Du 13 mai au 3 juin 

LE CABINET DE CURIOSITÉ(S) NOMADE PAR LE MUSÉUM REQUIEN

Le « cabinet de curiosité(s) nomade » conçu par le muséum Requien pour Terre de Culture 2025 poursuit son voyage, et fait halte au musée Vouland. Son contenu propose des correspondances entre les collections des deux musées, et des échos avec le jardin du musée Vouland qui attisent la curiosité !

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel


95 - Val d'Oise

Les 3 & 5 mai

"FÊTE DES PLANTES"
CHÂTEAU DE LA ROCHE-GUYON

Pour cette nouvelle édition, la "Fête des plantes" proposera des solutions raisonnées pour arroser les jardins face au changement climatique et fera découvrir au public un florilège de jus, infusions et autres liqueurs issus de fruits et de végétaux. Au programme : rencontre avec des pépiniéristes, conférences, ateliers et animations autour du thème "Le jardin se boit".
Tarif : 8 €, gratuit pour les moins de 18 ans.

Château de La Roche-Guyon
1 rue de l’Audience
95780 La Roche-Guyon
01 34 79 74 42
www.chateaudelarocheguyon.fr

Lieux:

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