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Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ?
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Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ?

Imaginez des rangées de noyers au beau milieu d’un champ de blé, des arbres fruitiers surplombant des parcelles de légumes ou des moutons broutant aux pieds d’ormes et de chênes parsemant leur prairie… Bref, imaginez la fin des mornes plaines, et le retour en nombre des arbres dans la campagne française.

Surfer sur la remise en cause de l’agriculture intensive…

L’agriculture intensive l’en avait chassé au siècle dernier. « Le remembrement [regroupement de parcelles agricoles pour en former des plus grandes] a eu raison de nombreuses haies, commence Fabien Balaguer, directeur de l’ Association française d’agroforesterie. Sans doute aussi qu’à une époque nous étions arrivés dans certains champs à avoir des arbres en trop grand nombre et mal alignés, ce qui faisait obstacle au travail des machines. Mais bien souvent, on les a éradiqués et, peu à peu, des savoir-faire se sont perdus. C’est sans doute la plus grave erreur que nous ayons faite en agriculture ces soixante dernières années. »

La donne a changé. L’agriculture intensive s’essouffle et ne cesse d’être remise en question, poussant à la quête de nouvelles pratiques agricoles mieux adaptés aux changements climatiques. Dans ce contexte, l’arbre a une carte à jouer et commence d’ores et déjà sa reconquête des champs sous forme d’alignements, de haies, de bosquets ou d’arbres isolés. Pas juste pour faire joli, mais parce que bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut faire des miracles.

De l’ombre et de la nourriture pour les troupeaux

Veiller à cette bonne combinaison, c’est faire de l’agroforesterie, technique sur laquelle s’attarde le documentaire « Faut-il arrêter de manger des animaux », diffusé ce mercredi soir dans l’émission « Le Monde en Face » sur France 5. Benoît Bringer, le réalisateur, est allé à la rencontre des femmes et des hommes qui inventent un autre élevage plus respectueux de la nature et des animaux, jusqu’à poser sa caméra sur les terres d’ Alfredo Cunhal à une heure de Lisbonne. L'agriculteur a remis au goût du jour les techniques d’agroforesterie qui n’ont jamais cessé d’exister dans cette région du Portugal.

Plantés sur ses parcelles, les arbres d’Alfredo Cunhal apportent déjà de l’ombre à ses troupeaux, capital l’été. Ils produisent aussi naturellement et en quantité non négligeable de la nourriture. Des feuilles et des branches pour les vaches. Des glands pour les porcs. Les chênes fournissent 60 % de la nourriture des cochons du fermier portugais, précise Benoît Bringer. C’est autant de céréales en moins à acheter et à produire. « Et ces glands ou fourrages contribuent à diversifier le régime alimentaire de ces vaches ou cochons, ce qui permet de réduire les maladies », ajoute Fabien Balaguer. En retour, les animaux laissent aux arbres leurs bouses, un engrais rudement efficace. La boucle est bouclée.

Capter l’eau, fertiliser les sols, lutter contre les ravageurs, couper le vent…

À l’Association française d’agroforesterie, on vous dira qu’il n’est pas nécessaire d’aller au Portugal pour parler « agroforesterie ». La France aussi a ses réussites. Il n’est pas rare ainsi de croiser des porcs noirs de Bigorre sous couvert de chênes dans les Pyrénéennes, des vaches normandes sous des pommiers, des poules picorer aux pieds d’arbres fruitiers… « Les combinaisons arbres/élevages sont des formes traditionnelles d’agroforesterie, explique Christian Dupraz, ingénieur de recherche à l ’Inra (Institut national de la recherche agronomique), spécialiste de l’agroforesterie. On les redécouvre, et c’est tant mieux, mais on n’invente rien. À côté, nous développons des formes modernes d’agroforesterie, compatibles avec la mécanisation et qui concerne plus, cette fois-ci, des combinaisons arbres/cultures. »

Là encore, les arbres, les haies et bosquets, réintroduits dans ou autour de la parcelle, rendent de multiples services. Enrichir les sols, mieux stocker et mieux filtrer l’eau. Offrir le gîte et le couvert aux pollinisateurs ou aux bestioles et faire ainsi la guerre aux insectes ravageant les cultures. Avoir un effet brise-vent très utile pour la vigne par exemple. Mais aussi améliorer les revenus de l’agriculteur en lui permettant de valoriser les coproduits de l’arbre (valoriser ses fruits, vente de bois, transformation de sa biomasse en énergie…).

… Et accroître les rendements

Surtout, associer arbres et cultures permettrait de produire davantage. « Une exploitation agroforestière de 100 hectares produit autant de biomasse qu’une exploitation conventionnelle de 140 hectares où arbres et cultures sont séparés, indique Christian Dupraz en s’appuyant sur les expérimentations que mène l’Inra à Restinclières (Hérault) depuis 1995. Soit donc 36 % de plus. Ce gain de productivité a été permis non pas parce que vous y avez mis plus d’engrais ou de produits phytosanitaires, mais parce que vous avez utilisé au mieux les ressources naturelles et jouer sur cette synergie entre les arbres et les cultures. »

L’agroforesterie n’est pas pour autant une combinaison gagnante à tous les coups. Christian Dupraz se garde bien de le certifier. « Si l’arbre offre des avantages, mal choisi ou mal géré, il peut aussi entrer en compétition avec les cultures de la parcelle pour l’accès aux ressources, précise-t-il. Que ce soit la lumière, l’eau ou l’azote. Le risque alors est une baisse de rendements. » Tout est une question d’équilibre : trouver les bonnes combinaisons, planter les arbres au bon endroit et en bonne quantité. « Il ne suffit pas de planter des arbres pour faire de l’agroforesterie », insiste Fabien Balaguer.

Atteindre un million d’hectares en 2050

Pas si simple donc, mais pas de quoi cependant freiner le dynamisme de l’agroforesterie en France. Daniele Oiri, d’Agroof, un bureau d'études spécialisé dans l'agroforesterie, invite déjà à en juger par le nombre d’agriculteurs souhaitant se former. « On en a reçu 250 à Agroof en 2017, soit quasi le double par rapport à 2014, précise-t-il. De plus en plus de lycées agricoles proposent aussi désormais des formations. »

En surface, en revanche, le compte n’y est pas encore. « Si on parle des formes modernes d’agroforesterie, celles qui combinent cultures et rangées d’arbres à même la parcelle, on doit être autour des 15 ou 20.000 hectares aujourd’hui en France », évalue Christian Dupraz. On approcherait plus les 170.000 hectares si on y intègre les bocages et les pré-vergers, ces paysages agricoles français où les vergers et champs cultivés sont restés entourés de talus faits de haies et d’alignements d’arbres.

Une goutte d’eau au regard des 28 millions d’hectares de surface agricole utile nationale. On est aussi loin encore du cap des près d’1 million d’hectares en agroforesterie à atteindre d’ici 2050 fixé par le plan national de développement de l’agroforesterie établi fin 2015. Christian Dupraz ne serait pour autant pas surpris qu’on l’atteigne. Car les arbres ont un autre atout à faire valoir qui les rendent dans l’air du temps : celui de stocker du carbone. « Jusqu’à deux tonnes par hectare et par an, pour une parcelle de 50 à 100 arbres par hectares, précise le chercheur de l’Inra. Aujourd’hui, l’agroforesterie est l’une des principales pistes, si ce n’est la seule, pour fixer le carbone au sol et éviter qu’il ne soit rejeté dans l’atmosphère. Si les effets du changement climatique se confirment, cette captation deviendra essentielle. »
 

Source : 20 Minutes
Crédit : Association Française d'Agroforesterie

Bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut apporter de nombreux bienfaits.

Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ? Actualités

Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ?

Imaginez des rangées de noyers au beau milieu d’un champ de blé, des arbres fruitiers surplombant des parcelles de légumes ou des moutons broutant aux pieds d’ormes et de chênes parsemant leur prairie… Bref, imaginez la fin des mornes plaines, et le retour en nombre des arbres dans la campagne française.

Surfer sur la remise en cause de l’agriculture intensive…

L’agriculture intensive l’en avait chassé au siècle dernier. « Le remembrement [regroupement de parcelles agricoles pour en former des plus grandes] a eu raison de nombreuses haies, commence Fabien Balaguer, directeur de l’ Association française d’agroforesterie. Sans doute aussi qu’à une époque nous étions arrivés dans certains champs à avoir des arbres en trop grand nombre et mal alignés, ce qui faisait obstacle au travail des machines. Mais bien souvent, on les a éradiqués et, peu à peu, des savoir-faire se sont perdus. C’est sans doute la plus grave erreur que nous ayons faite en agriculture ces soixante dernières années. »

La donne a changé. L’agriculture intensive s’essouffle et ne cesse d’être remise en question, poussant à la quête de nouvelles pratiques agricoles mieux adaptés aux changements climatiques. Dans ce contexte, l’arbre a une carte à jouer et commence d’ores et déjà sa reconquête des champs sous forme d’alignements, de haies, de bosquets ou d’arbres isolés. Pas juste pour faire joli, mais parce que bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut faire des miracles.

De l’ombre et de la nourriture pour les troupeaux

Veiller à cette bonne combinaison, c’est faire de l’agroforesterie, technique sur laquelle s’attarde le documentaire « Faut-il arrêter de manger des animaux », diffusé ce mercredi soir dans l’émission « Le Monde en Face » sur France 5. Benoît Bringer, le réalisateur, est allé à la rencontre des femmes et des hommes qui inventent un autre élevage plus respectueux de la nature et des animaux, jusqu’à poser sa caméra sur les terres d’ Alfredo Cunhal à une heure de Lisbonne. L'agriculteur a remis au goût du jour les techniques d’agroforesterie qui n’ont jamais cessé d’exister dans cette région du Portugal.

Plantés sur ses parcelles, les arbres d’Alfredo Cunhal apportent déjà de l’ombre à ses troupeaux, capital l’été. Ils produisent aussi naturellement et en quantité non négligeable de la nourriture. Des feuilles et des branches pour les vaches. Des glands pour les porcs. Les chênes fournissent 60 % de la nourriture des cochons du fermier portugais, précise Benoît Bringer. C’est autant de céréales en moins à acheter et à produire. « Et ces glands ou fourrages contribuent à diversifier le régime alimentaire de ces vaches ou cochons, ce qui permet de réduire les maladies », ajoute Fabien Balaguer. En retour, les animaux laissent aux arbres leurs bouses, un engrais rudement efficace. La boucle est bouclée.

Capter l’eau, fertiliser les sols, lutter contre les ravageurs, couper le vent…

À l’Association française d’agroforesterie, on vous dira qu’il n’est pas nécessaire d’aller au Portugal pour parler « agroforesterie ». La France aussi a ses réussites. Il n’est pas rare ainsi de croiser des porcs noirs de Bigorre sous couvert de chênes dans les Pyrénéennes, des vaches normandes sous des pommiers, des poules picorer aux pieds d’arbres fruitiers… « Les combinaisons arbres/élevages sont des formes traditionnelles d’agroforesterie, explique Christian Dupraz, ingénieur de recherche à l ’Inra (Institut national de la recherche agronomique), spécialiste de l’agroforesterie. On les redécouvre, et c’est tant mieux, mais on n’invente rien. À côté, nous développons des formes modernes d’agroforesterie, compatibles avec la mécanisation et qui concerne plus, cette fois-ci, des combinaisons arbres/cultures. »

Là encore, les arbres, les haies et bosquets, réintroduits dans ou autour de la parcelle, rendent de multiples services. Enrichir les sols, mieux stocker et mieux filtrer l’eau. Offrir le gîte et le couvert aux pollinisateurs ou aux bestioles et faire ainsi la guerre aux insectes ravageant les cultures. Avoir un effet brise-vent très utile pour la vigne par exemple. Mais aussi améliorer les revenus de l’agriculteur en lui permettant de valoriser les coproduits de l’arbre (valoriser ses fruits, vente de bois, transformation de sa biomasse en énergie…).

… Et accroître les rendements

Surtout, associer arbres et cultures permettrait de produire davantage. « Une exploitation agroforestière de 100 hectares produit autant de biomasse qu’une exploitation conventionnelle de 140 hectares où arbres et cultures sont séparés, indique Christian Dupraz en s’appuyant sur les expérimentations que mène l’Inra à Restinclières (Hérault) depuis 1995. Soit donc 36 % de plus. Ce gain de productivité a été permis non pas parce que vous y avez mis plus d’engrais ou de produits phytosanitaires, mais parce que vous avez utilisé au mieux les ressources naturelles et jouer sur cette synergie entre les arbres et les cultures. »

L’agroforesterie n’est pas pour autant une combinaison gagnante à tous les coups. Christian Dupraz se garde bien de le certifier. « Si l’arbre offre des avantages, mal choisi ou mal géré, il peut aussi entrer en compétition avec les cultures de la parcelle pour l’accès aux ressources, précise-t-il. Que ce soit la lumière, l’eau ou l’azote. Le risque alors est une baisse de rendements. » Tout est une question d’équilibre : trouver les bonnes combinaisons, planter les arbres au bon endroit et en bonne quantité. « Il ne suffit pas de planter des arbres pour faire de l’agroforesterie », insiste Fabien Balaguer.

Atteindre un million d’hectares en 2050

Pas si simple donc, mais pas de quoi cependant freiner le dynamisme de l’agroforesterie en France. Daniele Oiri, d’Agroof, un bureau d'études spécialisé dans l'agroforesterie, invite déjà à en juger par le nombre d’agriculteurs souhaitant se former. « On en a reçu 250 à Agroof en 2017, soit quasi le double par rapport à 2014, précise-t-il. De plus en plus de lycées agricoles proposent aussi désormais des formations. »

En surface, en revanche, le compte n’y est pas encore. « Si on parle des formes modernes d’agroforesterie, celles qui combinent cultures et rangées d’arbres à même la parcelle, on doit être autour des 15 ou 20.000 hectares aujourd’hui en France », évalue Christian Dupraz. On approcherait plus les 170.000 hectares si on y intègre les bocages et les pré-vergers, ces paysages agricoles français où les vergers et champs cultivés sont restés entourés de talus faits de haies et d’alignements d’arbres.

Une goutte d’eau au regard des 28 millions d’hectares de surface agricole utile nationale. On est aussi loin encore du cap des près d’1 million d’hectares en agroforesterie à atteindre d’ici 2050 fixé par le plan national de développement de l’agroforesterie établi fin 2015. Christian Dupraz ne serait pour autant pas surpris qu’on l’atteigne. Car les arbres ont un autre atout à faire valoir qui les rendent dans l’air du temps : celui de stocker du carbone. « Jusqu’à deux tonnes par hectare et par an, pour une parcelle de 50 à 100 arbres par hectares, précise le chercheur de l’Inra. Aujourd’hui, l’agroforesterie est l’une des principales pistes, si ce n’est la seule, pour fixer le carbone au sol et éviter qu’il ne soit rejeté dans l’atmosphère. Si les effets du changement climatique se confirment, cette captation deviendra essentielle. »
 

Source : 20 Minutes
Crédit : Association Française d'Agroforesterie

Bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut apporter de nombreux bienfaits.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

11 - Aude

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"ESCALE EN MÉDITERRANÉE ROMAINE"
 
Après 10 années de recherches, et à travers plus de 150 objets archéologiques, l'exposition présente les principaux sites du système portuaire narbonnais, inscrit le port de Narbo Martius dans le réseau des ports de commerce romains de Méditerranée occidentale et détaille les activités et les métiers qui se développaient au sein de ce port. 

Musée Narbo Via
2 avenue André Mècle
11100 Narbonne
04 68 90 28 90
https://narbovia.fr


15 - Cantal

Juillet & août

ANIMATIONS
MAISON DE LA SALERS

Des animations sont proposées les mardis après-midi en juillet et août, sans oublier l'incontournable Festi'Vache, le mercredi 13 août ! 

Maison de la Salers
Domaine du Fau 
15140 Saint-Bonnet-de-Salers
04 71 40 54 00
www.maisondelasalers.fr


17 - Charente Maritime

En juin

RENDEZ-VOUS EN TERRES PRÉHISTORIQUES
"LES ATELIERS DU MOIS"

Participez à nos ateliers participatifs et plongez-vous dans l’univers fascinant des archéologues et de nos ancêtres. Dimanche 8 : allumer le feu / Lundi 9 : à la mode préhistorique / Samedi 14 : fouilles archéologiques / Dimanche 15 : atelier post-fouilles / Dimanche 22 : art préhistorique / Dimanche 29 : chasse préhistorique.

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


25 - Doubs

Du 10 juillet au 23 août

LES NUITS DE LA SALINE"

Cet été, la Saline royale vous propose des soirées uniques incluant une visite de l'exposition Corto Maltese, un dîner (ou pique-nique libre dans le parc) et un spectacle avec des projections monumentales dans le Centre de Lumières pour s'immerger dans l'univers de Hugo Pratt.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


Jusqu'au 19 octobre

FESTIVAL DES JARDINS
"L'ÉCOLE BUISSONNIÈRE"

Petits et grands, découvrez un havre de liberté verdoyant et vivez une belle aventure ! En explorateurs, traversez des ponts, des tunnels, croisez la libellule géante, cachez vous dans les cabanes et grimpez en haut du belvédère pour une vue imprenable sur les jardins.

Saline royale
Grande Rue
25610 Arc et Senans
03 81 54 45 13
www.salineroyale.com


31 - Haute-Garonne

Du 11 juillet au 22 août

"CINÉMA EN PLEIN AIR AU MILIEU DES AVIONS"

Le musée Aeroscopia, en partenariat avec le CGR de Blagnac, lance la première édition du ciné’scopia. Un événement estival inédit mêlant projections de films, patrimoine aéronautique et ambiance festive. Quatre soirées de projection sont programmées sur un des tarmacs du musée, en plein cœur d’un décor exceptionnel formé par le Concorde, la Caravelle, le Transall et le Falcon.

Musée Aeroscopia
1 allée André Turcat
31700 Blagnac
https://www.aeroscopia.fr


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 21 septembre

EXPOSITION
"AOTEAROA NOUVELLE-ZÉLANDE, LES PROTECTEURS DE L’ARCHE PERDUE"

Sabine Bernert vous guidera à la rencontre du rare Kakapo, ce perroquet nocturne au bord de l’extinction, de l’étonnant Kiwi et du mystérieux Tuatara, un reptile aux origines préhistoriques. À travers des récits émouvants et des témoignages inspirants, découvrez le combat quotidien de leurs protecteurs dévoués, déterminés à préserver ces trésors uniques. Un voyage entre légendes et réalités.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


61 - Orne

Le 27 juillet

KERMESSE FESTIVE
LES MUSÉALES DE TOUROUVRE

Dimanche 27 juillet 2025, de 10h à 18h, aux Muséales de Tourouvre : kermesse festive avec jeux en bois, carrousel, goûter et animations en lien avec l’exposition temporaire "En classe !" sur l’école d’autrefois.

Les Muséales
15 rue du Quebec
61190 Tourouvre-au-Perche
02 33 25 55 55
www.musealesdetourouvre.fr


Du 29 mars au 19 octobre 

EXPOSITION
"EN CLASSE !" RETOUR À L'ÉCOLE RURALE D'AUTREFOIS (1880-1960)

Une exposition qui sent bon la craie, la colle "Cléopâtre" et la nostalgie ! La reconstitution d'une salle de classe d'autrefois fera revivre les souvenirs des plus grands et attisera la curiosité des plus petits. 2 € l'exposition seule, compris dans le billet pour visiter les musées.

Les Muséales
15 rue du Quebec
61190 Tourouvre-au-Perche
02 33 25 55 55
www.musealesdetourouvre.fr


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 27 juillet

EXPOSITION
"BOULAZ "ENTRE POP ART ET STREET ART"

Une nouvelle exposition dédiée à la Pop Culture et au Street Art débarque au musée Danvin. Du 25 juin au 27 juillet, l’artiste Boulaz vous propose de vous plonger dans son univers coloré et vibrant.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Le musée Mandet a le plaisir de vous inviter à découvrir l’importante rétrospective de ce sculpteur-designer unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental.

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Du 28 juin à mi-septembre

EXPOSITION
"UN SECRET D’HISTOIRE : L’INVENTION DU BATEAU POUSSEUR"

Après deux mois passés au Port Autonome de Strasbourg, l’exposition prend ses nouveaux quartiers au Musée de la Batellerie d’Offendorf où elle restera jusqu’à mi-septembre, avant de repartir vers d’autres horizons. Pendant ces presque trois mois, venez rendre visite à Paul-Emile Jacquel et à cette invention née en 1877 destinée de simplifier la vie de ces bateliers.

Musée de la Batellerie d’Offendorf
Péniche Cabro
Quai des Bateliers
67850 Offendorf
07 71 42 05 32
https://musee-de-la-batellerie-offendorf.e-monsite.com


Jusqu'au 2 novembre

EXPOSITION
"RENÉ LALIQUE, ARCHITECTE ET DÉCORATEUR"

En 1925 a eu lieu l'Exposition des Arts décoratifs et industriels modernes à Paris. René Lalique a participé à ce rendez-vous exceptionnel. L'exposition fait la part belle à la mise en contexte au travers de photographies en grand format ainsi que de documents d'époque et d'éléments de décor en verre qui permettent de se replonger dans le passé.

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


Les 5 et 6 juillet & 2 et 3 août

ANIMATIONS
"SUR LES TRACES DU PASSÉ"

Le Vaisseau vous donne rendez-vous pour deux week-ends exceptionnels placés sous le signe de la découverte ! Petit déjeuner préhistorique et musical, spectacle, film ou rencontre… 
Venez explorer le passé grâce à des animations inédites tout au long de l'été.

Le Vaisseau
1 bis rue Philippe Dollinger 
67100 Strasbourg
03 69 33 26 69
www.levaisseau.com


71 - Saône et Loire

Du 9 juillet au 27 août

ANIMATIONS VACANCES
LA MAISON DU CHAROLAIS

Parcours aventure ou visite audioguidée du musée, dégustation de viande charolaise, atelier cuisine, artistique, balade dans le bocage... Il y a tant à faire pour passer du bon temps en famille. Vous pouvez dès maintenant retenir vos places pour les ateliers !

La Maison du Charolais
43 route de Mâcon (RCEA N79 sortie 12)
71120 Charolles
03 85 88 04 00
www.maison-charolais.com


75 - Paris

Jusqu'au 31 août

EXPOSITION
"ALFRED DREYFUS. VÉRITÉ ET JUSTICE"

Le mahJ revient sur "l’Affaire" pour rappeler les grandes étapes de ce moment crucial de l’histoire de France. L'exposition révèle le combat acharné de Dreyfus pour faire éclater la vérité, corrigeant l'image d'un homme spectateur de la machination qui le conduisit à passer plus de quatre années à l'île du Diable et encore sept à lutter pour sa réhabilitation. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 31 juillet

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET BERTA ZUCKERKANDL"

Le musée Clemenceau invite le public à découvrir sa nouvelle exposition-focus Clemenceau, Berta Zuckerkandl, une amitié autour de l’art entre Vienne et Paris. À cette occasion, le musée présente deux dessins de Rodin issus de ses collections ainsi qu'un portrait inédit de Sophie Clemenceau, soeur de Berta et épouse du frère de Georges, Paul, réalisé par Eugène Carrière.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 31 août 

EXPOSITION
"BATTERIES"

En contrepoint d’"Empreinte carbone, l'expo !", Batteries présente un décryptage scientifique et sociétal des technologies de stockage de l’énergie qui façonnent les mobilités du futur. Cette expo capsule explore la fabrication des batteries et leur fonctionnement, mais aussi leur impact sur l'avenir énergétique.

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 16 novembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


77 - Seine-et-Marne

Le 13 juillet & le 15 août

"LES SOIRÉES AUX CHANDELLES"
CHÂTEAU DE VAUX-LE-VICOMTE

À la lueur de 2 000 bougies, les 33 hectares du jardin à la française imaginés par Le Nôtre, l’architecture de Le Vau et les décors peints par Le Brun s’illuminent. L’espace d’une soirée, revivez la magie de la fête du 17 août 1661, offerte par Fouquet à Louis XIV, et voyagez plus de 360 ans dans le passé. Réservation sur notre billetterie en ligne.

Château de Vaux-Le-Vicomte
77950 Maincy
https://vaux-le-vicomte.com


80 - Somme

Le 28 juin

"AUX COULEURS DE LA CHINE"
JOURNÉE DÉCOUVERTE

Journée spéciale autour de la culture chinoise à partir de 14h : exposition de Catherine Costanza sur les travailleurs chinois, ateliers créatifs (création de lanternes, origamis, jianzhi...), danse du lion, calligraphie, cérémonie du thé, musique traditionnelle, restauration chinoise à partir de 19h.

Vignacourt 14/18
196 rue d’Amour 
80650 Vignacourt
06 73 69 55 49
www.vignacourt1418.com


Jusqu'au 21 septembre 

EXPOSITION 
"GUERRE EN JEUX"

Plongez dans un voyage à travers l’histoire de la pratique des jeux de guerre et explorez la manière dont ces jeux façonnent notre compréhension du monde et de nous-mêmes. Une exposition intergénérationnelle qui met l’accent sur l’interactivité et l’attachement au jouet. 

Historial de la Grande Guerre
Musée Péronne 
Château de Péronne - Place André Audinot
80200 Péronne
www.historial.fr


84 - Vaucluse

Du 12 juillet au 11 octobre

"FESTIVAL DES MUSIQUES D'ÉTÉ"

La 26e édition du Festival des Musiques d’Été au Château de Lourmarin : un rendez-vous majeur de la scène classique en Provence. Dans un cadre exceptionnel, entre salles historiques et terrasses avec vue sur le Luberon, le festival proposera une programmation riche et éclectique : récitals de piano, duos intimistes, jazz, théâtre en plein air, et bien plus encore. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


Jusqu'au 27 juillet 

EXPOSITION
"CIRCUIT COURT & DÉTOURS"

Une exposition sous le signe du "local", et du mouvement. Paysages, scènes de la vie quotidienne, portraits et natures mortes, peintres des 19e et 20e siècles liés à Avignon ou sa région, œuvres issues de collections particulières des environs d'Avignon et du musée Vouland. 

Musée Louis Vouland
17 rue Victor-Hugo
84000 Avignon
04 90 86 03 79
www.vouland.com


92 - Hauts-de-Seine

Jusqu'au 28 septembre

EXPOSITION
"COURBEVOIE ET SON AR(T)CHITECTURE"

Après "Faire Paysage", le cycle d'expositions "Ecrire la Ville" poursuit son exploration du patrimoine courbevoisien à travers son architecture. Appréhender cette histoire par la chronologie revient à entreprendre un cheminement au cœur des transformations urbanistiques de la ville.

Musée Roybet Fould
178 boulevard Saint-Denis
92400 Courbevoie
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