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Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ?
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Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ?

Imaginez des rangées de noyers au beau milieu d’un champ de blé, des arbres fruitiers surplombant des parcelles de légumes ou des moutons broutant aux pieds d’ormes et de chênes parsemant leur prairie… Bref, imaginez la fin des mornes plaines, et le retour en nombre des arbres dans la campagne française.

Surfer sur la remise en cause de l’agriculture intensive…

L’agriculture intensive l’en avait chassé au siècle dernier. « Le remembrement [regroupement de parcelles agricoles pour en former des plus grandes] a eu raison de nombreuses haies, commence Fabien Balaguer, directeur de l’ Association française d’agroforesterie. Sans doute aussi qu’à une époque nous étions arrivés dans certains champs à avoir des arbres en trop grand nombre et mal alignés, ce qui faisait obstacle au travail des machines. Mais bien souvent, on les a éradiqués et, peu à peu, des savoir-faire se sont perdus. C’est sans doute la plus grave erreur que nous ayons faite en agriculture ces soixante dernières années. »

La donne a changé. L’agriculture intensive s’essouffle et ne cesse d’être remise en question, poussant à la quête de nouvelles pratiques agricoles mieux adaptés aux changements climatiques. Dans ce contexte, l’arbre a une carte à jouer et commence d’ores et déjà sa reconquête des champs sous forme d’alignements, de haies, de bosquets ou d’arbres isolés. Pas juste pour faire joli, mais parce que bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut faire des miracles.

De l’ombre et de la nourriture pour les troupeaux

Veiller à cette bonne combinaison, c’est faire de l’agroforesterie, technique sur laquelle s’attarde le documentaire « Faut-il arrêter de manger des animaux », diffusé ce mercredi soir dans l’émission « Le Monde en Face » sur France 5. Benoît Bringer, le réalisateur, est allé à la rencontre des femmes et des hommes qui inventent un autre élevage plus respectueux de la nature et des animaux, jusqu’à poser sa caméra sur les terres d’ Alfredo Cunhal à une heure de Lisbonne. L'agriculteur a remis au goût du jour les techniques d’agroforesterie qui n’ont jamais cessé d’exister dans cette région du Portugal.

Plantés sur ses parcelles, les arbres d’Alfredo Cunhal apportent déjà de l’ombre à ses troupeaux, capital l’été. Ils produisent aussi naturellement et en quantité non négligeable de la nourriture. Des feuilles et des branches pour les vaches. Des glands pour les porcs. Les chênes fournissent 60 % de la nourriture des cochons du fermier portugais, précise Benoît Bringer. C’est autant de céréales en moins à acheter et à produire. « Et ces glands ou fourrages contribuent à diversifier le régime alimentaire de ces vaches ou cochons, ce qui permet de réduire les maladies », ajoute Fabien Balaguer. En retour, les animaux laissent aux arbres leurs bouses, un engrais rudement efficace. La boucle est bouclée.

Capter l’eau, fertiliser les sols, lutter contre les ravageurs, couper le vent…

À l’Association française d’agroforesterie, on vous dira qu’il n’est pas nécessaire d’aller au Portugal pour parler « agroforesterie ». La France aussi a ses réussites. Il n’est pas rare ainsi de croiser des porcs noirs de Bigorre sous couvert de chênes dans les Pyrénéennes, des vaches normandes sous des pommiers, des poules picorer aux pieds d’arbres fruitiers… « Les combinaisons arbres/élevages sont des formes traditionnelles d’agroforesterie, explique Christian Dupraz, ingénieur de recherche à l ’Inra (Institut national de la recherche agronomique), spécialiste de l’agroforesterie. On les redécouvre, et c’est tant mieux, mais on n’invente rien. À côté, nous développons des formes modernes d’agroforesterie, compatibles avec la mécanisation et qui concerne plus, cette fois-ci, des combinaisons arbres/cultures. »

Là encore, les arbres, les haies et bosquets, réintroduits dans ou autour de la parcelle, rendent de multiples services. Enrichir les sols, mieux stocker et mieux filtrer l’eau. Offrir le gîte et le couvert aux pollinisateurs ou aux bestioles et faire ainsi la guerre aux insectes ravageant les cultures. Avoir un effet brise-vent très utile pour la vigne par exemple. Mais aussi améliorer les revenus de l’agriculteur en lui permettant de valoriser les coproduits de l’arbre (valoriser ses fruits, vente de bois, transformation de sa biomasse en énergie…).

… Et accroître les rendements

Surtout, associer arbres et cultures permettrait de produire davantage. « Une exploitation agroforestière de 100 hectares produit autant de biomasse qu’une exploitation conventionnelle de 140 hectares où arbres et cultures sont séparés, indique Christian Dupraz en s’appuyant sur les expérimentations que mène l’Inra à Restinclières (Hérault) depuis 1995. Soit donc 36 % de plus. Ce gain de productivité a été permis non pas parce que vous y avez mis plus d’engrais ou de produits phytosanitaires, mais parce que vous avez utilisé au mieux les ressources naturelles et jouer sur cette synergie entre les arbres et les cultures. »

L’agroforesterie n’est pas pour autant une combinaison gagnante à tous les coups. Christian Dupraz se garde bien de le certifier. « Si l’arbre offre des avantages, mal choisi ou mal géré, il peut aussi entrer en compétition avec les cultures de la parcelle pour l’accès aux ressources, précise-t-il. Que ce soit la lumière, l’eau ou l’azote. Le risque alors est une baisse de rendements. » Tout est une question d’équilibre : trouver les bonnes combinaisons, planter les arbres au bon endroit et en bonne quantité. « Il ne suffit pas de planter des arbres pour faire de l’agroforesterie », insiste Fabien Balaguer.

Atteindre un million d’hectares en 2050

Pas si simple donc, mais pas de quoi cependant freiner le dynamisme de l’agroforesterie en France. Daniele Oiri, d’Agroof, un bureau d'études spécialisé dans l'agroforesterie, invite déjà à en juger par le nombre d’agriculteurs souhaitant se former. « On en a reçu 250 à Agroof en 2017, soit quasi le double par rapport à 2014, précise-t-il. De plus en plus de lycées agricoles proposent aussi désormais des formations. »

En surface, en revanche, le compte n’y est pas encore. « Si on parle des formes modernes d’agroforesterie, celles qui combinent cultures et rangées d’arbres à même la parcelle, on doit être autour des 15 ou 20.000 hectares aujourd’hui en France », évalue Christian Dupraz. On approcherait plus les 170.000 hectares si on y intègre les bocages et les pré-vergers, ces paysages agricoles français où les vergers et champs cultivés sont restés entourés de talus faits de haies et d’alignements d’arbres.

Une goutte d’eau au regard des 28 millions d’hectares de surface agricole utile nationale. On est aussi loin encore du cap des près d’1 million d’hectares en agroforesterie à atteindre d’ici 2050 fixé par le plan national de développement de l’agroforesterie établi fin 2015. Christian Dupraz ne serait pour autant pas surpris qu’on l’atteigne. Car les arbres ont un autre atout à faire valoir qui les rendent dans l’air du temps : celui de stocker du carbone. « Jusqu’à deux tonnes par hectare et par an, pour une parcelle de 50 à 100 arbres par hectares, précise le chercheur de l’Inra. Aujourd’hui, l’agroforesterie est l’une des principales pistes, si ce n’est la seule, pour fixer le carbone au sol et éviter qu’il ne soit rejeté dans l’atmosphère. Si les effets du changement climatique se confirment, cette captation deviendra essentielle. »
 

Source : 20 Minutes
Crédit : Association Française d'Agroforesterie

Bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut apporter de nombreux bienfaits.

Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ? Actualités

Et si les arbres retrouvaient toute leur place dans les champs ?

Imaginez des rangées de noyers au beau milieu d’un champ de blé, des arbres fruitiers surplombant des parcelles de légumes ou des moutons broutant aux pieds d’ormes et de chênes parsemant leur prairie… Bref, imaginez la fin des mornes plaines, et le retour en nombre des arbres dans la campagne française.

Surfer sur la remise en cause de l’agriculture intensive…

L’agriculture intensive l’en avait chassé au siècle dernier. « Le remembrement [regroupement de parcelles agricoles pour en former des plus grandes] a eu raison de nombreuses haies, commence Fabien Balaguer, directeur de l’ Association française d’agroforesterie. Sans doute aussi qu’à une époque nous étions arrivés dans certains champs à avoir des arbres en trop grand nombre et mal alignés, ce qui faisait obstacle au travail des machines. Mais bien souvent, on les a éradiqués et, peu à peu, des savoir-faire se sont perdus. C’est sans doute la plus grave erreur que nous ayons faite en agriculture ces soixante dernières années. »

La donne a changé. L’agriculture intensive s’essouffle et ne cesse d’être remise en question, poussant à la quête de nouvelles pratiques agricoles mieux adaptés aux changements climatiques. Dans ce contexte, l’arbre a une carte à jouer et commence d’ores et déjà sa reconquête des champs sous forme d’alignements, de haies, de bosquets ou d’arbres isolés. Pas juste pour faire joli, mais parce que bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut faire des miracles.

De l’ombre et de la nourriture pour les troupeaux

Veiller à cette bonne combinaison, c’est faire de l’agroforesterie, technique sur laquelle s’attarde le documentaire « Faut-il arrêter de manger des animaux », diffusé ce mercredi soir dans l’émission « Le Monde en Face » sur France 5. Benoît Bringer, le réalisateur, est allé à la rencontre des femmes et des hommes qui inventent un autre élevage plus respectueux de la nature et des animaux, jusqu’à poser sa caméra sur les terres d’ Alfredo Cunhal à une heure de Lisbonne. L'agriculteur a remis au goût du jour les techniques d’agroforesterie qui n’ont jamais cessé d’exister dans cette région du Portugal.

Plantés sur ses parcelles, les arbres d’Alfredo Cunhal apportent déjà de l’ombre à ses troupeaux, capital l’été. Ils produisent aussi naturellement et en quantité non négligeable de la nourriture. Des feuilles et des branches pour les vaches. Des glands pour les porcs. Les chênes fournissent 60 % de la nourriture des cochons du fermier portugais, précise Benoît Bringer. C’est autant de céréales en moins à acheter et à produire. « Et ces glands ou fourrages contribuent à diversifier le régime alimentaire de ces vaches ou cochons, ce qui permet de réduire les maladies », ajoute Fabien Balaguer. En retour, les animaux laissent aux arbres leurs bouses, un engrais rudement efficace. La boucle est bouclée.

Capter l’eau, fertiliser les sols, lutter contre les ravageurs, couper le vent…

À l’Association française d’agroforesterie, on vous dira qu’il n’est pas nécessaire d’aller au Portugal pour parler « agroforesterie ». La France aussi a ses réussites. Il n’est pas rare ainsi de croiser des porcs noirs de Bigorre sous couvert de chênes dans les Pyrénéennes, des vaches normandes sous des pommiers, des poules picorer aux pieds d’arbres fruitiers… « Les combinaisons arbres/élevages sont des formes traditionnelles d’agroforesterie, explique Christian Dupraz, ingénieur de recherche à l ’Inra (Institut national de la recherche agronomique), spécialiste de l’agroforesterie. On les redécouvre, et c’est tant mieux, mais on n’invente rien. À côté, nous développons des formes modernes d’agroforesterie, compatibles avec la mécanisation et qui concerne plus, cette fois-ci, des combinaisons arbres/cultures. »

Là encore, les arbres, les haies et bosquets, réintroduits dans ou autour de la parcelle, rendent de multiples services. Enrichir les sols, mieux stocker et mieux filtrer l’eau. Offrir le gîte et le couvert aux pollinisateurs ou aux bestioles et faire ainsi la guerre aux insectes ravageant les cultures. Avoir un effet brise-vent très utile pour la vigne par exemple. Mais aussi améliorer les revenus de l’agriculteur en lui permettant de valoriser les coproduits de l’arbre (valoriser ses fruits, vente de bois, transformation de sa biomasse en énergie…).

… Et accroître les rendements

Surtout, associer arbres et cultures permettrait de produire davantage. « Une exploitation agroforestière de 100 hectares produit autant de biomasse qu’une exploitation conventionnelle de 140 hectares où arbres et cultures sont séparés, indique Christian Dupraz en s’appuyant sur les expérimentations que mène l’Inra à Restinclières (Hérault) depuis 1995. Soit donc 36 % de plus. Ce gain de productivité a été permis non pas parce que vous y avez mis plus d’engrais ou de produits phytosanitaires, mais parce que vous avez utilisé au mieux les ressources naturelles et jouer sur cette synergie entre les arbres et les cultures. »

L’agroforesterie n’est pas pour autant une combinaison gagnante à tous les coups. Christian Dupraz se garde bien de le certifier. « Si l’arbre offre des avantages, mal choisi ou mal géré, il peut aussi entrer en compétition avec les cultures de la parcelle pour l’accès aux ressources, précise-t-il. Que ce soit la lumière, l’eau ou l’azote. Le risque alors est une baisse de rendements. » Tout est une question d’équilibre : trouver les bonnes combinaisons, planter les arbres au bon endroit et en bonne quantité. « Il ne suffit pas de planter des arbres pour faire de l’agroforesterie », insiste Fabien Balaguer.

Atteindre un million d’hectares en 2050

Pas si simple donc, mais pas de quoi cependant freiner le dynamisme de l’agroforesterie en France. Daniele Oiri, d’Agroof, un bureau d'études spécialisé dans l'agroforesterie, invite déjà à en juger par le nombre d’agriculteurs souhaitant se former. « On en a reçu 250 à Agroof en 2017, soit quasi le double par rapport à 2014, précise-t-il. De plus en plus de lycées agricoles proposent aussi désormais des formations. »

En surface, en revanche, le compte n’y est pas encore. « Si on parle des formes modernes d’agroforesterie, celles qui combinent cultures et rangées d’arbres à même la parcelle, on doit être autour des 15 ou 20.000 hectares aujourd’hui en France », évalue Christian Dupraz. On approcherait plus les 170.000 hectares si on y intègre les bocages et les pré-vergers, ces paysages agricoles français où les vergers et champs cultivés sont restés entourés de talus faits de haies et d’alignements d’arbres.

Une goutte d’eau au regard des 28 millions d’hectares de surface agricole utile nationale. On est aussi loin encore du cap des près d’1 million d’hectares en agroforesterie à atteindre d’ici 2050 fixé par le plan national de développement de l’agroforesterie établi fin 2015. Christian Dupraz ne serait pour autant pas surpris qu’on l’atteigne. Car les arbres ont un autre atout à faire valoir qui les rendent dans l’air du temps : celui de stocker du carbone. « Jusqu’à deux tonnes par hectare et par an, pour une parcelle de 50 à 100 arbres par hectares, précise le chercheur de l’Inra. Aujourd’hui, l’agroforesterie est l’une des principales pistes, si ce n’est la seule, pour fixer le carbone au sol et éviter qu’il ne soit rejeté dans l’atmosphère. Si les effets du changement climatique se confirment, cette captation deviendra essentielle. »
 

Source : 20 Minutes
Crédit : Association Française d'Agroforesterie

Bien combiné avec des cultures et/ou des animaux, sur une même parcelle, l’arbre peut apporter de nombreux bienfaits.

LE GUIDE Naturellement

Agenda . . .

17 - Charente Maritime

A partir du 19 septembre

EXPOSITION
"PARURES ET MOTIFS DE LA PRÉHISTOIRE"

Fruit d’un projet mené avec deux classes de seconde en arts plastiques, l’exposition Archéofictions propose une relecture créative et sensible de la Préhistoire. Entre art et archéologie, Archéofictions invite à redécouvrir les parures et motifs de nos ancêtres, mêlant fiction, création contemporaine et savoir scientifique. 

Le Paléosite
Route de la Montée Verte 
17770 Saint-Césaire
05 46 97 90 90
https://paleosite.fr


2B - Haute-Corse

Jusqu'au 20 décembre

EXPOSITION
"FEMIN’ISULA"

L’exposition retrace, de la préhistoire à nos jours, le rôle des femmes dans la société insulaire et leur marche vers l’émancipation voire les combats féministes. Le parcours riche de près de 300 oeuvres est argumenté et illustré par des portraits de femmes méconnues ou célèbres qui ont participé à l’évolution de la place des femmes dans la société insulaire.

Musée de Bastia
Place du donjon
La Citadelle
20200 Bastia
https://musee.bastia.corsica


21 - Côte d'Or

►Jusqu'au 29 novembre

EXPOSITION "RAPATRIEMENT"
MUSÉE DE SEMUR-EN-AUXOIS

Exposition de Laure Molina présente 28 dessins inspirés des collections des ammonites du musée de Semur-en-Auxois.
C'est un projet art/science de plusieurs années de dessins, d'observation et d'explorations des ammonites autour de la question : pourquoi l'artiste a senti autant de vie dans la salle des ammonites, si celles-ci sont une trace d'animaux n'existants plus ? 

Musée de Semur-en-Auxois
3 rue Jean-Jacques Collenot
21140 Semur-en-Auxois 
03 80 97 01 11
https://museesemuraccueil.wixsite.com/
auxois


33 - Gironde

Jusqu'au 31 décembre

EXPOSITION GUSTAVE EIFFEL

Gustave Eiffel dont sa fameuse Tour et toutes ses réalisations de chantiers en France et dans le Monde, appuyé sur l’Exposiiton universelle  de 1889. A l’occasion de notre concours, nous avons reçu 107 œuvres de Tour Eiffel réalisées par les Amis du Musée qui sont exposées dans nos vitrines. Venez-vous plonger dans l’univers de Gustave Eiffel et sa vie trépidante.

Musée des Techniques
5 rue de Balambits
33640 Beautiran
05 57 97 75 11 / 06 07 74 03 76
http://villamaglya.fr


34 - Hérault

Jusqu'au 1er mars

EXPOSITION
"IMMERSION URBAINE"

Exposition collective et évolutive réunissant plus de 18 artistes. Autour du thème de la récupération, du recyclage et de l’upcycling, chaque artiste construit à partir de cloisons de récupération et d’éléments de cinéma, pour créer un univers singulier. Présente à l’intérieur et aux extérieurs du musée, l'exposition offre aux visiteurs une expérience artistique renouvelée à chaque visite.

Musée Parcelle473
425 avenue frères Buhler
34080 Montpellier
06 66 02 69 29
www.parcelle473.com


38 - Isère

Jusqu'au 30 mars 2026 

EXPOSITION
"PEINDRE LA LUMIÈRE, DE LA MAQUETTE AU VITRAIL"

Arcabas (1926-2018) s’est intéressé toute sa vie au vitrail qu’il abordait en tant que peintre avant tout. De l'expérience fondatrice de l'église Saint-Hugues aux dernières réalisations du Sacré-Cœur de Grenoble et de Saint-Christophe-sur-Guiers, l’exposition met l’accent sur les maquettes créées par Arcabas et la façon dont elles ont été traduites par les maitres verriers.

Musée arcabas en Chartreuse
Eglise de Saint-Hugues
38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
04 76 88 65 01
https://musees.isere.fr


42 - Loire

Le 6 décembre 

ATELIERS TEXTILES DE NOËL

Et si vous optiez pour des décorations textiles pour orner votre sapin de Noël ? Le musée vous propose pour la première fois des ateliers créatifs pour préparer les fêtes de fin d'année :
Pour les enfants : création d'un sapin en tissus - Pour les adultes : création d'une boule de Noël textile.
Samedi 6 décembre à 14h30. Réservation obligatoire. Tarif : 5 € par personne.

Musée du tissage et de la soierie
125 Place Vaucanson 
42510 Bussières
04 77 27 33 95
www.museedutissage.com


52 - Haute-Marne

Jusqu'au 19 avril 2026

EXPOSITION 
"175 ANS DE CRÉATION BRASSICOLEÀ SAINT-DIZIER"

La brasserie du fort carré a été un des fleurons économiques de Saint-Dizier. En activité de 1796 à 1955, elle marqué le paysage urbain de la ville, et est à l’origine de la construction de la Tour Miko. Des techniques de productions de la bière, au nombreux objets publicitaires, l’exposition retracera l’histoire d’une brasserie restée dans les mémoires.

Musée de Saint-Dizier
17 rue de la Victoire 
52100 Saint-Dizier
03 25 07 31 50
www.saint-dizier.fr


62 - Pas-de-Calais

Jusqu'au 29 novembre

EXPOSITION 
MONIQUE RENAULT 

Professeur de technologie à la retraite, Monique Renault a enseigné le dessin d’art et le dessin technique. Depuis 2004, elle utilise la peinture à l’huile dans un style figuratif avec une prédilection pour les paysages urbains et les marines. Les mercredis, samedis et dimanches de 14h30 à 17h30. Entrée gratuite. Visites de groupes sur rdv les lundis, mardis et jeudis.

Musée municipal Bruno Danvin
Rue Oscar Ricque
62130 Saint-Pol-sur-Ternoise
03 21 04 56 25 / 07 89 08 15 64 
www.saintpolsurternoise.fr


63 - Puy de Dôme

Jusqu''au 1er mars 2026

EXPOSITION 
"LE MOBILIER BIJOU" DE GUILLAUME PIÉCHAUD"

Découvrez l’importante rétrospective consacrée à cet artiste unique qui regroupe un ensemble inédit d’œuvres et d’objets personnels retraçant son riche parcours, des ateliers de bijouteries à la confection de mobilier monumental. De nombreuses animations pour les enfants en lien avec l'univers du designer Guillaume Piéchaud sont disponibles durant les vacances d'automne !

Musée Mandet
14 rue de l’Hôtel de Ville
63200 Riom
04 73 38 18 53
www.rlv.eu/decouvrir/musees/musee-mandet-1


67 - Bas-Rhin

Du 28 novembre au 4 janvier 2026

EXPOSITION "HAPPY CRISTAL – DUEL DE NOËL !"
MUSÉE LALIQUE

Chaque année, Happy Cristal est un rendez-vous pour découvrir des mises en scène originales où les objets prennent vie. En 2025, les visiteurs pourront choisir entre deux propositions esthétiques très différentes. D’un côté, un Noël scandinave, blanc, lumineux et très lié à la nature. De l’autre côté, un Noël très coloré, inspiré des traditions nord-américaines. 

Musée Lalique
40 rue du Hochberg
67290 Wingen-sur-Moder
03 88 89 08 14
www.musee-lalique.com


68 - Haut-Rhin

Jusqu'au 1er mars 2026

EXPOSITION
"STRUCTURES EN DÉRIVE"

La Fondation Fernet-Branca présente Structures en dérive, une exposition réunissant neuf artistes aux pratiques photographiques et transdisciplinaires.
L’exposition explore la photographie comme terrain d’expérimentation, entre approche documentaire et poétique.

Fondation Fernet-Branca
2 rue du Ballon
68300 Saint-Louis 
03 89 69 10 77
www.fondationfernet-branca.org


Jusqu'au 31 décembre

EXPOSITION
"JOUSTRA"

Après les jouets Playmobil®, c'est une marque plus locale qui vient investir La Nef des Jouets : Joustra. Contraction de "JOUets de STRAsbourg", connaissant son pic de popularité dans les années 1950 et 1960 (jouets mécaniques, jouets téléguidés puis radiocommandés, voitures, grues, engins de chantier, bateaux, jeux scientifiques puis plus tard le célèbre télécran…).

La Nef des Jouets
12 rue Jean Jaurès
68360 Soultz
03 89 74 30 92
www.ville-soultz.fr


75 - Paris

Jusqu'au 14 décembre 

EXPOSITION
"PAULA PADANI. LA DANSE MIGRANTE : HAMBOURG, TEL-AVIV, PARIS"

L’exposition retrace le parcours méconnu de la danseuse Paula Padani (1913-2001) à travers plus de 250 photographies, affiches, documents et costumes. Par sa vision du mouvement comme force de vie, par sa capacité de rebond entre plusieurs pays et cultures, elle aura frayé de nouvelles routes pour son art et joué un rôle pionnier dans l’émergence de la danse contemporaine israélienne. 

Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 4 janvier 2026

EXPOSITION 
"ÇA CHAUFFE CHEZ LES SCIENTIFIQUES" 

Les scientifiques sont les premiers, depuis des années, à nous alerter sur l’urgence climatique. Pourtant, la recherche est loin d’être écologique ou durable ! Comment concilier production de connaissances et responsabilité environnementale ? Et quel sens donner à cette mission dans un monde en pleine crise ? Pour y répondre, Julien Bobroff et l’équipe de "La Physique Autrement" vous présentent l'exposition "Ça chauffe les scientifiques".  

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 28 février 2026

EXPOSITION
"CLEMENCEAU ET LA GRÈCE"

Cette exposition met en lumière la relation profonde et inspirante que Georges Clemenceau a entretenue avec l’Hellade tout au long de sa vie. Cette passion, née de son éducation, a marqué sa carrière politique et sa vision du monde ainsi que son engagement pour la démocratie et la culture.

Musée Clemenceau
8 rue Benjamin Franklin
75116 Paris
01 45 20 53 41
https://musee-clemenceau.fr


Jusqu'au 8 mars 2026

EXPOSITION
"DENISE BELLON. UN REGARD VAGABOND"

Le mahJ présente la première rétrospective à Paris, rassemblant près de 300 photographies, objets, lettres et publications, consacrée à Denise Bellon (1902-1999). Photographe humaniste, pionnière du photojournalisme et compagne de route des surréalistes, son œuvre singulière et méconnue court des années 1930 aux années 1970.

 Musée d’art et d’histoire du Judaïsme
71 rue du Temple
75001 Paris
01 53 01 86 53
www.mahj.org


Jusqu'au 17 mai 2026

EXPOSITION "FLOPS" 

Échec, bide, raté, fiasco… on estime que neuf innovations sur dix échouent et les raisons de la galère ne sont pas toujours évidentes ! En explorant les "bides" comme les trajectoires de réussites inattendues, l’exposition Flops-?! propose une lecture bienveillante de l’échec et ouvre la voie à une découverte singulière des collections du MuAM – Musée des Arts et Métiers.  

Musée des Arts et Métiers
60 rue Réaumur
75003 Paris
01 53 01 82 63
www.arts-et-metiers.net


Jusqu'au 31 juillet 2026

EXPOSITION
"L’ÉTOFFE DES RÊVES"

Le vent de l’Art Brut et du surréalisme soufflera sur les 300 œuvres des 36 artistes réunis dans tout l’espace de la Halle Saint Pierre. "L’Étoffe des rêves" est le fruit d’une collaboration entre la Halle Saint Pierre et le Centre international du surréalisme et de la Citoyenneté mondiale à Saint-Cirq-Lapopie.

Halle Saint Pierre
2 rue Ronsard
72018 Paris
01 42 58 72 89
www.hallesaintpierre.org


84 - Vaucluse

Jusqu'en mars 2026

EXPOSITION
"Les VOYAGES"

L'exposition Centenaire Robert Laurent-Vibert : Les Voyages donne un aperçu de l'héritage de Laurent-Vibert à travers sa collection privée sur le thème du voyage. 

Château de Lourmarin
2 avenue Laurent Vibert
84160 Lourmarin
04 90 68 15 23
www.chateaudelourmarin.com


87 - Haute-Vienne

Jusqu'au 20 décembre

EXPOSITION
"OCEAN, LE PAPIER FAIT DES VAGUES"

Prenez une grande inspiration et plongez dans l'univers mystérieux des océans, à la découverte des œuvres incroyables d'une dizaine d'artistes papier. Une occasion idéale de s'émerveiller tout en se sensibilisant à la richesse et la fragilité de ces écosystèmes.

Le Moulin du Got
Le Pénitent
87400 St Léonard-de-Noblat
05 55 57 18 74
www.moulindugot.com


88 - Vosges

Le 30 novembre 

"MARCHÉ DE NOËL" 
PLANÉTARIUM D’ÉPINAL 

Près d’une quarantaine d’exposants investiront les lieux pour vous proposer leurs créations uniques et artisanales à offrir ou à s’offrir, faits main et porteurs d’histoires locales.
Entre deux emplettes, laissez-vous tenter par les saveurs de saison : vin chaud, crêpes maisons et autres douceurs raviront petits et grands. De 10h00 à 18h00. Entrée libre et gratuite.

Planétarium Epinal
Rue Dom Pothier
88000 Epinal
03 29 35 08 02
www.planetarium-epinal.com


Les 6 & 7 décembre

"PÉTANQUE DES PLANÈTES"
MAISON DU BAILLI

Venez pointer, tirer… et (re)découvrir les planètes de notre Système solaire à travers ce concept insolite pour petits grands ! Accessible à tous les âges, cette activité permet d’explorer notre Système solaire de manière concrète et joyeuse. Entre adresse, stratégie et découvertes scientifiques, chacun pourra s’y retrouver ! De 14h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

Maison du Bailli
Place des Vosges
88000 Épinal

Lieux:

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