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Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF
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Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF

Le monde a perdu plus des deux-tiers de ses populations d’animaux sauvages en moins de 50 ans, principalement à cause de l’activité humaine, avertit jeudi le Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe les dangers de cet effondrement pour l’avenir de l’humanité.

Moins 52 % en 2014, moins 58 % en 2016, moins 60 % en 2018… Tous les deux ans depuis 1998, l’ONG internationale WWF publie son rapport Planète vivante sur l’état de santé de la planète et les impacts des activités humaines sur celle-ci. L’indicateur principal est l’Indice planète vivante (IPV), que l’ONG calcule avec l’appui de la Société zoologique de Londres.

« Il mesure l’abondance des populations mondiales de vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens, reptiles), détaille Véronique Andrieux, directrice générale de WWF France. Il est calculé à partir de milliers de données sur le suivi scientifique de 21.000 populations de plus de 4.000 espèces de vertébrés sauvages. »

Un déclin qui se poursuit

C’est cet indicateur qui a dégringolé sans discontinuer ces dernières années, et qui dégringole encore dans la 13e édition du rapport que publie WWF ce jeudi. Nous voilà à 68 % de déclin moyen des populations de vertébrés sauvages étudiées entre 1970 et 2016 [date à laquelle remontent les dernières données sur lesquelles s’appuie ce rapport].

Arnaud Gauffier, directeur des programmes du WWF France, invite à ne pas surinterpréter ce chiffre. « Cela ne veut pas dire que nous avons perdu 68 % des animaux de la planète depuis 1970, insiste-t-il. Le chiffre ne porte que sur les populations de vertébrés que nous avons suivies. » Soit une toute petite partie du vivant. « Ensuite, poursuit-il, le nombre d’espèces suivies varie à chaque rapport – celui publié ce jeudi intègre 400 espèces et 4.870 populations de plus que celui de 2018 –, ce dont il faut tenir compte lorsqu’on compare les éditions les unes aux autres. »

Le rapport Planète vivante signale même quelques espèces dont les populations sont en augmentation en France (le vautour moine, le flamant rose, le lynx ou les saumons) et à l’étranger (la baleine à bosse du Pacifique Nord, le tigre au Népal, le panda géant, les populations de girafes du parc national Kruger en Afrique du Sud).

« Une chute affolante en Amérique centrale et du sud »

Mais à ces bonnes nouvelles répondent les mauvaises. En France, « le moineau domestique a connu une baisse de 60 % de sa population depuis 1960 et la tortue luth de Guyane a quasiment disparu en raison du braconnage de ses œufs, des collisions, de l’érosion des plages, des captures accidentelles », prend pour exemple Véronique Andrieux. Elle cite aussi, à l’international, les gorilles des plaines orientales, en déclin de 87 % dans le parc national de Kahuzi-Biega, en République démocratique du Congo.

Et puis il y a cette tendance générale, qui est bel et bien à une baisse de l’abondance des populations d’animaux sauvages suivies. Moins 68 % n’est que la moyenne. Elle cache des disparités d’une région à l’autre. « Ces dernières années, la vitesse du déclin a un peu ralenti en Europe et en Amérique du nord, notamment parce que les politiques de protection de la biodiversité mis en place ces dernières années ont commencé à porter leurs fruits, note Arnaud Gauffier. Mais en Amérique centrale et du sud, ça plonge à une vitesse affolante. » Les populations des animaux sauvages vertébrés étudiées dans ce coin du globe ont effectivement chuté de 94 % entre 1970 et 2016, « soit le déclin le plus important jamais observé dans une région », souligne le rapport Planète vivante.

Le changement climatique, pas (encore) la première pression

Les causes de ces chutes de biodiversité sont multiples. Planète Vivante 2020 en dresse cinq, toutes en lien avec l’activité humaine. Par ordre de leurs impacts : la perte et la dégradation des habitats, la surexploitation des ressources [la pêche essentiellement, mais aussi la chasse, le braconnage], la pollution, les espèces invasives et les maladies. Et, enfin, le changement climatique. Si ce dernier est encore aujourd’hui en bout de liste, le WWF rappelle tout de même que « les effets du changement climatique sur les espèces étaient extrêmement rares il y a trente ans, alors qu’ils sont encore monnaie courante aujourd’hui. »

La preuve en 2020, avec une augmentation record des mégafeux de 13 %, illustre la directrice générale du WWF France. Ceux qui ont ravagé l’Australie entre fin 2019 et début 2020 auraient entraîné la mort d’ un milliard d’animaux en ne comptant que les vertébrés, selon les estimations de l’Université de Sydney. « Le changement climatique pourrait devenir la première pression sur le vivant si rien n’est fait, reprend Véronique Andrieux. Même avec des efforts importants d’atténuation du changement climatique, 20 % des vertébrés sauvages risquent de disparaître en 2100 en raison du réchauffement climatique. »

La production agricole au cœur du problème

En attendant, c’est bien sur notre système mondial de production alimentaire que s’attarde cette treizième édition de Planète vivante. On en revient au premier facteur de perte directe de biodiversité : la perte et la dégradation des habitats. On parle ici, principalement, du changement d’affectation des terres au profit, notamment, de l’agriculture intensive et de l’élevage industriel. « 80 % de la déforestation mondiale est due à l’extension agricole, commence Arnaud Gauffier. Cela continue aujourd’hui et s’accentue même dans certaines zones comme au Brésil , où les feux en Amazonie sont majoritairement d’origine humaine et dans un but d’extension des terres agricoles ». Mais tous nos écosystèmes sont menacés par la production alimentaire au sens large, pas seulement les forêts. « Les savanes [celle par exemple du Cerrado, au Brésil toujours, grignotée pour permettre la culture du soja], mais aussi les zones humides, les fonds marins via la pêche en eaux profondes, qui abîme les habitats, ou encore les récifs coralliens avec certaines pêches, encore pratiquées, à la dynamite ou au cyanure. »

Autre chiffre inquiétant pour le WWF : « 52 % des terres agricoles au niveau mondial sont dégradées sous une forme ou une autre (salinisation [accumulation de sels dans le sol], érosion, perte de fertilité) ». « C’est un gros enjeu, parce qu’en parvenant à restaurer ces terres, on réduit le besoin des agriculteurs à s’étendre sur la forêt ou d’autres écosystèmes naturels, explique Arnaud Gauffier. Il y a des succès en la matière. Par exemple, le plateau des Loess, en Chine, qui a été restauré et est maintenant beaucoup plus productif qu’il ne l’était par le passé. Il faudrait y parvenir au Brésil sur les près 30 millions d’hectares* de prairies qui sont aujourd’hui estimées dégradées et peu productives. On réduirait alors la pression sur l’Amazonie et le Cerrado. »

Agir sur différents fronts

C’est l’une des solutions pour endiguer la perte d’abondance de la biodiversité. Il y en a d’autres, selon « Bending the curve » [Inverser la courbe], coalition internationale d’une quarantaine d’institutions, de centres de recherche et d’ONG (dont WWF) qui publie ce jeudi, dans Nature, une analyse des différents scénarios d’actions qui permettraient d’endiguer la chute de biodiversité terrestre.

« Au final, un seul permettrait de repasser au-dessus du niveau zéro – qui correspond à l’état actuel de la biodiversité – à l’horizon 2100, indique Arnaud Gauffier. C’est celui qui combine des actions dans différentes directions. A la fois l’extension et une meilleure gestion du réseau d’aires naturelles protégées, la recherche d’une production agricole aux impacts moindres sur l’environnement et, enfin, une baisse de nos consommations, en particulier de protéines animales. »


Source : 20 Minutes
Crédit : Jody amiet / AFP

Une tortue luth pondant sous la surveillance de membres de l'association Kwata, sur une plage de Remire-Montjoly, en Guyane Française.

Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF Actualités

Les deux-tiers de la faune sauvage ont disparu en moins de 50 ans, selon le WWF

Le monde a perdu plus des deux-tiers de ses populations d’animaux sauvages en moins de 50 ans, principalement à cause de l’activité humaine, avertit jeudi le Fonds mondial pour la nature (WWF), qui pointe les dangers de cet effondrement pour l’avenir de l’humanité.

Moins 52 % en 2014, moins 58 % en 2016, moins 60 % en 2018… Tous les deux ans depuis 1998, l’ONG internationale WWF publie son rapport Planète vivante sur l’état de santé de la planète et les impacts des activités humaines sur celle-ci. L’indicateur principal est l’Indice planète vivante (IPV), que l’ONG calcule avec l’appui de la Société zoologique de Londres.

« Il mesure l’abondance des populations mondiales de vertébrés sauvages (poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens, reptiles), détaille Véronique Andrieux, directrice générale de WWF France. Il est calculé à partir de milliers de données sur le suivi scientifique de 21.000 populations de plus de 4.000 espèces de vertébrés sauvages. »

Un déclin qui se poursuit

C’est cet indicateur qui a dégringolé sans discontinuer ces dernières années, et qui dégringole encore dans la 13e édition du rapport que publie WWF ce jeudi. Nous voilà à 68 % de déclin moyen des populations de vertébrés sauvages étudiées entre 1970 et 2016 [date à laquelle remontent les dernières données sur lesquelles s’appuie ce rapport].

Arnaud Gauffier, directeur des programmes du WWF France, invite à ne pas surinterpréter ce chiffre. « Cela ne veut pas dire que nous avons perdu 68 % des animaux de la planète depuis 1970, insiste-t-il. Le chiffre ne porte que sur les populations de vertébrés que nous avons suivies. » Soit une toute petite partie du vivant. « Ensuite, poursuit-il, le nombre d’espèces suivies varie à chaque rapport – celui publié ce jeudi intègre 400 espèces et 4.870 populations de plus que celui de 2018 –, ce dont il faut tenir compte lorsqu’on compare les éditions les unes aux autres. »

Le rapport Planète vivante signale même quelques espèces dont les populations sont en augmentation en France (le vautour moine, le flamant rose, le lynx ou les saumons) et à l’étranger (la baleine à bosse du Pacifique Nord, le tigre au Népal, le panda géant, les populations de girafes du parc national Kruger en Afrique du Sud).

« Une chute affolante en Amérique centrale et du sud »

Mais à ces bonnes nouvelles répondent les mauvaises. En France, « le moineau domestique a connu une baisse de 60 % de sa population depuis 1960 et la tortue luth de Guyane a quasiment disparu en raison du braconnage de ses œufs, des collisions, de l’érosion des plages, des captures accidentelles », prend pour exemple Véronique Andrieux. Elle cite aussi, à l’international, les gorilles des plaines orientales, en déclin de 87 % dans le parc national de Kahuzi-Biega, en République démocratique du Congo.

Et puis il y a cette tendance générale, qui est bel et bien à une baisse de l’abondance des populations d’animaux sauvages suivies. Moins 68 % n’est que la moyenne. Elle cache des disparités d’une région à l’autre. « Ces dernières années, la vitesse du déclin a un peu ralenti en Europe et en Amérique du nord, notamment parce que les politiques de protection de la biodiversité mis en place ces dernières années ont commencé à porter leurs fruits, note Arnaud Gauffier. Mais en Amérique centrale et du sud, ça plonge à une vitesse affolante. » Les populations des animaux sauvages vertébrés étudiées dans ce coin du globe ont effectivement chuté de 94 % entre 1970 et 2016, « soit le déclin le plus important jamais observé dans une région », souligne le rapport Planète vivante.

Le changement climatique, pas (encore) la première pression

Les causes de ces chutes de biodiversité sont multiples. Planète Vivante 2020 en dresse cinq, toutes en lien avec l’activité humaine. Par ordre de leurs impacts : la perte et la dégradation des habitats, la surexploitation des ressources [la pêche essentiellement, mais aussi la chasse, le braconnage], la pollution, les espèces invasives et les maladies. Et, enfin, le changement climatique. Si ce dernier est encore aujourd’hui en bout de liste, le WWF rappelle tout de même que « les effets du changement climatique sur les espèces étaient extrêmement rares il y a trente ans, alors qu’ils sont encore monnaie courante aujourd’hui. »

La preuve en 2020, avec une augmentation record des mégafeux de 13 %, illustre la directrice générale du WWF France. Ceux qui ont ravagé l’Australie entre fin 2019 et début 2020 auraient entraîné la mort d’ un milliard d’animaux en ne comptant que les vertébrés, selon les estimations de l’Université de Sydney. « Le changement climatique pourrait devenir la première pression sur le vivant si rien n’est fait, reprend Véronique Andrieux. Même avec des efforts importants d’atténuation du changement climatique, 20 % des vertébrés sauvages risquent de disparaître en 2100 en raison du réchauffement climatique. »

La production agricole au cœur du problème

En attendant, c’est bien sur notre système mondial de production alimentaire que s’attarde cette treizième édition de Planète vivante. On en revient au premier facteur de perte directe de biodiversité : la perte et la dégradation des habitats. On parle ici, principalement, du changement d’affectation des terres au profit, notamment, de l’agriculture intensive et de l’élevage industriel. « 80 % de la déforestation mondiale est due à l’extension agricole, commence Arnaud Gauffier. Cela continue aujourd’hui et s’accentue même dans certaines zones comme au Brésil , où les feux en Amazonie sont majoritairement d’origine humaine et dans un but d’extension des terres agricoles ». Mais tous nos écosystèmes sont menacés par la production alimentaire au sens large, pas seulement les forêts. « Les savanes [celle par exemple du Cerrado, au Brésil toujours, grignotée pour permettre la culture du soja], mais aussi les zones humides, les fonds marins via la pêche en eaux profondes, qui abîme les habitats, ou encore les récifs coralliens avec certaines pêches, encore pratiquées, à la dynamite ou au cyanure. »

Autre chiffre inquiétant pour le WWF : « 52 % des terres agricoles au niveau mondial sont dégradées sous une forme ou une autre (salinisation [accumulation de sels dans le sol], érosion, perte de fertilité) ». « C’est un gros enjeu, parce qu’en parvenant à restaurer ces terres, on réduit le besoin des agriculteurs à s’étendre sur la forêt ou d’autres écosystèmes naturels, explique Arnaud Gauffier. Il y a des succès en la matière. Par exemple, le plateau des Loess, en Chine, qui a été restauré et est maintenant beaucoup plus productif qu’il ne l’était par le passé. Il faudrait y parvenir au Brésil sur les près 30 millions d’hectares* de prairies qui sont aujourd’hui estimées dégradées et peu productives. On réduirait alors la pression sur l’Amazonie et le Cerrado. »

Agir sur différents fronts

C’est l’une des solutions pour endiguer la perte d’abondance de la biodiversité. Il y en a d’autres, selon « Bending the curve » [Inverser la courbe], coalition internationale d’une quarantaine d’institutions, de centres de recherche et d’ONG (dont WWF) qui publie ce jeudi, dans Nature, une analyse des différents scénarios d’actions qui permettraient d’endiguer la chute de biodiversité terrestre.

« Au final, un seul permettrait de repasser au-dessus du niveau zéro – qui correspond à l’état actuel de la biodiversité – à l’horizon 2100, indique Arnaud Gauffier. C’est celui qui combine des actions dans différentes directions. A la fois l’extension et une meilleure gestion du réseau d’aires naturelles protégées, la recherche d’une production agricole aux impacts moindres sur l’environnement et, enfin, une baisse de nos consommations, en particulier de protéines animales. »


Source : 20 Minutes
Crédit : Jody amiet / AFP

Une tortue luth pondant sous la surveillance de membres de l'association Kwata, sur une plage de Remire-Montjoly, en Guyane Française.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


15 - Cantal

Juillet & août

ANIMATIONS
MAISON DE LA SALERS

Des animations sont proposées les mardis après-midi en juillet et août, sans oublier l'incontournable Festi'Vache, le mercredi 13 août ! 

Maison de la Salers
Domaine du Fau 
15140 Saint-Bonnet-de-Salers
04 71 40 54 00
www.maisondelasalers.fr


17 - Charente Maritime

En juin

RENDEZ-VOUS EN TERRES PRÉHISTORIQUES
"LES ATELIERS DU MOIS"

Participez à nos ateliers participatifs et plongez-vous dans l’univers fascinant des archéologues et de nos ancêtres. Dimanche 8 : allumer le feu / Lundi 9 : à la mode préhistorique / Samedi 14 : fouilles archéologiques / Dimanche 15 : atelier post-fouilles / Dimanche 22 : art préhistorique / Dimanche 29 : chasse préhistorique.

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2B - Haute-Corse

Le 21 juin

"ATELIER DE PEINTURE VÉGÉTALE"
PARC DE SALECCIA

Découvrez quelques plantes du parc et plantes sauvages, fabriquez vos aquarelles végétales avec une large gamme de couleurs et profitez d’un temps pour peindre avec les couleurs naturelles que vous aurez créées.
Informations et inscriptions au 07 68 83 07 79 ou kurcubitace@gmail.com. Tarif : 30 €/adulte, 20 € par enfant (accompagné d’un adulte). Sur réservation.

Parc de Saleccia
Lieu dit Saleccia
Route de Bastia 
20220 Ile-Rousse
04 95 36 88 83
www.parc-saleccia.fr


25 - Doubs

Du 10 juillet au 23 août

LES NUITS DE LA SALINE"

Cet été, la Saline royale vous propose des soirées uniques incluant une visite de l'exposition Corto Maltese, un dîner (ou pique-nique libre dans le parc) et un spectacle avec des projections monumentales dans le Centre de Lumières pour s'immerger dans l'univers de Hugo Pratt.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Petits et grands, découvrez un havre de liberté verdoyant et vivez une belle aventure ! En explorateurs, traversez des ponts, des tunnels, croisez la libellule géante, cachez vous dans les cabanes et grimpez en haut du belvédère pour une vue imprenable sur les jardins.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 21 juin

"FÊTE DE LA MUSIQUE À LA GROTTE"
GROTTE DE LA SALAMANDRE

À 15h, retrouvez Thoma’s Project pour un moment Jazz Electro sur la terrasse, en plein air. Puis à 16h30, la Chorale Mélodie Cèze prendra le relais dans la Grotte, avant de continuer en extérieur pour prolonger le plaisir en terrasse.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


131 - Haute-Garonne

Du 11 juillet au 22 août

"CINÉMA EN PLEIN AIR AU MILIEU DES AVIONS"

Le musée Aeroscopia, en partenariat avec le CGR de Blagnac, lance la première édition du ciné’scopia. Un événement estival inédit mêlant projections de films, patrimoine aéronautique et ambiance festive. Quatre soirées de projection sont programmées sur un des tarmacs du musée, en plein cœur d’un décor exceptionnel formé par le Concorde, la Caravelle, le Transall et le Falcon.

Musée Aeroscopia
1 allée André Turcat
31700 Blagnac
https://www.aeroscopia.fr


38 - Isère

►Le 22 juin 

ENSEMBLE VOCAL LES CONTEMPOR'ELLES
"DE SOUFFLE ET DE VENT..."
 
L’ensemble vocal Les Contempor'Elles est composé de huit chanteuses qui aiment explorer et partager un répertoire contemporain audacieux, de plus en plus souvent écrit pour elles, qui, poétique, traverse les frontières et les spiritualités diverses. Dimanche 22 à 16h.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Le 13 juin

FILM DES 48H DE LA CRÉATION TEXTILE

Le musée du tissage et de la soierie vous propose de (re) découvrir le film réalisé par le Caméra Photo-Club de Feurs pendant la 5ème édition des "48h de la création textile". Emotions garanties !

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Du 25 juin au 27 juillet

EXPOSITION
"BOULAZ "ENTRE POP ART ET STREET ART"

Une nouvelle exposition dédiée à la Pop Culture et au Street Art débarque au musée Danvin. Du 25 juin au 27 juillet, l’artiste Boulaz vous propose de vous plonger dans son univers coloré et vibrant.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Le musée Mandet a le plaisir de vous inviter à découvrir l’importante rétrospective de ce sculpteur-designer unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Les 5 et 6 juillet & 2 et 3 août

ANIMATIONS
"SUR LES TRACES DU PASSÉ"

Le Vaisseau vous donne rendez-vous pour deux week-ends exceptionnels placés sous le signe de la découverte ! Petit déjeuner préhistorique et musical, spectacle, film ou rencontre… 
Venez explorer le passé grâce à des animations inédites tout au long de l'été.

Le Vaisseau
1 bis rue Philippe Dollinger 
67100 Strasbourg
03 69 33 26 69
www.levaisseau.com


71 - Saône et Loire

Du 9 juillet au 27 août

ANIMATIONS VACANCES
LA MAISON DU CHAROLAIS

Parcours aventure ou visite audioguidée du musée, dégustation de viande charolaise, atelier cuisine, artistique, balade dans le bocage... Il y a tant à faire pour passer du bon temps en famille. Vous pouvez dès maintenant retenir vos places pour les ateliers !

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Le 21 juin 

UN MUSÉE, UN JARDIN
MUSÉE VOULAND

Une invitation à découvrir le lieu et son histoire, le musée et ses collections d’arts décoratifs (avec quelques focus). Nous nous attarderons dans le jardin traversé par le Canal de Vaucluse, refuge de la Ligue pour la Protection des Oiseaux, où l’on agit pour la biodiversité. Pensez à réserver ! 04 90 86 03 79 ou musee@vouland.com

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel

Lieux:

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