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Graisse animale, marc de café, déchets agricoles… vers de nouveaux biocarburants
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Graisse animale, marc de café, déchets agricoles… vers de nouveaux biocarburants

A quoi rouleront nos voitures en 2030 ? L’année 2018 qui commence sera l’occasion d’une grande remise à plat alors que les instances européennes préparent la « directive énergie renouvelable 2 » (RED2). « Celle-ci doit fixer la part d’énergies renouvelable à atteindre dans le secteur des transports à l’horizon 2030, commence Jean-Christophe Viguié, responsable du programme « biocarburant » à l’IFP Energies Nouvelles, un organisme public de recherche dans les domaines de l’énergie et des transports. Les discussions ont commencé en novembre 2016, mais doivent s’intensifier en 2018 et aboutir sur un compromis d’ici la fin de l’année. »
De nouvelles solutions de biocarburant

La directive RED, votée en 2008, fixait à 10 % la part d’énergie renouvelable à atteindre dans les transports d’ici 2020. « La France n’y est plus très loin avec un taux d’incorporation d’énergie renouvelable de 8,5 % atteint dès 2015, reprend Jean-Christophe Viguié.

Faut-il viser plus haut pour 2030 ? Surtout, sur quels types de solutions miser dès à présent ? C’est tout l’enjeu du moment et, pour ce qui concerne les biocarburants, la réponse est loin d’être aisée alors que fourmillent un peu partout des solutions innovantes de production de biocarburant. Un exemple : A Londres, depuis le 20 novembre, les fameux bus rouges à deux étages carburent (en partie) au marc de café. Leur carburant est composé de 80 % de diesel et de 20 % de biocarburants dont une huile extraite du recyclage de déchets de café que la start-up Bio-Bean collecte auprès de milliers de magasins des chaînes Costa Coffe et Caffe Nero.

Plus au nord, à Edimbourg, Celtic Renewables, autre jeune société, a fait rouler début juillet une premier voiture au Biobutanol, un biocarburant à base de résidus de la production de whisky. Et que dire du goupe Les Mousquetaires (Intermarché, Netto) qui s’est lancé en novembre 2013, avec Saria, entreprise spécialisée dans la valorisation de la biomasse, dans la production de biocarburant à partir de graisses animales impropres à la consommation et d'huiles de fritures usagées. L’usine, située au Havre, est toujours en activité et produit 75.000 tonnes de biodiesel chaque année.
Pas forcément bon pour l’environnement

Ce foisonnement d’idées n’étonne guère Jean-Christophe Viguié : « On peut imaginer faire du biocarburant à partir de nombreux corps gras », explique-t-il. Avant de s’en féliciter, Laura Buffet, chargée de mission « carburant » à l’ONG Transport & Environnement, invite d’abord à se pencher dans le détail sur chacune de ces solutions. « Quelle quantité de déchets de café faut-il pour faire un litre de biocarburant ? Quel est le bilan carbone de la collecte et de la transformation de cette matière première ? Est-il possible de faire un meilleur usage de ces déchets ? », se demande-t-elle.

Arthur Kay, le PDG de Bio-Bean ne répond guère à ces questions. Elles sont pourtant essentielles. Car si les biocarburants ont tous ce côté séduisant de proposer une alternative aux énergies fossiles, ils ne sont pas forcément bons pour l’environnement. C’est tout le problème des biocarburants de première génération. Pour les véhicules diesel, ils sont produits à partir d’huiles végétales, principalement de colza, de tournesol, de soja, de palme… Pour les véhicules essences, on parle de bioéthanol, issu de la fermentation de produit agricole comme la betterave, le blé, la canne à sucre ou le maïs.

Ces biocarburants sont déjà dans nos réservoirs, mélangés à l’essence ou au gazole. Le gazole, par exemple, adapté à tous les véhicules diesel, contient jusqu’à 7 % d’ester méthylique d’huile végétale. Le sans plomb 95-E10 s’appelle ainsi parce que le carburant contient jusqu’à 10 % d’éthanol.

Une première génération en concurrence avec des cultures alimentaires

En France, il n’y a à ce jour à disposition que des biocarburants de première génération. « Or, elles sont toutes issues de cultures destinées traditionnellement à l’alimentation, rappelle Laura Buffet. Pour les produire, il faut soit gagner sur des espaces naturels, ce que font actuellement à outrance des pays d’Asie du sud-est [Indonésie, Malaisie en particulier] avec des plantations de palmiers à huile gagnées sur la forêt tropicale, soit convertir des terres agricoles destinées jusque-là à des productions alimentaires. » Cette deuxième option revient bien souvent au même. « La demande alimentaire étant constante, voire en hausse, il faut trouver ailleurs de nouvelles terres pour compenser ce changement d’affectation des sols », reprend Laura Buffet.

« Ces biocarburants de première génération ne sont pas tous à mettre dans le même sac, nuance toutefois Jean-Christophe Viguié. La France produit une part non négligeable de son biodiesel à partir de colza, une culture qui a l’avantage de produire à la fois des graines qui seront pressées pour faire in fine du carburant, mais aussi des tourteaux utilisés en alimentation animale. »

Reste que sur la moitié des 2,9 millions de tonnes de biodiesel consommées en France, la moitié seulement est produite sur le territoire français, rappelait La Tribune en juin dernier. L’autre moitié se compose soit d’importation de carburant, soit de la transformation de matières premières importées. Et l’huile de palme est en pole position. En France comme en l’Europe. « En 2014, 45 % de toute l’huile de palme utilisée en Europe a terminé dans les réservoirs de voitures et de camions », constatait en 2015 Transport & Environnement.

« Trouver des solutions de grandes capacités »

En avril 2015, l’Union européenne a plafonné à 7 % l’incorporation des agrocarburants de première génération dans les carburants proposés à la pompe. Un plafonnement qui pourrait être durci encore alors que les instances européennes préparent en ce moment « la directive énergie renouvelable 2 ».

Dans cette optique, des biocaburants à base de graisses animales, de résidus de whisky ou de marc de café pourraient séduire. Ils présentent en tout cas l’avantage de ne pas être en concurrence avec des productions alimentaires. « Rien n’empêche de creuser l’idée et tant mieux si ces solutions parviennent à être rentables, commence Jean-Christophe Viguié. Mais elles resteront toujours limitées par les faibles volumes de biocarburants qu’elles pourront produire. Or, la transition énergétique nécessite de trouver des solutions de grande capacité. Rien qu’en France, 35 millions de tonnes de gazole moteur sont consommées chaque année pour faire rouler nos voitures diesel. »

Deux projets prometteurs en France

Le responsable « biocarburant » à l’IFP Energies Nouvelles fonde bien plus d’espoir sur les projets français BioTfueL et Futurol en passe de devenir réalité. « On est en plein dans la seconde génération de biocarburant puisqu’il s’agit à chaque fois d’utiliser des déchets de cultures-la paille de blé par exemple- ou des chutes de bois. Ces deux projets nécessitent des investissements lourds mais permettent d’envisager des volumes plus conséquents à l’échelle industrielle. »

De son côté, Transport & Environnement estime que le futur est plus à chercher du côté de la voiture électrique. « Et dans une meilleure gestion de nos mobilités, ajoute Laura Buffet. Cela reste la priorité. »
 

Source : 20 Minutes
Crédit : FRANCOIS NASCIMBENI / AFP

A Pomacle-Bazancourt (Marne) une usine de transformation de betterave sucrière en bioéthanol.

Graisse animale, marc de café, déchets agricoles… vers de nouveaux biocarburants Actualités

Graisse animale, marc de café, déchets agricoles… vers de nouveaux biocarburants

A quoi rouleront nos voitures en 2030 ? L’année 2018 qui commence sera l’occasion d’une grande remise à plat alors que les instances européennes préparent la « directive énergie renouvelable 2 » (RED2). « Celle-ci doit fixer la part d’énergies renouvelable à atteindre dans le secteur des transports à l’horizon 2030, commence Jean-Christophe Viguié, responsable du programme « biocarburant » à l’IFP Energies Nouvelles, un organisme public de recherche dans les domaines de l’énergie et des transports. Les discussions ont commencé en novembre 2016, mais doivent s’intensifier en 2018 et aboutir sur un compromis d’ici la fin de l’année. »
De nouvelles solutions de biocarburant

La directive RED, votée en 2008, fixait à 10 % la part d’énergie renouvelable à atteindre dans les transports d’ici 2020. « La France n’y est plus très loin avec un taux d’incorporation d’énergie renouvelable de 8,5 % atteint dès 2015, reprend Jean-Christophe Viguié.

Faut-il viser plus haut pour 2030 ? Surtout, sur quels types de solutions miser dès à présent ? C’est tout l’enjeu du moment et, pour ce qui concerne les biocarburants, la réponse est loin d’être aisée alors que fourmillent un peu partout des solutions innovantes de production de biocarburant. Un exemple : A Londres, depuis le 20 novembre, les fameux bus rouges à deux étages carburent (en partie) au marc de café. Leur carburant est composé de 80 % de diesel et de 20 % de biocarburants dont une huile extraite du recyclage de déchets de café que la start-up Bio-Bean collecte auprès de milliers de magasins des chaînes Costa Coffe et Caffe Nero.

Plus au nord, à Edimbourg, Celtic Renewables, autre jeune société, a fait rouler début juillet une premier voiture au Biobutanol, un biocarburant à base de résidus de la production de whisky. Et que dire du goupe Les Mousquetaires (Intermarché, Netto) qui s’est lancé en novembre 2013, avec Saria, entreprise spécialisée dans la valorisation de la biomasse, dans la production de biocarburant à partir de graisses animales impropres à la consommation et d'huiles de fritures usagées. L’usine, située au Havre, est toujours en activité et produit 75.000 tonnes de biodiesel chaque année.
Pas forcément bon pour l’environnement

Ce foisonnement d’idées n’étonne guère Jean-Christophe Viguié : « On peut imaginer faire du biocarburant à partir de nombreux corps gras », explique-t-il. Avant de s’en féliciter, Laura Buffet, chargée de mission « carburant » à l’ONG Transport & Environnement, invite d’abord à se pencher dans le détail sur chacune de ces solutions. « Quelle quantité de déchets de café faut-il pour faire un litre de biocarburant ? Quel est le bilan carbone de la collecte et de la transformation de cette matière première ? Est-il possible de faire un meilleur usage de ces déchets ? », se demande-t-elle.

Arthur Kay, le PDG de Bio-Bean ne répond guère à ces questions. Elles sont pourtant essentielles. Car si les biocarburants ont tous ce côté séduisant de proposer une alternative aux énergies fossiles, ils ne sont pas forcément bons pour l’environnement. C’est tout le problème des biocarburants de première génération. Pour les véhicules diesel, ils sont produits à partir d’huiles végétales, principalement de colza, de tournesol, de soja, de palme… Pour les véhicules essences, on parle de bioéthanol, issu de la fermentation de produit agricole comme la betterave, le blé, la canne à sucre ou le maïs.

Ces biocarburants sont déjà dans nos réservoirs, mélangés à l’essence ou au gazole. Le gazole, par exemple, adapté à tous les véhicules diesel, contient jusqu’à 7 % d’ester méthylique d’huile végétale. Le sans plomb 95-E10 s’appelle ainsi parce que le carburant contient jusqu’à 10 % d’éthanol.

Une première génération en concurrence avec des cultures alimentaires

En France, il n’y a à ce jour à disposition que des biocarburants de première génération. « Or, elles sont toutes issues de cultures destinées traditionnellement à l’alimentation, rappelle Laura Buffet. Pour les produire, il faut soit gagner sur des espaces naturels, ce que font actuellement à outrance des pays d’Asie du sud-est [Indonésie, Malaisie en particulier] avec des plantations de palmiers à huile gagnées sur la forêt tropicale, soit convertir des terres agricoles destinées jusque-là à des productions alimentaires. » Cette deuxième option revient bien souvent au même. « La demande alimentaire étant constante, voire en hausse, il faut trouver ailleurs de nouvelles terres pour compenser ce changement d’affectation des sols », reprend Laura Buffet.

« Ces biocarburants de première génération ne sont pas tous à mettre dans le même sac, nuance toutefois Jean-Christophe Viguié. La France produit une part non négligeable de son biodiesel à partir de colza, une culture qui a l’avantage de produire à la fois des graines qui seront pressées pour faire in fine du carburant, mais aussi des tourteaux utilisés en alimentation animale. »

Reste que sur la moitié des 2,9 millions de tonnes de biodiesel consommées en France, la moitié seulement est produite sur le territoire français, rappelait La Tribune en juin dernier. L’autre moitié se compose soit d’importation de carburant, soit de la transformation de matières premières importées. Et l’huile de palme est en pole position. En France comme en l’Europe. « En 2014, 45 % de toute l’huile de palme utilisée en Europe a terminé dans les réservoirs de voitures et de camions », constatait en 2015 Transport & Environnement.

« Trouver des solutions de grandes capacités »

En avril 2015, l’Union européenne a plafonné à 7 % l’incorporation des agrocarburants de première génération dans les carburants proposés à la pompe. Un plafonnement qui pourrait être durci encore alors que les instances européennes préparent en ce moment « la directive énergie renouvelable 2 ».

Dans cette optique, des biocaburants à base de graisses animales, de résidus de whisky ou de marc de café pourraient séduire. Ils présentent en tout cas l’avantage de ne pas être en concurrence avec des productions alimentaires. « Rien n’empêche de creuser l’idée et tant mieux si ces solutions parviennent à être rentables, commence Jean-Christophe Viguié. Mais elles resteront toujours limitées par les faibles volumes de biocarburants qu’elles pourront produire. Or, la transition énergétique nécessite de trouver des solutions de grande capacité. Rien qu’en France, 35 millions de tonnes de gazole moteur sont consommées chaque année pour faire rouler nos voitures diesel. »

Deux projets prometteurs en France

Le responsable « biocarburant » à l’IFP Energies Nouvelles fonde bien plus d’espoir sur les projets français BioTfueL et Futurol en passe de devenir réalité. « On est en plein dans la seconde génération de biocarburant puisqu’il s’agit à chaque fois d’utiliser des déchets de cultures-la paille de blé par exemple- ou des chutes de bois. Ces deux projets nécessitent des investissements lourds mais permettent d’envisager des volumes plus conséquents à l’échelle industrielle. »

De son côté, Transport & Environnement estime que le futur est plus à chercher du côté de la voiture électrique. « Et dans une meilleure gestion de nos mobilités, ajoute Laura Buffet. Cela reste la priorité. »
 

Source : 20 Minutes
Crédit : FRANCOIS NASCIMBENI / AFP

A Pomacle-Bazancourt (Marne) une usine de transformation de betterave sucrière en bioéthanol.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION 
"À L'AFFÛT"

À travers son art, le photographe animalier et grand voyageur, exprime ses rêves, ses émotions et ses rencontres en captant l'instant, celui de l’animal au cœur de son environnement. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


34 - Hérault

Jusqu'au 9 mars 

EXPOSITION
"TISSER L'IMAGINAIRE"

Construite en partenariat avec le Mobilier national, l’exposition explore la notion d’Imaginaires dans l’art de la tapisserie. Récit d’aventures imaginaires transposées, illustration de contes et de fables, exploration de sentiments, de visions de l’esprit, représentations d’ailleurs imaginés ou rêvés, l’exposition montre les différentes formes que peut prendre l’imaginaire selon les artistes, les époques.

Musée de Lodève
Square George Auric
34700 Lodève
04 67 88 86 10
www.museedelodeve.fr


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 

EXPOSITION
"ARCABAS, L’ÉTOFFE HAUTE EN COULEUR"

Outre les toiles de jute et l’impression sur soie que l’on retrouve dans l’église de Saint-Hugues, l’exposition présente des objets textiles conçus par Arcabas. Dans son œuvre picturale dont certains tableaux sont également présentés, les motifs des costumes, les drapés témoignent d’une recherche plastique constante.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Les 28 février & 6 mars

SPÉCIAL CARNAVAL
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES"

Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème du Carnaval ! Tu pourras le rapporter chez toi et l’utiliser pour éloigner les mauvais rêves !
Vendredi 28 février et jeudi 6 mars à 14h30. Dès 3 ans. Tarif : 5 €. Réservation obligatoire.

Musée du tissage et de la soierie
125 place Vaucansonp
42510 Bussières
04 77 27 33 95 
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu’au 21 mars

EXPOSITION
"MANGER ET BOIRE À LA TABLE DE NOS ANCÊTRES"

Cette exposition permet au grand public d’approcher le quotidien de nos ancêtres à travers leur vaisselle de table. Elle a pour but de présenter la manière dont on mange et boit à travers les âges. Elle évoque également la place des hommes et des femmes, réservée à cette pratique sociale, avec le matériel et les instruments qui y sont associés. 

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


Le 15 mars

MUSÉE DE SAINT-DIZIER
"NUIT DE LA CHOUETTE" AVEC LE CPIE

De 14h30 à 16h30, découverte des principales espèces de rapaces nocturnes grâce à la collection du Musée et du jeu coopératif "Les petits secouristes" pour sensibiliser le public aux bons gestes à adopter auprès des animaux blessés ou malade. De 19h30 à 21h30, sortie nature dans les bois durant 1h–1h30 pour découvrir la vie nocturne de la forêt : écoute des chants des oiseaux et des bruits de la nuit, découvre des chauves-souris et des amphibiens de nos forêts. 

Réservations
CPIE Pays de Soulaines 
03 25 92 28 33
cpie.emmanuel.fery@gmail.com


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 8 mars

EXPOSITION
"PEINTURES DE JEAN-PAUL ROUX "

Le musée reçoit Jean-Paul Roux. L’artiste peint depuis une trentaine d’années à l’huile et au couteau associant grattages, aplats et couleurs avec la volonté d’épurer le sujet pour ne garder que l’essentiel.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


67 - Bas-Rhin

Jusqu'au 6 avril

EXPOSITION PHOTOGRAPHIQUE
"MOSSI : UN VASE, DES SAVOIR-FAIRE"

Découvrez les différentes étapes de fabrication du vase Mossi au travers des images prises à la manufacture Lalique par Karine Faby, un des Meilleurs Ouvriers de France 2023 en photographie industrielle.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Le 28 février

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"LA VIE AUTOUR DES ARBRES"

Venez découvrir les arbres et leurs habitants. Lors de cette animation vous aurez l’occasion de (re)connaître les indices de présence laissés par les animaux qui vivent dans les arbres, la notion d’écosystème et l’importance d’une forêt diversifiée. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


Le 6 mars

ESCAPADES NATURECENTRE EDEN
"BALADE NATURALISTE À LA FORÊT DE LA GENÊTE"

C’est l’hiver, les branches des arbres sont nues. Mais les animaux de la forêt n’ont pas déserté. Arpentons la forêt de la Genête à la recherche de terriers de blaireaux. A partir de 8 ans. De 10h00 à 12h30.

Centre EDEN
26 rue de l’Eglise
71290 Cuisery
03 85 27 08 00
www.centre-eden71.fr


75 - Paris

Le 15 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"APPRENTIS STRATÈGES"
Pour revivre le siège de Toulon en 1793, aux côtés de Napoléon, grâce au plan-relief de la ville et à un jeu de stratégie grâce à une grande carte tirée des archives du musée. De 8 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Le 19 février

ATELIERS VACANCES SCOLAIRES
"CONSTRUIS TA CITADELLE EN KAPLA"
Pour découvrir les fortifications et construire en famille une citadelle ou un fort en planchettes de bois Kapla. De 6 à 14 ans.

Musée des Plans-Reliefs
129 rue de Grenelle 
75007 Paris    
01 45 51 92 45
www.museedesplansreliefs.culture.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


84 - Vaucluse

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"LES LIEUX IMAGINAIRES" 

A travers le travail de quelques artistes et architectes, nous nous interrogerons sur les façons et les lieux où nous vivrons dans l’avenir. Entre vénération du présent, visions futuristes et perspectives révolutionnaires offertes par l’intelligence artificielle, il s'agira de scénarios pour les nouvelles générations, fondés sur une profonde compréhension du passé.  

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
JEAN-PIERRE GRAS (1879-1964)

Sculpteur et peintre avignonnais, Jean-Pierre Gras est le fils du félibre Félix Gras. Élève de Pierre Grivolas proche de nombreux artistes de la « nouvelle école d’Avignon », il est membre du Groupe des Treize.

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com

Lieux:

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