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Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ?
Actualités

Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ?

Sur les huit millions d’espèces existantes, jusqu’à un million sont menacées d’extinction, « dont beaucoup dans les prochaines décennies ». Le 23 avril dernier, l’Ipbes, la plate-forme internationale scientifique dédiée à l’étude de l’érosion du vivant, publiait un rapport alarmant sur la perte de biodiversité dans le monde. Voilà pour le constat. Reste à plancher sur les solutions pour endiguer cette érosion. Il y en a forcément à trouver, ces prochains jours, à Genève, où sont réunis depuis jeudi et jusqu’au 28 août les 180 Etats signataires de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacés d’extinction (Cites). C’est la 18e COP (Conférence des parties) de l’organisme. Il y en a une tous les trois ans. Celle-ci doit se conclure le 28 août prochain après avoir examiné les 57 propositions mises sur la table.

Nous balayons les enjeux de ce sommet avec Charlotte Nithart, porte-parole de Robin des bois, ONG observatrice de la Cites depuis trente ans, et Loïs Lelanchon, chargé du programme de sauvetage des animaux sauvages à  Ifaw (Fond international pour la protection des animaux).

Comment fonctionne la Cites ?

Cet accord international est entré en vigueur le 1er juillet 1975, deux ans après avoir été signé, le 3 mars 1973 à Washington, par 80 pays. Elle compte aujourd’hui 180 Etats membres. Son but est de veiller à ce que le commerce international des spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces concernées. Autrement dit que ce commerce, lorsqu’il est autorisé, repose sur une utilisation durable des espèces sauvages.

La Cites fixe ainsi les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et flore sauvage. « Selon le degré de protection dont elles ont besoin, la Cites classe ces espèces à l’une de ses annexes, explique Charlotte Nithart. Il y en a principalement deux : l’annexe 1, qui interdit quasi totalement le commerce des espèces qui y sont rangées, et l’annexe 2, qui réglemente et contrôle le commerce des espèces concernées. » « C’est justement lors des COP qu’est décidé le classement [ou le déclassement] d’espèces dans l’une des annexes », précise Loïs Lelanchon.

La Cites est-elle un outil important pour endiguer l’érosion de la biodiversité ?

Charlotte Nithart, comme Loïs Lelanchon, s’accordent sur ce point : la Cites ne réglera pas tous les problèmes de biodiversité. Son champ d’action est limité. « La convention se focalise uniquement sur le commerce international des espèces sauvages, rappelle Loïs Lelanchon. Autrement dit, elle n’a pas la main sur le commerce domestique. » La Cites n’a pas non plus la main sur les autres causes de pertes de la biodiversité, le commerce n’étant qu’une des menaces qui pèsent sur les animaux sauvages. La première, au niveau mondial, est la dégradation et la perte d’habitat, pointait en octobre dernier WWF dans son rapport « Planète Vivante ».

Il n’empêche, le braconnage continue d’être la première menace pour de nombreuses espèces, du pangolin aux éléphants d’Afrique, en passant par les rhinocéros ou les loutres. Dans ce contexte, la Cites reste une instance clé pour réguler le commerce d’espèces sauvages et lutter contre les trafics illégaux. « Il y a tous ceux qui œuvrent à la protection des espèces sur le terrain. Les gardes forestiers, les gardes-côtes, les douaniers…, explique Charlotte Nithart. Au-dessus d’eux, ces acteurs ont aussi besoin d’une coordination entre les Etats. Il faut éviter qu’une espèce soit protégée dans un pays et pas chez le voisin. C’est tout le rôle que doit jouer la Cites. »

Que faut-il espérer de cette COP18 ?

La fin de la chasse aux trophées ? C’est  la demande adressée, dimanche, à la Cites par une cinquantaine de députés européens et une cinquantaine d’organisations de défense de la nature. « Mais elle n’est pas à l’ordre du jour à Genève », répond Charlotte Nithart. En revanche, à l’agenda, il est bien question de l’inscription de la girafe à l’annexe 2. Car il y a urgence. « Les populations de girafe ont diminué de 40 % ces trente dernières années », rappelle Loïs Lelanchon. Et le commerce international n’est pas étranger à cette érosion. « La girafe est menacée par l’appétit pour la viande de brousse, la chasse sportive et de loisirs, déplore Charlotte Nithart. On fait aussi des bracelets avec ses poils, des couteaux avec ses os, des sacs à main avec sa peau, les crânes sont utilisés en décoration d’intérieur… »

Si la girafe est la priorité numéro 1, Robin des bois cite également l’inscription en annexe 2 du Gecko tokay, lézard multicolore venu d’Asie, et des concombres de mer, animal marin au corps mou très prisé sur le marché gastronomique asiatique. L’ONG réclame également le transfert en annexe 1 des tortues étoilées de l’Inde. L’Ifaw, de son côté, poussera pour classer la loutre cendrée et la loutre d’Asie en annexe 1.

Et l’éléphant d’Afrique ?

Après des décennies de braconnage, la population de ce mammifère emblématique, chassé pour son ivoire, est passée de plusieurs millions d’individus au milieu du XXe siècle à quelque 400.000 en 2015. De quoi faire du trafic d’ivoire un vieux serpent de mer. « Sur ce dossier, la Cites s’est révélée être une arme à double tranchant pour les éléphants », regrette Charlotte Nithart.

En 1989, elle a classé toutes les populations d’éléphants d’Afrique en annexe 1 et interdit ainsi le commerce international d’ivoire. Mais à partir de 1997, la Cites a fait marche arrière pour quatre pays d’Afrique australe (Botswana, Namibie, Zimbabwe, puis Afrique du Sud), en reclassant leurs populations d’éléphants en annexe 2. Ces quatre Etats ont été alors autorisés à vendre ponctuellement leurs stocks de défense d’Ivoire, issus de l’abattage régulier ou de mortalité naturelle. Ceci au motif que les populations d’éléphants de ces quatre pays étaient « saines et bien gérées » et que les ventes réalisées permettraient de financer des programmes de conservation de la faune sauvage.

Un boulevard pour le braconnage ?

« Cela a eu pour conséquence de relancer le braconnage d’éléphant sur tout le continent, déplorent Charlotte Nithart et Loïs Lelanchon. Les trafiquants ont bien compris qu’il serait difficile de faire la différence, sur les marchés, entre de l’ivoire provenant du stock d’un de ces quatre pays et de l’ivoire d’un éléphant braconné au Kenya ou au Gabon. »

A Genève, 32 pays de la Coalition pour l’éléphant d’Afrique proposent le reclassement de tous les éléphants en annexe 1, comme en 1989. Dans le même temps, le Botswana, la Namibie et le Zimbabwe demanderont de nouveau à pouvoir vendre leurs stocks d’Ivoire. La Zambie, quant à elle, espère obtenir le déclassement de ses éléphants en annexe 2. Si bien que plusieurs ONG environnementales craignent un nouveau boulevard pour le braconnage.


Source : 20 minutes
Crédit : TONY KARUMBA / AFP

Le 18e sommet de la Cites, la Convention internationale sur les espèces de faune et de flore sauvages, se tient jusqu'au 28 août à Genève, et pourrait acter de nouvelles mesures de protection pour les girafes.

Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ? Actualités

Girafes, loutres, éléphants... la Cites peut-elle encore les sauver ?

Sur les huit millions d’espèces existantes, jusqu’à un million sont menacées d’extinction, « dont beaucoup dans les prochaines décennies ». Le 23 avril dernier, l’Ipbes, la plate-forme internationale scientifique dédiée à l’étude de l’érosion du vivant, publiait un rapport alarmant sur la perte de biodiversité dans le monde. Voilà pour le constat. Reste à plancher sur les solutions pour endiguer cette érosion. Il y en a forcément à trouver, ces prochains jours, à Genève, où sont réunis depuis jeudi et jusqu’au 28 août les 180 Etats signataires de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacés d’extinction (Cites). C’est la 18e COP (Conférence des parties) de l’organisme. Il y en a une tous les trois ans. Celle-ci doit se conclure le 28 août prochain après avoir examiné les 57 propositions mises sur la table.

Nous balayons les enjeux de ce sommet avec Charlotte Nithart, porte-parole de Robin des bois, ONG observatrice de la Cites depuis trente ans, et Loïs Lelanchon, chargé du programme de sauvetage des animaux sauvages à  Ifaw (Fond international pour la protection des animaux).

Comment fonctionne la Cites ?

Cet accord international est entré en vigueur le 1er juillet 1975, deux ans après avoir été signé, le 3 mars 1973 à Washington, par 80 pays. Elle compte aujourd’hui 180 Etats membres. Son but est de veiller à ce que le commerce international des spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces concernées. Autrement dit que ce commerce, lorsqu’il est autorisé, repose sur une utilisation durable des espèces sauvages.

La Cites fixe ainsi les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et flore sauvage. « Selon le degré de protection dont elles ont besoin, la Cites classe ces espèces à l’une de ses annexes, explique Charlotte Nithart. Il y en a principalement deux : l’annexe 1, qui interdit quasi totalement le commerce des espèces qui y sont rangées, et l’annexe 2, qui réglemente et contrôle le commerce des espèces concernées. » « C’est justement lors des COP qu’est décidé le classement [ou le déclassement] d’espèces dans l’une des annexes », précise Loïs Lelanchon.

La Cites est-elle un outil important pour endiguer l’érosion de la biodiversité ?

Charlotte Nithart, comme Loïs Lelanchon, s’accordent sur ce point : la Cites ne réglera pas tous les problèmes de biodiversité. Son champ d’action est limité. « La convention se focalise uniquement sur le commerce international des espèces sauvages, rappelle Loïs Lelanchon. Autrement dit, elle n’a pas la main sur le commerce domestique. » La Cites n’a pas non plus la main sur les autres causes de pertes de la biodiversité, le commerce n’étant qu’une des menaces qui pèsent sur les animaux sauvages. La première, au niveau mondial, est la dégradation et la perte d’habitat, pointait en octobre dernier WWF dans son rapport « Planète Vivante ».

Il n’empêche, le braconnage continue d’être la première menace pour de nombreuses espèces, du pangolin aux éléphants d’Afrique, en passant par les rhinocéros ou les loutres. Dans ce contexte, la Cites reste une instance clé pour réguler le commerce d’espèces sauvages et lutter contre les trafics illégaux. « Il y a tous ceux qui œuvrent à la protection des espèces sur le terrain. Les gardes forestiers, les gardes-côtes, les douaniers…, explique Charlotte Nithart. Au-dessus d’eux, ces acteurs ont aussi besoin d’une coordination entre les Etats. Il faut éviter qu’une espèce soit protégée dans un pays et pas chez le voisin. C’est tout le rôle que doit jouer la Cites. »

Que faut-il espérer de cette COP18 ?

La fin de la chasse aux trophées ? C’est  la demande adressée, dimanche, à la Cites par une cinquantaine de députés européens et une cinquantaine d’organisations de défense de la nature. « Mais elle n’est pas à l’ordre du jour à Genève », répond Charlotte Nithart. En revanche, à l’agenda, il est bien question de l’inscription de la girafe à l’annexe 2. Car il y a urgence. « Les populations de girafe ont diminué de 40 % ces trente dernières années », rappelle Loïs Lelanchon. Et le commerce international n’est pas étranger à cette érosion. « La girafe est menacée par l’appétit pour la viande de brousse, la chasse sportive et de loisirs, déplore Charlotte Nithart. On fait aussi des bracelets avec ses poils, des couteaux avec ses os, des sacs à main avec sa peau, les crânes sont utilisés en décoration d’intérieur… »

Si la girafe est la priorité numéro 1, Robin des bois cite également l’inscription en annexe 2 du Gecko tokay, lézard multicolore venu d’Asie, et des concombres de mer, animal marin au corps mou très prisé sur le marché gastronomique asiatique. L’ONG réclame également le transfert en annexe 1 des tortues étoilées de l’Inde. L’Ifaw, de son côté, poussera pour classer la loutre cendrée et la loutre d’Asie en annexe 1.

Et l’éléphant d’Afrique ?

Après des décennies de braconnage, la population de ce mammifère emblématique, chassé pour son ivoire, est passée de plusieurs millions d’individus au milieu du XXe siècle à quelque 400.000 en 2015. De quoi faire du trafic d’ivoire un vieux serpent de mer. « Sur ce dossier, la Cites s’est révélée être une arme à double tranchant pour les éléphants », regrette Charlotte Nithart.

En 1989, elle a classé toutes les populations d’éléphants d’Afrique en annexe 1 et interdit ainsi le commerce international d’ivoire. Mais à partir de 1997, la Cites a fait marche arrière pour quatre pays d’Afrique australe (Botswana, Namibie, Zimbabwe, puis Afrique du Sud), en reclassant leurs populations d’éléphants en annexe 2. Ces quatre Etats ont été alors autorisés à vendre ponctuellement leurs stocks de défense d’Ivoire, issus de l’abattage régulier ou de mortalité naturelle. Ceci au motif que les populations d’éléphants de ces quatre pays étaient « saines et bien gérées » et que les ventes réalisées permettraient de financer des programmes de conservation de la faune sauvage.

Un boulevard pour le braconnage ?

« Cela a eu pour conséquence de relancer le braconnage d’éléphant sur tout le continent, déplorent Charlotte Nithart et Loïs Lelanchon. Les trafiquants ont bien compris qu’il serait difficile de faire la différence, sur les marchés, entre de l’ivoire provenant du stock d’un de ces quatre pays et de l’ivoire d’un éléphant braconné au Kenya ou au Gabon. »

A Genève, 32 pays de la Coalition pour l’éléphant d’Afrique proposent le reclassement de tous les éléphants en annexe 1, comme en 1989. Dans le même temps, le Botswana, la Namibie et le Zimbabwe demanderont de nouveau à pouvoir vendre leurs stocks d’Ivoire. La Zambie, quant à elle, espère obtenir le déclassement de ses éléphants en annexe 2. Si bien que plusieurs ONG environnementales craignent un nouveau boulevard pour le braconnage.


Source : 20 minutes
Crédit : TONY KARUMBA / AFP

Le 18e sommet de la Cites, la Convention internationale sur les espèces de faune et de flore sauvages, se tient jusqu'au 28 août à Genève, et pourrait acter de nouvelles mesures de protection pour les girafes.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


25 - Doubs

Jusqu'au 30 avril 

EXPOSITION 
"URGENCE CARBONE"

Urgence Carbone, œuvre d’Iris Leroyer réalisée en charbon de bois, symbolise une Terre carbonisée, qui souligne notre inertie face aux dérèglements de notre planète, en péril. Cette œuvre entre ainsi en dialogue avec les projections en grand format des sites du patrimoine mondial dans le Centre de lumières. 

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Du 1er juin au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Pour sa 25ème édition, en famille, découvrez des jardins ludiques et interactifs pensés pour reconnecter les enfants à la nature et développer leurs sens. Une porte d’entrée sur le rêve et l’imaginaire. Bien plus qu’un jardin, une expérience.

 Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


30 - Gard

Le 24 mai

"NUIT DU JEU À LA GROTTE !"

Une soirée pour petits et grands autour de jeux de société et de plateau dans une ambiance festive ! De 18h00 à 22h30. Adulte : 12 € - Enfant : 7 € - Gratuit pour les moins de 6 ans.

Grotte de la Salamandre
30430 Méjannes le Clap
04 66 600 600
www.grottedelasalamandre.com


42 - Loire

Le 30 avril 

ATELIER ENFANT
"CRÉATION D'ATTRAPE-RÊVES, SPÉCIAL PÂQUES !"

Dans la tradition amérindienne, les attrape-rêves servent à éloigner les cauchemars et rendre nos nuits plus paisibles. Apprends à réaliser ton propre attrape-rêves à partir de décorations textiles sur le thème de Pâques !
Tarif : 5 € par enfant, gratuit pour les accompagnateurs. Dès 3 ans. Réservation obligatoire

Musée du Tissage et de la Soierie
125 place Vaucanson
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


56 - Morbihan

Le 30 mai

"ALIMENTATION À LA PRÉHISTOIRE"

Que mangeait-on et que buvait-on à la Préhistoire ? Pour le découvrir, le musée de Préhistoire de Carnac vous invite à une journée spéciale consacrée à l’alimentation à la fin de la Préhistoire et au début de l’Âge du Bronze. Pour l’occasion, Noémie Ledouble, médiatrice du patrimoine et expérimentatrice en archéologie de l’alimentation vous présentera une technique de brassage de la bière.

Musée de Préhistoire
Place Christian Bonnet
56340 CARNAC
02 97 52 66 36
www.museedecarnac.com


63 - Puy-de-Dôme

Jusqu'au 18 mai

EXPOSITIONS
"Les extraordinaires aventures de Jean-Pierre Alibert" 
"Le Cabinet de Curiosités de Riom Limagne et Volcans" 
"Attention fragile !"

Le musée Mandet présente trois expositions inédites, mêlant art, histoire et sensibilisation environnementale. À travers ces expositions, vous découvrirez la richesse du monde animal, de l’héritage d’un aventurier du XIXe siècle et d’une création artistique participative unique inspirée des cabinets de curiosités.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


Le 17 mai

"21E ÉDITION DE LA NUIT EUROPÉENNE DES MUSÉES"
MUSÉE MANDET & MUSÉE RÉGIONAL D’AUVERGNE 

Cette soirée exceptionnelle sera l’occasion de porter un regard neuf sur les collections et les expositions temporaires. Spectacle de magie avec la Compagnie de la Lanterne Magique, fresque participative avec l’artiste Iggy, visites à la lampe torche, ateliers et lancement de la toute nouvelle exposition du Musée régional d’Auvergne sauront ravir petits et grands.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Du 1er mai au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


71 - Saône-et-Loire

Jusqu'au 4 mai

"ATELIERS VACANCES DE PRINTEMPS"
LA MAISON DU CHAROLAIS

Des ateliers pour toute la famille : le hamburger du printemps avec une recette de pain vert, de fleurs et de feuilles avec une recette surprise, les petits artistes pourront se divertir avec l’atelier la "charolaise prend des couleurs" et la "charolaise en pointillés", et pour les amateurs de suspens, la chasse au trésor.

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon
71120 Charolles
03 85 88 04 00
https://www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 11 mai 

EMPREINTE CARBONE, L'EXPO !

Conçue pour un public familial et articulée en trois parties, Empreinte carbone, l’expo ! vise à déconstruire les présupposés et les idées reçues sur notre empreinte carbone, à en examiner les mécanismes et à proposer aux visiteurs un espace de réflexion sur les actions à mener face au défi du changement climatique. 

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


80 - Somme

Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Jusqu'au 10 juin

EXPOSITIONS
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


Du 13 mai au 3 juin 

LE CABINET DE CURIOSITÉ(S) NOMADE PAR LE MUSÉUM REQUIEN

Le « cabinet de curiosité(s) nomade » conçu par le muséum Requien pour Terre de Culture 2025 poursuit son voyage, et fait halte au musée Vouland. Son contenu propose des correspondances entre les collections des deux musées, et des échos avec le jardin du musée Vouland qui attisent la curiosité !

 Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
01 71 05 77 92
https://www.facebook.com/
museeroybetfouldofficiel


95 - Val d'Oise

Les 3 & 5 mai

"FÊTE DES PLANTES"
CHÂTEAU DE LA ROCHE-GUYON

Pour cette nouvelle édition, la "Fête des plantes" proposera des solutions raisonnées pour arroser les jardins face au changement climatique et fera découvrir au public un florilège de jus, infusions et autres liqueurs issus de fruits et de végétaux. Au programme : rencontre avec des pépiniéristes, conférences, ateliers et animations autour du thème "Le jardin se boit".
Tarif : 8 €, gratuit pour les moins de 18 ans.

Château de La Roche-Guyon
1 rue de l’Audience
95780 La Roche-Guyon
01 34 79 74 42
www.chateaudelarocheguyon.fr

Lieux:

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