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Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF
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Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF

Le monde a perdu plus des deux-tiers de ses populations d’animaux sauvages en moins de 50 ans, principalement à cause de l’activité humaine, avertit jeudi le Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe les dangers de cet effondrement pour l’avenir de l’humanité.

Moins 52 % en 2014, moins 58 % en 2016, moins 60 % en 2018… Tous les deux ans depuis 1998, l’ONG internationale WWF publie son rapport Planète vivante sur l’état de santé de la planète et les impacts des activités humaines sur celle-ci. L’indicateur principal est l’Indice planète vivante (IPV), que l’ONG calcule avec l’appui de la Société zoologique de Londres.

« Il mesure l’abondance des populations mondiales de vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens, reptiles), détaille Véronique Andrieux, directrice générale de WWF France. Il est calculé à partir de milliers de données sur le suivi scientifique de 21.000 populations de plus de 4.000 espèces de vertébrés sauvages. »

Un déclin qui se poursuit

C’est cet indicateur qui a dégringolé sans discontinuer ces dernières années, et qui dégringole encore dans la 13e édition du rapport que publie WWF ce jeudi. Nous voilà à 68 % de déclin moyen des populations de vertébrés sauvages étudiées entre 1970 et 2016 [date à laquelle remontent les dernières données sur lesquelles s’appuie ce rapport].

Arnaud Gauffier, directeur des programmes du WWF France, invite à ne pas surinterpréter ce chiffre. « Cela ne veut pas dire que nous avons perdu 68 % des animaux de la planète depuis 1970, insiste-t-il. Le chiffre ne porte que sur les populations de vertébrés que nous avons suivies. » Soit une toute petite partie du vivant. « Ensuite, poursuit-il, le nombre d’espèces suivies varie à chaque rapport – celui publié ce jeudi intègre 400 espèces et 4.870 populations de plus que celui de 2018 –, ce dont il faut tenir compte lorsqu’on compare les éditions les unes aux autres. »

Le rapport Planète vivante signale même quelques espèces dont les populations sont en augmentation en France (le vautour moine, le flamant rose, le lynx ou les saumons) et à l’étranger (la baleine à bosse du Pacifique Nord, le tigre au Népal, le panda géant, les populations de girafes du parc national Kruger en Afrique du Sud).

« Une chute affolante en Amérique centrale et du sud »

Mais à ces bonnes nouvelles répondent les mauvaises. En France, « le moineau domestique a connu une baisse de 60 % de sa population depuis 1960 et la tortue luth de Guyane a quasiment disparu en raison du braconnage de ses œufs, des collisions, de l’érosion des plages, des captures accidentelles », prend pour exemple Véronique Andrieux. Elle cite aussi, à l’international, les gorilles des plaines orientales, en déclin de 87 % dans le parc national de Kahuzi-Biega, en République démocratique du Congo.

Et puis il y a cette tendance générale, qui est bel et bien à une baisse de l’abondance des populations d’animaux sauvages suivies. Moins 68 % n’est que la moyenne. Elle cache des disparités d’une région à l’autre. « Ces dernières années, la vitesse du déclin a un peu ralenti en Europe et en Amérique du nord, notamment parce que les politiques de protection de la biodiversité mis en place ces dernières années ont commencé à porter leurs fruits, note Arnaud Gauffier. Mais en Amérique centrale et du sud, ça plonge à une vitesse affolante. » Les populations des animaux sauvages vertébrés étudiées dans ce coin du globe ont effectivement chuté de 94 % entre 1970 et 2016, « soit le déclin le plus important jamais observé dans une région », souligne le rapport Planète vivante.

Le changement climatique, pas (encore) la première pression

Les causes de ces chutes de biodiversité sont multiples. Planète Vivante 2020 en dresse cinq, toutes en lien avec l’activité humaine. Par ordre de leurs impacts : la perte et la dégradation des habitats, la surexploitation des ressources [la pêche essentiellement, mais aussi la chasse, le braconnage], la pollution, les espèces invasives et les maladies. Et, enfin, le changement climatique. Si ce dernier est encore aujourd’hui en bout de liste, le WWF rappelle tout de même que « les effets du changement climatique sur les espèces étaient extrêmement rares il y a trente ans, alors qu’ils sont encore monnaie courante aujourd’hui. »

La preuve en 2020, avec une augmentation record des mégafeux de 13 %, illustre la directrice générale du WWF France. Ceux qui ont ravagé l’Australie entre fin 2019 et début 2020 auraient entraîné la mort d’ un milliard d’animaux en ne comptant que les vertébrés, selon les estimations de l’Université de Sydney. « Le changement climatique pourrait devenir la première pression sur le vivant si rien n’est fait, reprend Véronique Andrieux. Même avec des efforts importants d’atténuation du changement climatique, 20 % des vertébrés sauvages risquent de disparaître en 2100 en raison du réchauffement climatique. »

La production agricole au cœur du problème

En attendant, c’est bien sur notre système mondial de production alimentaire que s’attarde cette treizième édition de Planète vivante. On en revient au premier facteur de perte directe de biodiversité : la perte et la dégradation des habitats. On parle ici, principalement, du changement d’affectation des terres au profit, notamment, de l’agriculture intensive et de l’élevage industriel. « 80 % de la déforestation mondiale est due à l’extension agricole, commence Arnaud Gauffier. Cela continue aujourd’hui et s’accentue même dans certaines zones comme au Brésil , où les feux en Amazonie sont majoritairement d’origine humaine et dans un but d’extension des terres agricoles ». Mais tous nos écosystèmes sont menacés par la production alimentaire au sens large, pas seulement les forêts. « Les savanes [celle par exemple du Cerrado, au Brésil toujours, grignotée pour permettre la culture du soja], mais aussi les zones humides, les fonds marins via la pêche en eaux profondes, qui abîme les habitats, ou encore les récifs coralliens avec certaines pêches, encore pratiquées, à la dynamite ou au cyanure. »

Autre chiffre inquiétant pour le WWF : « 52 % des terres agricoles au niveau mondial sont dégradées sous une forme ou une autre (salinisation [accumulation de sels dans le sol], érosion, perte de fertilité) ». « C’est un gros enjeu, parce qu’en parvenant à restaurer ces terres, on réduit le besoin des agriculteurs à s’étendre sur la forêt ou d’autres écosystèmes naturels, explique Arnaud Gauffier. Il y a des succès en la matière. Par exemple, le plateau des Loess, en Chine, qui a été restauré et est maintenant beaucoup plus productif qu’il ne l’était par le passé. Il faudrait y parvenir au Brésil sur les près 30 millions d’hectares* de prairies qui sont aujourd’hui estimées dégradées et peu productives. On réduirait alors la pression sur l’Amazonie et le Cerrado. »

Agir sur différents fronts

C’est l’une des solutions pour endiguer la perte d’abondance de la biodiversité. Il y en a d’autres, selon « Bending the curve » [Inverser la courbe], coalition internationale d’une quarantaine d’institutions, de centres de recherche et d’ONG (dont WWF) qui publie ce jeudi, dans Nature, une analyse des différents scénarios d’actions qui permettraient d’endiguer la chute de biodiversité terrestre.

« Au final, un seul permettrait de repasser au-dessus du niveau zéro – qui correspond à l’état actuel de la biodiversité – à l’horizon 2100, indique Arnaud Gauffier. C’est celui qui combine des actions dans différentes directions. A la fois l’extension et une meilleure gestion du réseau d’aires naturelles protégées, la recherche d’une production agricole aux impacts moindres sur l’environnement et, enfin, une baisse de nos consommations, en particulier de protéines animales. »


Source : 20 Minutes
Crédit : Jody amiet / AFP

Une tortue luth pondant sous la surveillance de membres de l'association Kwata, sur une plage de Remire-Montjoly, en Guyane Française.

Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF Actualités

Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF

Le monde a perdu plus des deux-tiers de ses populations d’animaux sauvages en moins de 50 ans, principalement à cause de l’activité humaine, avertit jeudi le Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe les dangers de cet effondrement pour l’avenir de l’humanité.

Moins 52 % en 2014, moins 58 % en 2016, moins 60 % en 2018… Tous les deux ans depuis 1998, l’ONG internationale WWF publie son rapport Planète vivante sur l’état de santé de la planète et les impacts des activités humaines sur celle-ci. L’indicateur principal est l’Indice planète vivante (IPV), que l’ONG calcule avec l’appui de la Société zoologique de Londres.

« Il mesure l’abondance des populations mondiales de vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens, reptiles), détaille Véronique Andrieux, directrice générale de WWF France. Il est calculé à partir de milliers de données sur le suivi scientifique de 21.000 populations de plus de 4.000 espèces de vertébrés sauvages. »

Un déclin qui se poursuit

C’est cet indicateur qui a dégringolé sans discontinuer ces dernières années, et qui dégringole encore dans la 13e édition du rapport que publie WWF ce jeudi. Nous voilà à 68 % de déclin moyen des populations de vertébrés sauvages étudiées entre 1970 et 2016 [date à laquelle remontent les dernières données sur lesquelles s’appuie ce rapport].

Arnaud Gauffier, directeur des programmes du WWF France, invite à ne pas surinterpréter ce chiffre. « Cela ne veut pas dire que nous avons perdu 68 % des animaux de la planète depuis 1970, insiste-t-il. Le chiffre ne porte que sur les populations de vertébrés que nous avons suivies. » Soit une toute petite partie du vivant. « Ensuite, poursuit-il, le nombre d’espèces suivies varie à chaque rapport – celui publié ce jeudi intègre 400 espèces et 4.870 populations de plus que celui de 2018 –, ce dont il faut tenir compte lorsqu’on compare les éditions les unes aux autres. »

Le rapport Planète vivante signale même quelques espèces dont les populations sont en augmentation en France (le vautour moine, le flamant rose, le lynx ou les saumons) et à l’étranger (la baleine à bosse du Pacifique Nord, le tigre au Népal, le panda géant, les populations de girafes du parc national Kruger en Afrique du Sud).

« Une chute affolante en Amérique centrale et du sud »

Mais à ces bonnes nouvelles répondent les mauvaises. En France, « le moineau domestique a connu une baisse de 60 % de sa population depuis 1960 et la tortue luth de Guyane a quasiment disparu en raison du braconnage de ses œufs, des collisions, de l’érosion des plages, des captures accidentelles », prend pour exemple Véronique Andrieux. Elle cite aussi, à l’international, les gorilles des plaines orientales, en déclin de 87 % dans le parc national de Kahuzi-Biega, en République démocratique du Congo.

Et puis il y a cette tendance générale, qui est bel et bien à une baisse de l’abondance des populations d’animaux sauvages suivies. Moins 68 % n’est que la moyenne. Elle cache des disparités d’une région à l’autre. « Ces dernières années, la vitesse du déclin a un peu ralenti en Europe et en Amérique du nord, notamment parce que les politiques de protection de la biodiversité mis en place ces dernières années ont commencé à porter leurs fruits, note Arnaud Gauffier. Mais en Amérique centrale et du sud, ça plonge à une vitesse affolante. » Les populations des animaux sauvages vertébrés étudiées dans ce coin du globe ont effectivement chuté de 94 % entre 1970 et 2016, « soit le déclin le plus important jamais observé dans une région », souligne le rapport Planète vivante.

Le changement climatique, pas (encore) la première pression

Les causes de ces chutes de biodiversité sont multiples. Planète Vivante 2020 en dresse cinq, toutes en lien avec l’activité humaine. Par ordre de leurs impacts : la perte et la dégradation des habitats, la surexploitation des ressources [la pêche essentiellement, mais aussi la chasse, le braconnage], la pollution, les espèces invasives et les maladies. Et, enfin, le changement climatique. Si ce dernier est encore aujourd’hui en bout de liste, le WWF rappelle tout de même que « les effets du changement climatique sur les espèces étaient extrêmement rares il y a trente ans, alors qu’ils sont encore monnaie courante aujourd’hui. »

La preuve en 2020, avec une augmentation record des mégafeux de 13 %, illustre la directrice générale du WWF France. Ceux qui ont ravagé l’Australie entre fin 2019 et début 2020 auraient entraîné la mort d’ un milliard d’animaux en ne comptant que les vertébrés, selon les estimations de l’Université de Sydney. « Le changement climatique pourrait devenir la première pression sur le vivant si rien n’est fait, reprend Véronique Andrieux. Même avec des efforts importants d’atténuation du changement climatique, 20 % des vertébrés sauvages risquent de disparaître en 2100 en raison du réchauffement climatique. »

La production agricole au cœur du problème

En attendant, c’est bien sur notre système mondial de production alimentaire que s’attarde cette treizième édition de Planète vivante. On en revient au premier facteur de perte directe de biodiversité : la perte et la dégradation des habitats. On parle ici, principalement, du changement d’affectation des terres au profit, notamment, de l’agriculture intensive et de l’élevage industriel. « 80 % de la déforestation mondiale est due à l’extension agricole, commence Arnaud Gauffier. Cela continue aujourd’hui et s’accentue même dans certaines zones comme au Brésil , où les feux en Amazonie sont majoritairement d’origine humaine et dans un but d’extension des terres agricoles ». Mais tous nos écosystèmes sont menacés par la production alimentaire au sens large, pas seulement les forêts. « Les savanes [celle par exemple du Cerrado, au Brésil toujours, grignotée pour permettre la culture du soja], mais aussi les zones humides, les fonds marins via la pêche en eaux profondes, qui abîme les habitats, ou encore les récifs coralliens avec certaines pêches, encore pratiquées, à la dynamite ou au cyanure. »

Autre chiffre inquiétant pour le WWF : « 52 % des terres agricoles au niveau mondial sont dégradées sous une forme ou une autre (salinisation [accumulation de sels dans le sol], érosion, perte de fertilité) ». « C’est un gros enjeu, parce qu’en parvenant à restaurer ces terres, on réduit le besoin des agriculteurs à s’étendre sur la forêt ou d’autres écosystèmes naturels, explique Arnaud Gauffier. Il y a des succès en la matière. Par exemple, le plateau des Loess, en Chine, qui a été restauré et est maintenant beaucoup plus productif qu’il ne l’était par le passé. Il faudrait y parvenir au Brésil sur les près 30 millions d’hectares* de prairies qui sont aujourd’hui estimées dégradées et peu productives. On réduirait alors la pression sur l’Amazonie et le Cerrado. »

Agir sur différents fronts

C’est l’une des solutions pour endiguer la perte d’abondance de la biodiversité. Il y en a d’autres, selon « Bending the curve » [Inverser la courbe], coalition internationale d’une quarantaine d’institutions, de centres de recherche et d’ONG (dont WWF) qui publie ce jeudi, dans Nature, une analyse des différents scénarios d’actions qui permettraient d’endiguer la chute de biodiversité terrestre.

« Au final, un seul permettrait de repasser au-dessus du niveau zéro – qui correspond à l’état actuel de la biodiversité – à l’horizon 2100, indique Arnaud Gauffier. C’est celui qui combine des actions dans différentes directions. A la fois l’extension et une meilleure gestion du réseau d’aires naturelles protégées, la recherche d’une production agricole aux impacts moindres sur l’environnement et, enfin, une baisse de nos consommations, en particulier de protéines animales. »


Source : 20 Minutes
Crédit : Jody amiet / AFP

Une tortue luth pondant sous la surveillance de membres de l'association Kwata, sur une plage de Remire-Montjoly, en Guyane Française.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

► Jusqu'au 5 mai

"ATELIERS JEUNES PUBLICS"
MUSEE DU QUERCORB

Mercredi à 10h30 : Couronne de fleurs - Fabrique ta propre couronne de fleurs et transforme-toi en princesse enchantée. Jeudi à 10h30 : Blason - Découvre ton animal héraldique et crée ton blason médiéval
Ateliers de 5 à 11 ans - Durée 1h30 - Sur réservation.

Musée du Quercorb
16 rue Barry du Lion 
11230 Puivert
04 68 69 81 51
www.museequercorb.com


► En mai

"VISITES CONTÉES ET CHANTÉES"
MUSEE DU QUERCORB

Avec Rachel. 5€ adulte - 2 € enfant. Jeudi 9 mai à 18h : Aude Mystères - Contes de fées… à nous faire frissonner ! / Vendredi 10 mai à 18h : De l’utilité à la beauté - Histoires d’art et d’artisanat / Dimanche 12 mai à 11h : Contes et légendes en Occitanie - Camins e cants.

Musée du Quercorb
16 rue Barry du Lion 
11230 Puivert
04 68 69 81 51
www.museequercorb.com


► Jusqu'en novembre

EXPOSITION 
"CARTES ÉNERGÉTIQUES D'URS ZIMMERMANN"

Urs Zimmermann (1954-2022) était essentiellement sculpteur. Le village de Rennes-le-Château, où il avait élu domicile, expose toute l'année ses sculptures. Jusqu'en novembre, ce sont ses lectures énergétiques de certains lieux, transcris en dessins, qui sont exposées. Accessible avec le billet d'entrée du Domaine, tarif normal : 6 €.

Domaine et musée de l’Abbé Saunière
Rue de l’église 
11190 Rennes-le-Château
04 68 74 05 84
tourisme.rlc@orange.fr
www.rennes-le-chateau.fr


12 - Aveyron

► Jusqu'au 2 novembre 2025

EXPOSITION  
"LA VILLE MÉDIÉVALE, UN JEU D'ENFANT"

Parcourez la nouvelle exposition du Pays d'art et d'histoire à la découverte des trois formes urbaines du Moyen Âge : la sauveté, le bourg castral et la bastide. Cette exposition ludique et immersive, adaptée à tous les âges, vous fera remonter le temps en vous glissant dans la peau d'un moine, d'un chevalier ou d'un marchand. 

Maison du Gouverneur
1 rue du château
12270 Najac
05 65 81 94 47
https://maisondugouverneur-najac.fr


► Le 30 octobre

ATELIER EN FAMILLE ET JEUNE PUBLIC
"RECYCLAGE ASTUCIEUX ET PAPIER MÂCHÉ"

En peu de temps et tout autant d'imagination, à partir d'emballages, de contenants plastiques et autres déchets à recycler, vous pourrez créer le personnage de votre choix, inspiré du Moyen Âge ou pas, bâtir un royaume ou donner vie à un animal. 

Maison du Gouverneur
1 rue du château
12270 Najac
05 65 81 94 47
https://maisondugouverneur-najac.fr


17 - Charente Maritime

► Jusqu'au 5 mai

ATELIERS ET JEU DE PISTE
"LE DERNIER GUÉRISSEUR" 

Ateliers créatifs : laisse parler ta créativité lors d’ateliers de Land-Art : herbiers, couronnes végétales, etc. Des activités botaniques, ludiques et artistiques en plein air. Tous les jours à 11h pendant les vacances scolaires toutes zones. Jeux de piste à faire en famille : "Quelle plante a empoisonné le chef de la tribu Neandertal ?".

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2A - Corse du Sud

► Jusqu'au 9 mai

"ATELIERS CRÉATIFS" 
PARC DE SALECCIA 

Entre 14h et 17h, durée environ 1/2 heure. Marque-page floral : mercredis 10, 17, 24 avril, 1er et 8 mai. Guirlande bois et coquillages : jeudis 11, 18, 25 avril, 2 et 9 mai. 
Ateliers (à partir de 4 ans) offerts aux visiteurs et abonnés du Parc. Sans réservation.

Lieu dit Saleccia
Route de Bastia 
20220 Ile-Rousse
04 95 36 88 83
www.parc-saleccia.fr


21 - Côte d'Or

► Jusqu'au 5 janvier 2025

EXPOSITION 
"OCÉAN, ICI COMMENCE LA VIE"

Une exposition fascinante, captivante pour explorer, observer, découvrir, admirer, comprendre, agir… et prendre conscience de l'importance cruciale de l'océan dans l'équilibre de notre planète.

Le Jardin de l'Arquebuse
1 avenue Albert 1er & 14 rue Jehan de Marville 
21000 Dijon
03 80 48 82 00
www.ma-nature.dijon.fr


25 - Doubs

► Du 4 mai au 9 mars 2025

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

► En avril 

ANIMATIONS VACANCES

"Histoire d'un village" : lundi 8 avril de 14h à 17h - "Plantes ingénieuses" : mardi 9 avril de 14h à 17h - "A la découverte des libellules" : mercredi 10 avril de 14h à 17h - "Enquête les pieds dans l'eau" : jeudi 11 avril de 14h à 17h - "Au coeur d'un valat" : vendredi 12 avril de 9h30 à 12h/12h30.

La Maison de l'eau
30122 Les Plantiers
04 66 30 36 55 / 04 66 25 83 41
https://caussesaigoualcevennes.fr/la-maison-de-l-eau


► Les 4 & 5 mai

"TRAIL DES AVENS"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

le Trail des Avens promet de faire vibrer la grotte au rythme du pas des coureurs. Pour ceux préférant l'admiration à l'effort, profitez de notre offre spéciale accompagnants pour une exploration libre entre 9h et 13h.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


► Le 19 mai

"MESSE DE LA PENTECÔTE ANTON DVORAK"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

Profitons ensemble de l'acoustique étonnante de la Grotte avec un concert exceptionnel : la Messe en Ré Majeur d'Antonin Dvořák, une œuvre sacrée remarquable du répertoire choral.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


► Du 4 mai au 30 septembre

EXPOSITION
"AIGA, L'EAU SOURCE D'INSPIRATION"

Une exposition dans laquelle les regards du photographe croisent ceux d'une peintre, d'une aquarelliste, d'une céramiste et de plasticiens. Face aux enjeux de l'eau, ces artistes ont pour but de créer de l'émotion et faire découvrir leur vision de cette eau source de vie, source d'énergie, source de débats.... 

La Maison de l'eau
30122 Les Plantiers
04 66 30 36 55 / 04 66 25 83 41
https://caussesaigoualcevennes.fr/la-maison-de-l-eau


31 - Haute Garonne

► Le 28 avril

"VISITES COCKPITS AUX AILES ANCIENNES TOULOUSE"

Notre association a choisi de mettre à l’honneur l’aviation de transport. Seront spécialement mis en avant le Nord 2501 Noratlas, le Breguet 941S, le Douglas DC3, le Breguet Deux Ponts et surtout le Dassault MD 312 Flamant. Sa restauration est en train de s’achever et c’est donc un avion magnifique que les passionnés pourront découvrir.

Ailes Anciennes Toulouse
Parking Site Aéroscopia - Allée André Turcat
31700 Blagnac
05 62 13 78 10
www.aatlse.org


► Jusqu’au 22 septembre 

EXPOSITION 
"ANATOMIE DU FRANQUISME"

La nouvelle exposition du musée de la Résistance & de la Déportation traite des fondations sur lesquelles s'est construite cette dictature de quarante ans, fondations assombries et défigurées par les discours du régime lui-même et qui interrogent l'imaginaire collectif européen. 

Musée Départemental de la Résistance et de la Déportation
52 allée des Demoiselles
31400 Toulouse
05 34 33 17 40
http://musee-resistance.haute-garonne.fr


33 - Gironde

► Jusqu'au 24 septembre 

EXPOSITION 
"RECYCL'ART"

Marques et Emballages, développement durable et valorisation par le tri. Cette exposition sans cesse enrichie met en valeur l’histoire des grandes marques françaises à travers des objets, des affiches et des documents historiques. Ces emballages amènent également à réveiller la mémoire du passé industriel de la Papeterie de Beautiran.

Musée des Techniques
5 rue de Balambits
33640 Beautiran
05 57 97 75 11
www.villamaglya.fr


37 - Indre et Loire

► Jusqu'au 30 avril

EXPOSITION 
VOYAGE DANS L’UNIVERS DU FILM LÉO"

A l’occasion de la sortie européenne du film d’animation Léo, qui retrace le destin amboisien de Léonard de Vinci, le château royal d’Amboise expose de janvier à mi-avril 2024 une dizaine de magnifiques maquettes originales, issues des décors du tournage.

Château royal d’Amboise 
Montée de l’Emir Abd el Kader
37400 Amboise
02 47 57 00 98
www.chateau-amboise.com


► Jusqu'au 30 septembre

EXPOSITION 
"LES CHEFS D’OEUVRE DE LÉONARD DE VINCI EN GRAVURES"
dans les collections de la BnF  

La Joconde n'a pas toujours été l'œuvre la plus renommée de Léonard de Vinci. Découvrez la Cène de Santa Maria delle Grazie ainsi qu'une trentaine de l'artiste.

Château royal d’Amboise 
Montée de l’Emir Abd el Kader
37400 Amboise
02 47 57 00 98
www.chateau-amboise.com


► Jusqu'au 11 novembre

EXPOSITION
"LES SIEGES FRANÇAIS AU 18ÈME"

Ussé, le Château de la Belle au Bois Dormant vous présente l'histoire des sièges français au 18ème, une mini exposition entre esthétique et technique. Profitez de votre visite pour découvrir l’ouverture d’une nouvelle salle : le cabinet oriental.

Château d’Ussé
37420 Rigny-Ussé
02 47 95 54 05
www.chateaudusse.fr


38 - Isère

► En avril

"ATELIERS CREATIFS"
MUSÉE ARCABAS EN CHARTREUSE

Les 10 & 24 Avril : "Fous de collages, collages de fous". Couper, coller, juxtaposer, recomposer... dans le sillage de grands maîtres du début du 19° siècle comme Braque ou Picasso. Le 17 avril : "Vitrail papillon". Envolez-vous vers un monde de couleurs et de lumière avec cet atelier de peinture sur vitrail, sur le thème des ailes de papillons.
 
Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


► Jusqu'au 30 mars 2025

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

► Jusqu'au 22 septembre

EXPOSITION 
"INDONÉSIE RÉVÉLÉE"

Région d’une grande complexité culturelle, le pays se compose de 1100 de groupes ethniques différents.
Les collections ramenées par Daniel Pouget de ses voyages, notamment des îles de Bornéo, Sumatra et Sulawesi, nous dévoilent l’extraordinaire richesse des traditions et cultures des îles d’Indonésie.  

Musée des Civilisations Daniel Pouget
Place Madeleine Rousseau
42170 Saint-Just-Saint-Rambert
04 77 52 03 11
musee@stjust-strambert.com


► Jusqu'au 29 septembre 

EXPOSITION
"L'ART DES AFFICHISTES"

Après un premier volet d’octobre 2022 à février 2023 sur l’art des affichistes de cinéma de 1930 à 1960… voici un second volet consacré à la période 1960-2023.

Ecomusée des Monts du Forez
Place Alex Folléas 
42550 Usson en Forez 
04 77 50 68 87 
www.ecomusee-usson-en-forez.fr


47 - Lot et Garonne

► Les 4 & 5 mai

"6ÈME ANNIVERSAIRE DU CONSERVATOIRE RURAL DE GASCOGNE"

Présence de collectionneurs extérieurs. Le dimanche (entrée gratuite) : vide-greniers organisé par l'Assaut des Assos. Réservation emplacement au
06 31 94 01 47.
Restauration sur place. Parking gratuit. Ouvert en continu de 9h à 18h. Tarif d'entrée : 6€/personne | gratuit pour les enfants jusqu'à 12 ans inclus.

Conservatoire Rural de Gascogne
36 boulevard Victor Hugo
47700 Casteljaloux
06 07 59 35 43 / 06 07 85 20 25
www.tracteursanciens.fr


63 - Puy de Dôme

► Jusqu'au 5 mai

EXPOSITION    
"GUÉRIN INTIME, GUÉRIN ILLUSTRE"

À l’occasion du 250e anniversaire de la naissance du peintre néoclassique Pierre-Narcisse Guérin (1774-1833), le musée Mandet présentera un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels de l’artiste né d’une famille d’origine auvergnate. L’occasion de célébrer et de remettre en lumière ce peintre, maître de Géricault et de Delacroix !

 Musée Mandet
14 rue de L'Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 17 31
www.rlv.eu/decouvrir/musees-1


► Le 18 mai

MUSÉE MANDET
NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉES

La 20e édition de la Nuit européenne des musées sera placée sous le signe de la magie aux musée Mandet et régional d’Auvergne de Riom qui ouvriront gratuitement leurs portes le samedi 18 mai, de 18 h à minuit. Déambulations magiques, visites à la lampe torche, exposition mais aussi projections et ateliers sont au programme pour ravir petits et grands.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees-1


70 - Haute-Saône

► Jusqu'au 15 novembre 

EXPOSITION
"JE MANGE, DONC JE SUIS" 

L'Écomusée présente une exposition intitulée conçue par le musée de l’Homme, un site du Muséum national d’Histoire naturelle. Elle aborde un sujet ô combien important : l’alimentation, pour découvrir ses aspects biologiques, culturels et écologiques. 

Ecomusée du Pays de la Cerise
206 Le Petit Fahys
70220 Fougerolles-Saint-Valbert
03 84 49 52 50
http://ecomusee-fougerolles.fr


71 - Saône et Loire

► Jusqu'au 3 novembre

EXPOSITION
"PLANTES ET LÉGENDES"

Plantesaux vertus prodigieuses, arbres mythiques, herbes magiques, fleurs ensorcelantes, potions de sorcières ou philtres d’amour, découvrez,à travers cette exposition, la profonde connexion entre l’homme et la nature ainsi que la manière dont elle a toujours joué un rôle central dans notre culture et imagination.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


► Jusqu'au 24 décembre

EXPOSITION
"LE CHAROLAIS, UN PAYSAGE DE BOCAGE"

Installée au dernier étage de la Maison du Charolais, cette exposition retrace l'histoire du bocage charolais, sa composition, son rôle et les enjeux de sa préservation pour la faune et la flore, ainsi que pour les habitants de ce beau territoire rural.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

► Jusqu'au 14 août

EXPOSITION
"CLÉMENCEAU ET LE SPORT"

A l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024, le musée Clemenceau présente exposition-focus. Georges Clemenceau aimait le sport. Qui l’eut cru ! Cette nouvelle exposition évoque le goût du Tigre pour la chasse et les longues randonnées, tout comme l’équitation, l’épée, le cyclisme, la gymnastique et le tir.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
www.musee-clemenceau.fr


76 - Seine-Maritime

► Le 1er mai 

SOIRÉES CLUEDO DE MIROMESNIL
"MEURTRE AU CHÂTEAU"  

L'intrigue se déroule  cette année, en 1969.... La richissime Clarisse Ennery est retrouvée morte quelques heures après son mariage avec Jacques Valantel. Elle a été sauvagement assassinée dans le hall du château... Informations et réservations à partir de notre site internet.

Château de Miromesnil
76550 Tourville-sur-Arques
02 35 85 02 80
www.chateaumiromesnil.com


► Le 4 mai 

CHÂTEAU DE MIROMESNIL
"JOURNÉE “GRATTE TA BRIQUE” 

Venez au château de Miromesnil aider au nettoyage des briques pour commencer la reconstruction du mur du XVIIè siècle qui s'est effondré. Verre de jus de pomme et briquette en chocolat offerts ! Recyclage  et récupération de briques des 17 et 18ème siècle. Entrée gratuite. Pas besoin de réserver.

Château de Miromesnil
76550 Tourville-sur-Arques
02 35 85 02 80
www.chateaumiromesnil.com


84 - Vaucluse

► Jusqu'au 31 mai 

EXPOSITION
"OCEAN"

L’océan est un vaste monde qui ne cesse de nous fasciner et qu’il convient de comprendre, d’étudier, de préserver et d’admirer. Cette exposition présente quatre artistes qui contribuent, par leurs approches artistiques, à cette réflexion et cette prise de conscience.
les photographes Rachael Talibart et Henley Spiers, les graveurs Hélène Baumel et Jean Chièze.

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


► Jusqu'au 16 juin

EXPOSITION 
"JEANNE COQUARD" 

Portraits d’enfants et d’amis, peints au fil des jours et des saisons, dans la lumière changeante qui traverse sa maison toujours ouverte, peuplent l’œuvre de Jeanne Coquard qui partagea sa vie avec le peintre Jean-Claude Imbert (1919-1993).

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


► Jusqu'au 31 décembre 

EXPOSITION 
"CIRCUIT COURT"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com

Lieux:

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